Jean-Baptiste Defernex Sold at Auction Prices

JEAN-BAPTISTE DEFERNEX

JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (ca. 1729–ca. 1783) Diana with dog and Eros. Terracotta. Signed and dated J-Bte on verso. Defernex 1772. H 36 cm. With larger losses to the patina in some areas. Cupid's wings with larger losses. Diana's crescent moon chipped. Eros' fingers lost and the hand with minor repair. Provenance: Aristocratic private collection, southern Germany. Defernex, who came from a textile family in Lyon, worked at the Sèvres Manufactory until 1755, where he produced terracotta figures based on drawings by Boucher. In 1760, he was admitted to the Academy of Saint-Luc and three years later worked there as an assistant professor. As a sculptor to the Duke D'Orléans, he worked in the Palais Royal and exhibited important sculptures at the Paris Salon in 1774. Defernex's many years of experience with and the materiality of terracotta allowed him to shape the facial expressions in an impressive and emotive way, while the flowing execution of the fabric lightly envelops Diana's body. As the goddess of the hunt, she is accompanied by a dog and Eros. An almost identical terracotta figure of Diana with Eros and a dog, also dated 1772 and signed by Defernex, but with a more intense red patina, is known from the former Loppin de Monmort collection. * The full tax is charged on this item marked * in the auction catalogue, i.e. VAT is charged on the sum of the bid price plus the surcharge for those items. The VAT will be refunded to Purchasers providing a validly stamped export declaration. ------------------------------------------------- JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (ca. 1729–ca. 1783) Diana mit Hund und Eros. Terracotta. Verso signiert und datiert J-Bte. Defernex 1772. H 36 cm. Stellenweise mit grösseren Verlusten an der Patina. Flügel des Amors mit grösseren Fehlstellen. Mondsichel der Diana bestossen. Finger des Eros verlustig und die Hand mit kleiner Reparatur. Provenienz: Aristokratische Privatsammlung, Süddeutschland. Der aus einer Textilfamilie in Lyon stammende Defernex arbeitete bis 1755 in der Sèvres Manufaktur, wo er Terracottafiguren nach Zeichnungen von Boucher fertigte. 1760 wurde er in die Akademie Saint-Luc aufgenommen und war drei Jahre später an derselben als Assistenzprofessor tätig. Als Bildhauer des Herzogs D’Orléans arbeitete er im Palais Royal und stellte im Pariser Salon 1774 bedeutende Skulpturen aus. Die langjährige Erfahrung mit sowie die Materialität der Terracotta erlaubte es Defernex die Gesichtsausdrücke auf eindrucks- und gefühlsvolle Weise zu formen, während die fliessende Ausführung des Stoffes Dianas Körper leicht umhüllen. Als Göttin der Jagd wird sie von einem Hund sowie Eros begleitet. Eine ebenfalls 1772 datierte und von Defernex signierte, nahezu identische Terracottafigur der Diana mit Eros und Hund, jedoch in intensiverer roter Patina, ist aus der ehemaligen Sammlung Loppin de Monmort bekannt. Dieses mit * (Asterisk) bezeichnete Objekte ist vollumfänglich mehrwertsteuerpflichtig, d. h. bei diesen Objekten wird die MWST auf den Zuschlagspreis plus Aufgeld berechnet. Käufer, die eine rechtsgültig abgestempelte Ausfuhrdeklaration vorlegen, erhalten die MWST rückvergütet.

Jean-Baptiste DEFERNEX Lyon, 1728 - Paris, 1783 Portrait présumé de la princesse de Béthune-Sully Terre cuite

