Bust of the Duke of Pimodan, 1878 White Carrara marble Signed and dated on reverse H : 83 x W : 59 cm ANTONIO ROSSETTI (1819-1881) Buste du duc de Pimodan, 1878 Marbre blanc de Carrare Signé et daté au revers H : 83 x L : 59 cm Provenance : Par descendance au propriétaire actuel Georges de Rarécourt de La Vallée de Pimodan, Marquis de Pimodan, comte de la Vallée, duc de Rarécourt (duc romain), général de brigade, naît en 1822 et décède lors de la bataille de Castelfidardo en Italie le 18 septembre 1860. Il s’agirait donc ici d’un buste posthume
Antonio Rossetti Italian b. 1819 Esmeralda and Djali signed and dated: A. ROSSETTI. F. R. 1859, and inscribed: P H E B U S white marble 57.5cm., 22 5/8 in. Bid on Sotheby's
Antonio ROSSETTI (1819 - 1870) La jeune esclave dite 'L'Esclave nubienne' 1860 Sculpture en marbre blanc , elle repose sur un piédestal en marbre orné de quatre scènes bas-reliefs et de décor de fleurs et de cannelures Signée, située et datée " A ROSSETTI F. ROMA 1860 " dans un cartouche sur la base H. 105,5 cm P : 63 cm H. du piédestal 86 ,5 cm D. total 78 cm EJG Encrassement et rouille, petits accidents et manques (dont bout de l'orteil droit manquant) , cassure dans la partie inférieure du piédestal Oeuvres en rapport : -Antonio Rossetti, L'Esclave nubienne, copie d'une oeuvre de 1858 (maintenant dans une collection privée), marbre blanc, Botanic Garden, Glasgow, Ecosse , - Antonio Rossetti, Odalisque assise,1872, marbre, H. : 109,5 cm, vente Sotheby's Londres, 02/07/2013 Littérature en rapport: -Ray McKenzie, Public Sculpture of Glasgow, 5th volume of Public Sculpture of Britain,2002, Liverpool University Press, -A. Panzetta, Nuovo dizionario degli scultori Italiani dell'ottocento e del primo novecento da Antonio Canova ad Arturo Martini, Turin,2003, - Jordan Konell, Nemerov talks American art, "The Greek Slave", Yale Daly News, 21 septembre 2011, - University of Glasgow History of Art, Mapping the Practice and Profession of Sculpture in Britain and Ireland 1851-1951, online database 2011: 'Antonio Rossetti', - Roger Botte, " Des européens au marché aux esclaves : stade suprême de l'exotisme ? Égypte, première moitié du XIXe siècle ", in Revue africaniste, t.86-2,2016, Varia, pp.6-51 , Cette sculpture monumentale représentant une femme asservie au canon idéalisé témoigne de la rencontre dans la statuaire du milieu du XIXème siècle de la tradition néoclassique, du mouvement romantique et des thématiques de l'orientalisme naissant. Reposant sur un piédestal, notre jeune esclave a été réalisée par l'artiste milanais, Antonio Rossetti, grand admirateur de Canova. Étudiant et travaillant principalement à Rome, il acquiert une solide réputation internationale en exécutant dans son atelier des oeuvres figuratives d'inspiration néoclassique. A l'instar de toute une génération d'artistes, il semble que Rossetti se soit inspiré de différents évènements historiques contemporains pour réaliser cette oeuvre à la fois poétique et porteuse d'un message politique. La Guerre d'indépendance grecque soutenue par les puissances européennes contre l'Empire ottoman (1821-1830), les débats nationaux abolitionnistes et le développement d'un tourisme tourné vers l'Orient donnent naissance au thème de l'Esclave grecque, destiné à un grand succès dans tous les media artistiques. En sculpture, le sujet est d'abord magistralement traité par l'artiste américain Hiram Powers qui réalise en 1844 à Florence sa Greek Slave (1844, marbre, Château de Raby, Angleterre). Il s'est inspiré de la Vénus de Médicis exposée à la Galerie des Offices pour représenter une jeune femme grecque, dénudée et enchaînée après avoir été capturée par des Turcs de l'Empire ottoman durant la Révolution grecque. D'abord critiquée - c'est le premier nu féminin de taille humaine exposé sur le sol américain - l'oeuvre est ensuite vivement acclamée par la critique, l'auteur dénonçant ici l'esclavage aux États-Unis. A la suite de cette oeuvre au retentissement international, le thème apparait comme prometteur et lucratif pour les artistes européens, y compris italiens, qui exécutent des images " dérivées " de l'Antique, et, désormais de l'Orient, depuis que le traditionnel Grand Tour s'est étendu aux frontières de la Méditerranées. Alors que l'esclavage est aboli au Royaume Uni depuis 1833, en France depuis 