Jean-Baptiste DEFERNEX Lyon, 1728 - Paris, 1783 Portrait présumé de la princesse de Béthune-Sully Terre cuite Signé et daté 'Par J B Defernex. 1772.' sous l'épaule droite Hauteur : 24 cm (9 1/2 in.) Repose sur un piédouche en marbre jaune de Sienne Hauteur totale : 31 cm (12 1/4 in.) Presumed portrait of the princess of Béthune-Sully, terracotta, signed and dated, by J. B. Defernex Provenance : Collection Pierre Decourcelle ; Sa vente, Paris, galerie Georges Petit, 29 mai 1911, n° 187 (15.500 francs) ; Collection Alfred Sussmann ; Sa vente, Paris, galerie Georges Petit, Mes Lair-Dubreuil et Baudouin, 18-19 mai 1922, n° 62 ; Collection Paul Dutasta ; Sa vente, Paris, galerie Georges Petit, Mes Lair-Dubreuil et Desvouges, 3 juin 1926, n° 74 (40.000 francs) ; Vente anonyme ; Paris, Hôtel Drouot, Mes Couturier et de Nicolay, 16 juin 1983, n° 43 ; Vente anonyme ; Paris, Hôtel Drouot, Tajan, 1er décembre 1995, n°197 ; Acquis par Fernand Lafarge chez Stéphane Grodée à Amiens en décembre 1995 Bibliographie : Stanislas Lami, 'Dictionnaire des sculpteurs de l'école française au XVIIIe siècle', Paris, 1910 (réed. 1970), t. I, p. 255 Jean-Louis Vaudoyer, "La collection de M. Pierre Decourcelle", in 'Les Arts', mars 1911, p. 10, repr. Louis Réau, " Jean-Baptiste Defernex, sculpteur du duc d'Orléans 1729-1783 ", in 'Gazette des Beaux-Arts', 1931, p. 353, fig. 4, p. 360-361, et p. 367, n° 13 Jean-René Gaborit, Isabelle Lemaistre, Guilhem Scherf, 'Skulptur aus dem Louvre: sculptures françaises néo-classiques 1760-1830', cat. exp. Paris, musée du Louvre, 1990, p. 216, mentionné et reproduit dans la notice du n°76 Estimation 6 000 - 9 000 €

JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783)

JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783) Diane et Cupidon. Sujet en terre cuite. Signé et daté 1771. H. 44,5 cm, L. 20 cm, P. 13 cm Provenance : - Collection Loppin de Montmort, Dijon - Collection Dr R. Jungbauer, Straubing (Bavaria) - Collection particulière Rambrouch, Luxembourg. Sculpteur de figures, bustes, portraits. D’entre le peu de renseignements biographiques sur cet artiste, on sait qu’il vécu à Paris et qu’il était membre de l’Académie de Saint-Luc, reçu en 1760, où il devint adjoint à professeur en 1763. Defernex semble avoir été un esprit indépendant, concentré dans l’exercice de son art et ayant vécu hors coterie. Sculpteur du duc d’Orléans, il ne figura cependant pas parmi les membres de l’Académie Royale. Il se présenta au Salon en 1774 avec plusieurs bustes, entre autres celui en marbre de M. de Sartine, lieutenant général de police. Defernex figura d’autre part à l’Exposition de l’Académie de Saint-Luc, en 1776, avec des œuvres importantes, comme le buste en plâtre, en grandeur naturelle, du Prince Repin, ambassadeur de Russie à la cour d’Espagne. On doit encore à ce sculpteur les deux groupes d’enfants soutenant les lanternes qui éclairaient le grand escalier du Palais-Royal, ainsi que les deux trophées en pierre qui décoraient l’attique des portiques de la première cour de ce palais. Sa technique est celle des grands sculpteurs de l’époque, des Houdon, Pajou, Lemoine. Il recourt à la terre cuite, comme le font Clodion et Houdon. Il n’aurait pas trouvé d’autre mode d’expression pour extérioriser, en la traduisant de façon durable, l’impression fugitive qui était la caractéristique même de sa manière de sentir et d’appréhender le réel. La terre cuite, dans sa matité, conserve à jamais l’impression première, elle perpétue le sentiment même du modeleur, avec la nervosité de son coup de pouce, la fugacité de son intuition. Ses bustes de femmes sans draperie, échappent par là à la marque de l’époque. La manière est simple, excluant la recherche d’effets compliqués : tout l’art est dans l’expression des visages, le mouvement des yeux, des bouches. Enfin, il n’est pas sans intérêt de remarquer que ce sculpteur, dont l’oeuvre accuse une recherche des valeurs qui l’apparente au peintre, a également trouvé l’emploi de sa manière essentiellement réaliste dans l’exécution de petits sujets de genre, à la Chardin, tels que La Mangeuse d’oeufs, L’écailleuse d’huitres, Le Bénédicité, qui représentent un autre aspect de son talent. Diane (en grec Artémis), l’une des douze divinités de l’Olympe. L’aspect sous lequel on la connaît bien, celui de la vierge chasseresse des Grecs, personnification austère et sportive de la chasteté, n’est qu’une facette de cette déesse aux visages multiples. C’était à l’origine une divinité préhellène de la terre, dont l’une de ses fonctions était de protéger, non de détruire, la vie sauvage. On l’identifia pour finir à la déesse de la lune, Luna (Séléné), dont la chasteté n’était pas un trait caractéristique. Les Romains l’adoraient sous la forme triple : Luna (le ciel), Diane (la terre), Hécate (le monde souterrain). Le mythe en faisait la fille de Jupiter et de Latone (Léto), et la soeur jumelle d’Apollon. Figurée en tant que chasseresse, elle apparaît grande et mince, vêtue d’une courte tunique et les cheveux attachés en arrière. Elle est dotée d’un arc et d’un carquois, ou d’une javeline ; un chien ou un cerf l’accompagne. Depuis l’Antiquité, son char est attelé de cerfs. En tant que déesse de la Lune, elle a pour attribut, sur le front, un croissant de lune ; elle conduit un char tiré par des chevaux ou par des nymphes. Personnifiant la chasteté, elle porte parfois un bouclier pour se protéger des flèches de l’Amour. La Chasteté peut être assistée de Minerve, déesse de la Sagesse. Diana and Cupid, terra-cotta, signed and dated 1771. H. 18 in, L. 8 in, P. 5 in.

BUSTE DE MADAME DE FONDVILLE Attribué à Jean-Baptiste DEFERNEX (1729-1783)

BUSTE DE MADAME DE FONDVILLE Attribué à Jean-Baptiste DEFERNEX (1729-1783) Marbre blanc H. 66,5 cm, L. 40 cm, P. 25 cm

A WHITE MARBLE BUST OF A LADY, POSSIBLY PRINCESSE DE BÉTHUNE-SULLY (17

A WHITE MARBLE BUST OF A LADY, POSSIBLY PRINCESSE DE BÉTHUNE-SULLY (1729-1783) BY JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783), 1773 Signed J.B. Defernex fecit. 1773, on a cream and red marble circular socle 12 1/2 in. (31.6 cm.) high, overall

BUSTE DE MADAME DE FONDVILLE

BUSTE DE MADAME DE FONDVILLE Attribué à Jean-Baptiste DEFERNEX (1729-1783) Marbre blanc H. 66,5 cm, L. 40 cm, P. 25 cm La jeune femme représentée montre un visage doux et serein. Ses épaules sont recouvertes d’un drapé souple. Sa longue chevelure s’agrémente d’une rose, ajoutant à la délicatesse du modèle. Madame de Fondville (1721-1787) épousa le Conseiller du Roi, Receveur particulier des gabelles et des huiles. Ils vivaient dans un prestigieux hôtel du Mans et y côtoyaient les grands personnages du Royaume tels le Maréchal de Duras, le Comte de Bissey et le Marquis Voyer d’Argenson. Notre oeuvre peut être attribuée à Jean-Baptiste Defernex, sculpteur français du XVIIIe siècle, qui excella dans la représentation de jeunes femmes en buste. On connaît de lui une représentation de Madame de Fondville en terre cuite conservée au Musée du Mans. En tant que membre de l’Académie de Saint Luc, il est fort probable qu’il ait rencontré Madame de Fondville par l’intermédiaire de Voyer d’Argenson. Il débuta sa carrière comme modeleur à la Manufacture de Sèvres puis se mit au service du Duc d’Orléans. Bien qu’il ne reçut jamais de commande officielle, il participa à plusieurs salons et fut reconnu par la critique. En 1757, il réalise le buste de Madame Favart en terre cuite conservé au Musée du Louvre, témoignage caractéristique de son travail .