1848, et que le marché aux esclaves du Caire est officiellement supprimé en 1855, des artistes tels que Giovanni Antonio Lanzirotti ou Scipione Tadolini sont également séduits par le thème. Il leur permet de représenter de belles femmes à la nudité à peine cachée, selon le modèle hellénique, et ce, dans un esprit tout romantique : ainsi, l'Esclave en bronze exécutée en 1858 par le premier (dim. 90 x 85, Nice, musée des Beaux-Arts Jules Chéret, exposée au Salon de 1859 à Paris) et surtout l'Esclave grecque (1862, Marbre Museo de Bellas Artes, Seville) et l'Odalisque assise (1871, marbre, Vente Christie's Londres du 29 novembre 2016, lot 203) exécutées par Scipione Tadolini. Coiffées d'un turban à franges à la manière de celui couvrant la chevelure de la Grande Odalisque de Jean-Auguste Dominique Ingres (1814, Paris, Musée du Louvre, n°inv. RF1158), elles sont toutes dévêtues, avec pour seules parures, un collier, un bracelet au bras droit , leur pudeur protégée par un simple drapé. Bien que notre oeuvre soit intitulée par la littérature " l'Esclave nubienne ", elle présente tout comme les exemplaires cités, des traits du visages - et le nez surtout - caractéristiques du canon idéal donné à la beauté grecque. Sa longue chevelure ondulant jusqu'au bas de ses reins, sa ferme poitrine dénudée, son air résigné et vertueux dégagent une forte sensualité propre à plaire à un public européen fortuné et mondain. Tout comme un grand nombre des commandes exécutées par Rossetti, ou encore Tadolini, l'oeuvre était présentée et vendue avec un piédestal produit par l'atelier, dont le décor en relief se rapporte au sujet sculpté. Ainsi une autre base ornée des quatre mêmes bas-reliefs relatant l'histoire de la traite des esclaves accompagnait une autre oeuvre de l'artiste intitulée l'Odalisque assise (1872, marbre, vente Sotheby's en 2013). Les quatre scènes décrivent successivement le terrible périple réalisé par les esclaves depuis leur capture, leur voyage en bateaux négriers sur le Nil, jusqu'à leur arrivée au marché et leur vente à des prélats égyptiens ou européens. Mettant en valeur son héroïne romantique asservie, le socle pourrait bien aussi être une discrète et néanmoins visible critique de cette coutume fantasmée par la clientèle européenne, amatrice d'art et de beauté féminine.
Antonio Rossetti (Italian, 1819-1870): A carved white marble figure of Cupid holding a torch the young putto clad in flying drapery holding his torch in his right hand and standing by a rustic tree trunk, on naturalistic circular base, signed and dated to the side A. ROSSETTI, ROMA 1867, raised on a contemporary sectional column plinth with moulded top and socle on shallow square plinth base, now lacking the flame to torch, the figure, 113cm high, the pedestal, 99cm high, 212cm high approximately overall (2) Footnotes Born in Milan, Antonio Rossetti studied and worked in Rome establishing an international reputation for his figurative work specialising in mythological and genre subjects executed in white marble and alabaster. Rossetti's figure of 'The Nubian Slave' dating from circa 1850, originally in the Kibble Palace in Glasgow's Botanic Gardens and later bequeathed to Glasgow museum and art gallery in 1881 features a similar shaped column pedestal to the current lot although the pedestal for the Nubian figure is further carved with four panel reliefs depicting scenes of slavery. He executed a number of other works now in public collections in Britain including 'The Reading Girl' circa 1883, in Lichfield Public Library which is derived from an earlier figure 'Time is Precious', circa 1873 in the Walker Art Gallery, Liverpool and other figural subjects include 'Venus seated on a fountain' which is illustrated in A. Panzetta's, Dizionario degli scultori italiani dell'ottocento e del primo novocento, Torino, 1994, vol. ii, p. 168-169, no. 704 and 'Amor Secreto'. Rosetti's address in Rome was listed as 54 Via Margutta in 1874. Exhibitions: Royal Hibernian Academy Annual Exhibition, 1864 - 'A veiled Cupid', marble statue with pedestal, p. 102 (cat. no. 27, offered for sale £190). Liverpool Autumn Exhibition of Modern Pictures (Liverpool) 1877 - 'Time is Precious', marble statue (cat. no. 1316, not for sale). Dublin International Exhibition of Arts and Manufactures 1865 - Official cat. entry (p. 102).