BUSTE DE MADAME DE FONDVILLE

BUSTE DE MADAME DE FONDVILLE Attribué à Jean-Baptiste DEFERNEX (1729-1783) Marbre blanc H. 66,5 cm x L. 40 cm x P. 25 cm La jeune femme représentée montre un visage doux et serein. Ses épaules sont recouvertes d’un drapé souple. Sa longue chevelure s’agrémente d’une rose, ajoutant à la délicatesse du modèle. Madame de Fondville (1721-1787) épousa le Conseiller du Roi, Receveur particulier des gabelles et des huiles. Ils vivaient dans un un prestigieux hôtel du Mans et y côtoyaient les grands personnages du Royaume tels le Maréchal de Duras, le Comte de Bissey et le Marquis Voyer d’Argenson. Notre oeuvre peut être attribuée à Jean-Baptiste Defernex, sculpteur français du XVIIIe siècle, qui excella dans la représentation de jeunes femmes en buste. On connaît de lui une représentation de Madame de Fondville en terre cuite conservée au Musée du Mans. En tant que membre de l’Académie de Saint Luc, il est fort probable qu’il ait rencontré Madame de Fondville par l’intermédiaire de Voyer d’Argenson. Il débuta sa carrière comme modeleur à la Manufacture de Sèvres puis se mit au service du Duc d’Orléans. Bien qu’il ne reçu jamais de commande officielle, il participa à plusieurs salons et fut reconnu par la critique. En 1757, il réalise le buste de Madame Favart en terre cuite conservé au Musée du Louvre, témoignage caractéristique de son travail (fig. 2).

Jean-Baptiste Defernex Paris, 1729 - 1783 Enfant au lapin Terre cuite

Jean-Baptiste Defernex Paris, 1729 - 1783 Enfant au lapin Terre cuite Signée et datée 'J.B. Defernex / 1760' sur la pierre sur la terrasse 'CHILD WITH A RABBIT', TERRA COTTA, SIGNED AND DATED, BY J.-B. DEFERNEX h: 11 w: 13,50 d: 9,80 cm Commentaire : Sculpteur au temps du règne de Madame de Pompadour sur les arts, Jean-Baptiste Defernex travailla notamment pour les manufactures de Vincennes puis de Sèvres à la réalisation de modèles pour des figures en biscuit de porcelaine tendre qui connaissaient alors un grand succès. De nombreuses figures d'enfants, la plupart d'après des modèles de François Boucher pour le décor du château de Crécy, d'où leur regroupement sous le titre d' " Enfants Boucher ", furent modelées pour la manufacture dans les années 1750. Notre charmant petit Enfant au lapin se situe dans la continuité de cette commande et était sans doute destiné à servir de modèle pour un biscuit.

BUSTE EN BRONZE REPRESENTANT MADAME DE FONDVILLE D'APRES JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783), FRANCE, XIXEME SIECLE Signé sur la tranche à l'épaule Par. J.B. Defernex 1759; reposant sur un piédouche en marbre Hauteur: 40 cm. (15¾ in.); Hauteur totale: 55 cm. (21 2/3 in.)

D'APRES JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1728-1783) Portrait de jeune femme

D'APRES JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1728-1783) Portrait de jeune femme Buste en terre cuite Porte une signature et une inscription sous la découpe du buste, au dos : Mlle Camargo JJ Caffieri Fit. Hauteur totale : 57 cm. (22 1/2 in.) A TERRACOTTA BUST OF A YOUNG LADY AFTER JEAN-BAPTISTE DEFERNEX

BUSTE EN TERRE CUITE REPRESENTANT MADAME DE FONDVILLE

BUSTE EN TERRE CUITE REPRESENTANT MADAME DE FONDVILLE D'APRES JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1728-1783), FRANCE, XIXEME SIECLE La tête légèrement tournée vers la gauche; signée (PAR. J. Bte. FERNEX. 1750) ; reposant sur un piédouche en marbre bleu turquin Hauteur: 39 cm. (15¼ in.) ; Hauteur totale: 49 cm. (19¼ in.)