Rosetti, Antonio (*1926 Ravenna)- Familienzusammenkunft auf einer Wiese, Öl/Malpappe, links unten signiert, ca. 29x38cm, im PP gerahmt Rosetti, Antonio (*1926 Ravenna)- Familienzusammenkunft auf einer Wiese, Öl/Malpappe, links unten signiert, ca. 29x38cm, im PP gerahmt
AN ITALIAN WHITE MARBLE FIGURE OF A MAIDEN, ON PEDESTAL BY ANTONIO ROSSETTI, ROME, DATED 1865 The base signed 'A Rossetti F Roma 1865' on a cylindrical rosso levanto marble pedestal with bleu turquin moulded rim and foot The sculpture: 56 ¼ in. (143 cm.) high; 22 ¼ in. (56.5 cm.) wide; 22 in. (56 cm.) deep The pedestal: 32 ¼ in. (82 cm.) high; 26 in. (66 cm.) diameter
ITALIAN B. 1819 SEATED ODALISQUE signed and dated: Ao. Rossetti. Ft. / Roma 1872 white marble on a veined grey marble column figure: 109.5cm., 43 1/8 in. column: 79cm., 31 1/8 in.
Esmeralda and Djali signed, inscribed and dated 'A. Rossetti. / Fece.Roma 1867' (rear of base) marble on original rotating pedestal 38 x 27 x 27in (96.5 x 68.5 x 68.5cm) excluding base; pedestal 33 x 29 x 29in (84 x 74 x 74cm)
Antonio Rosetti (ITALIAN, b. 1819) Hidden Love signed, insribed and dated 'A Rosetti Roma Fece 1878' (on the base) marble height 36½ in. (92.7 cm.) height of the base: 39¼ in. (99.7 cm.) Executed in 1878.
Antonio Rossetti Italian, b. 1819 Amor Secreto Signed A. Rossetti and inscribed Roma White marble raised on a gray marble base Height excluding base 35 1/2 inches
ITALIAN, B. 1819 VENUS ACCOMPANIED BY PUTTI AT A FOUNTAIN measurements height: 60 in. (pedestal height: 29 3/4 in.) alternate measurements 152.4 (75.5 cm) signed A.Rossetti. O. Andreoni Roma (at base) white marble on a verona red marble pedestal LITERATURE Alfonso Panzetta, Dizionario Degli Scultori Italiani Dell'Ottocento E Del Primo Novecento, Turin, 1994, vol. II, p. 158, no. 704 (a related example) NOTE Milanese-born Rossetti studied and worked in Rome at the Academy. As an apprentice he was often charged with preparing blocks of marble by using the multi-point technique, in which reference points were taken from a smaller plaster or bronze model and translated onto a block of marble. The young Rossetti would then carve out the waste areas--providing the more advanced artists with a block already carved with an outline of the figure. This early training made him particularly skilled in fine carving--as demonstrated in the present work, remarkable in its intricate detail of foliage, architecture, and the modeling of the female form. Here the goddess Venus, her robe slipping slightly from her body, is poised on a fountain, water pouring from a spout in the form of a satyr's mouth, as playing putti emerge from the pool below. Such allegorical goddess figures were common in fountain decoration of the period, and Venus (or Aphrodite), in particular, was often linked with water. Rossetti's fountain reveals the goddess of love proffering a shell, a symbol of her birth from sea foam on a scallop shell. Fellow sculptors and artists from Bouguereau to the Pre-Raphaelites often depicted a young woman or goddess-figure to suggest the alluring possibilities of magical waters. Certainly, Rossetti's figure promises to quench the thirst of all who may desire her.