JEAN-BAPTISTE DEFERNEX,1729 - 1783 GROUPE DE NYMPHE ET SATYRE EN TERRE CUITE, 1772

GROUPE DE NYMPHE ET SATYRE EN TERRE CUITE [A FRENCH TERRACOTTA GROUP OF A NYMPH AND SATYRE BY JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729 - 1783), SIGNED AND DATED J.B. DEFERNEX 1772] sur un socle en bois doré à frise de perles signé et daté J.B. Defernex 1772

TÊTE DE FEMME EN TERRE CUITE FRANCE, FIN DU XVIIIE SIÈCLE, ENTOURAGE DE JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783)

TÊTE DE FEMME EN TERRE CUITE [A FRENCH LATE 18TH CENTURY TERRACOTTA HEAD OF A WOMAN, CERCLE OF JEAN-BAPISTE DEFERNEX (1729-1783); ON A GREY MARBLE BASE] le regard légèrment tourné vers la droite, sa tête est coiffée d'un diadème orné d'étoiles, ses cheveux attachés à l'arrière retombent en boucles sur son épaule gauche

Jean-Baptiste Defernex,1729 - 1783 Diane, 1772 , An 18th century French terracotta statuette of Diana by Jean-Baptiste Defernex (1729 - 1783), signed and dated J.B te . DEFERNEX 1772 terre cuite

signée et datée J.B te . DEFERNEX 1772 terre cuite

Jean-Baptiste DEFERNEX (1729-1783) - Jeune femme

Jean-Baptiste DEFERNEX (1729-1783) - Jeune femme nue allongée...

BUSTE DE MADAME DE FONDVILLE FRANCE, XIXE SIÈCLE, D'APRÈS JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783)

[A FRENCH 19TH CENTURY PLASTER BUST OF MADAME DE FONDVILLE, AFTER THE MODEL BY JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783)] XIXE SIÈCLE, D'APRÈS JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783) measurements haut. 49 cm alternate measurements height 19 1/4 in le regard légèrement dirigé vers la droite, ses cheveux, ornés de fleurs, sont attachés à l'arrière de la tête et retombent en deux mêches bouclées sur les épaules portant la signature et la date J.B. Defernex en 1759 buste en plâtre patiné ; piédouche en plâtre, LITERATURE Références bibliographiques: - E. Molinier, Exposition rétrospective de l'art français des origines à 1800, musée Le Mans, s.d. - Cat. exp. French Paintings and Sculptures of the 18th century, Heim Gallery, Londres, 1968, no. 58. - S. Lami, Dictionnaire des Sculpteurs de l'Ecole Française du Dix-huitième siècle, Paris, 1910, p. 254-256. NOTE Defernex a réalisé le buste en terre cuite de madame de Fondville en 1759 et l'expose au Salon de l'Académie Saint Luc en 1762 (aujourd'hui conservé au musée du Mans). Une version en bronze date de 1760. Plusieurs exemplaires de ce modèle en plâtre sont connus, dont un identique au nôtre, ancienne collection Jules Strauss, vendu au Palais Galliera à Paris, le 7 mars 1961, sous le lot 88. Louise-Marie Bailly de Saint-Mars (1721-1787) épouse en 1740 Richard de Fondville (1709-1796), conseiller du Roi, receveur particulier des finances de l'élection du Mans. Le couple occupait un hôtel particulier dans la ville et comptait parmi leurs invités le maréchal de Duras, le comte de Bissey, et le marquis Voyer d'Argenson. Madame de Fondville était connue pour son charme, et fut décrite comme 'une femme aimable et renommée dans notre ville'. C'est vraisemblablement à la demande du marquis Voyer d'Argenson, protecteur de l'Académie Saint- Luc, que Defernex réalisa son portrait en 1759.

A CARVED MARBLE BUST OF A LADY, POSSIBLY MME. DE FONDVILLE

BY JEAN-BAPTISTE DEFERNEX (1729-1783), 1757 Depicted with her head turned to dexter and flowers and ribbons in her hair; signed and dated on the reverse of the shoulders 'par. J B. Defernex. 1757'; on a square spreading marble socle. 19 3/4 in. (50.2 cm.) high; 25 in. (63.5 cm.) high, overall