AFTER ALESSANDRO ALGARDI (1595-1654) TWO BRONZE FLAGELLATORS LATE 17TH/EARLY 18TH CENTURY Set on black swept slate bases taller 25cm high overall, bases 11cm wide
Alessandro ALGARDI, dit L'ALGARDE Bologne, 1598 - Rome, 1654 Vierge à l'enfant Bronze à patine brun nuancé Hauteur : 47 cm (Accident au poignet gauche de la Vierge, petites déformations à la main gauche de la Vierge et à la main droite de l'Enfant Jésus) Repose sur une base en bois noirci Hauteur totale : 59 cm Virgin and Child, bronze with nuanced brown patina, by L'Algarde H: 18,5 in. Expositions : Roman Treasures. Paintings - Sculptures - Decorative Arts (1st to 19th centuries), Andrea Bacchi (dir.), Londres, Brun Fine Arts, 2023, p. 54-61, n° 7 Bibliographie : Bibliographie en rapport : Rudolf Wittkower, " Un bronzo dell' Algardi a Urbino ", in Rassegna marchigiana, VII, 1928, p. 41-44 Jennifer Montagu, Alessandro Algardi, New Haven, 1985, II, p. 348-350, n° 43 Jennifer Montagu, in Algardi. L'Altra faccia del barocco, cat. exp. Rome, Palazzo delle Exposizioni, 1999, p. 224, n° 57 et p. 227, n° 60 - S. Bewer, " Note technique sulla fusion a cera persa dei bronzetti ", in cat.exp. Algardi. L'Altra faccia del barocco (op cit.) , pp.217-223 Commentaire : Autres exemplaires en bronze conservés dans des institutions et collections privées : - Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, bronze, H.45,5 cm, Londres, Collection Scarisbrick ; - Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, bronze, H. 49 cm, Berlin, Staatliche Museum, Skulpturen Galerie, inv.7124; - Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, bronze, H.48,3 cm, New York, Collection Alexis Gregory ; - Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, bronze, H.48, 3 cm, Los Angeles County Museum of Art, inv. M.51.11 ; - Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, bronze, H.48,5 cm Urbino, Deposito del Comune di Urbino presso la Galleria Nazionale delle Marche ; -Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, bronze argenté et doré, H.47,5 cm, Collection privée ( cat.43.C. 11 du catalogue de Jennifer Montagu, 1985) ; - Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, bronze, H.48 ,3 cm, Norfolk, Chrysler Museum, inv. L79.I57 ; - Alessandro ALGARDI, Vierge à l'Enfant, argent, H. 48 cm, Gênes, collection privée ( cat.43.C.2 du catalogue de Jennifer Montagu, 1985) Cette imposante figure en bronze d'une rare et haute qualité d'exécution est tirée d'un modèle de Vierge à l'Enfant créé par l'illustre sculpteur bolonais Alessandro Algardi. Formé dans sa ville natale à l " Accademia " du peintre Annibale Carracci, il entre d'abord au service du duc de Mantoue Ferdinando Gonzague vers 1622. Il y découvre l'art antique et réalise déjà de petits modèles pour des statuettes en bronze et en argent. Recommandé au cardinal Ludovisi, neveu du défunt pape Grégoire XV qui protégeait les artistes bolonais, il s'installe à Rome en 1625. Il réalise, dans un contexte marqué par une grande concurrence, des premiers travaux de restaurations et d'ajouts aux sculptures classiques de la collection Ludovisi. Vers 1628, il reçoit de premières commandes publiques à San Silvestro al Quirinale, ainsi que des commandes de portraits qui lancent sa carrière. En 1634, il conclut un contrat pour réaliser un ouvrage de la plus haute importance ; le tombeau de Léon XI à Saint-Pierre (achevé en 1652). Dans les années 1640, son talent éclate véritablement au grand jour avec la réalisation du groupe de Saint Philippe et l'Ange pour Santa Maria in Vallicella. Distingué par sa nomination comme 'Principe de l'Accademia di San Luca' en 1640, il devient également l'un des sculpteurs officiels du nouveau Pontif nommé en 1644, Innocent X. Les œuvres de l'artiste ont connu un prestige qui n'a été égalé que par l'autre Maitre du Baroque, Gian Lorenzo Bernini. Algardi est aussi considéré comme l'inventeur de sculptures en bronze le plus actif de sa génération. De nombreux exemplaires en bronze issus des commandes qui lui ont été faites tout au long de sa carrière sont encore conservées de nos jours. Parmi ces derniers, se distingue le corpus d'exemplaires en bronze, bronze argenté et argent de notre Vierge à l'Enfant. Le modèle est daté des années 1645, période pendant laquelle Algardi travaille à la réalisation d'une Vierge à l'Enfant pour l'autel de Saint Nicolas de Talentino. L'attitude des protagonistes revêt un certain mystère non encore élucidé mais qui a conduit certains spécialistes à penser que la Vierge a pu tenir originellement quelque chose dans sa main gauche, un scapulaire ou un rosaire. C'est d'ailleurs sous cette appellation de " Vierge du Rosaire " qu'elle a été souvent désignée. Cette dévotion particulièrement populaire au XVIIe siècle explique sans doute pourquoi ce modèle a connu un vif succès. Les recherches faites par les spécialistes de l'artiste, R. Wittwoker et J. Montagu ont permis d'en dénombrer huit exemplaires localisés dans des musées ou collections privées (cf ci-dessus) et cinq exemplaires non localisés qui sont référencés dans des archives ou documents (Biographie de Jennifer Montagu publié en 1985, exemplaire n°43.L.C4 : ancienne collection du Palais royal de Madrid ; n°43.L.C.5 : passage en vente à Munich le 14 décembre 1895, n°547 ; n° 43.L.C.7 : ancienne collection du sculpteur Philippe Cayeux vendu le 11-13 décembre 1769 ; n°43.L.C.8 : anciennement collection Carlo Maratti, Rome ; n°43.C.9 : Stuttgary, Collection Meyer Ilschen). Bien que le modèle de l'œuvre en cire soit mentionné dans l'inventaire après décès de l'un de ses célèbres élèves, Ercole Ferrata, peu de sources historiques du XVIIe siècle mentionnent les bronzes dérivant de ce modèle. L'étude précise de F. Curti développée par A. Bacchi met cependant en avant la découverte des mentions de deux exemplaires - l'un en bronze directement acquis auprès de l'artiste en 1645-46, l'autre en argent " posé sur une base en ébène " - dans les inventaires des biens de la marquise Cristina Duglioli Angelelli (1669). Les sources font donc défaut sur le contexte de création de ce corpus, mais cette référence d'une commande privée directement à l'artiste est capitale pour confirmer la création de ces petits objets de collection de haute qualité (aussi fondus en argent) réalisés d'après le modèle d'Algardi et sous sa supervision. L'étude technique et stylistique des différents exemplaires qui a pu être réalisé à l'occasion de l'exposition de 1999 à Rome est tout aussi intéressante : elle a souligné la haute qualité d'exécution plutôt homogène des différents exemplaires en bronze, qualité partagée avec notre version. L'étude a aussi permis de mettre l'accent sur les subtiles variantes au niveau des pieds de la Vierge, chaussée ou non. Notre Vierge présente des pieds nus, à l'instar de la version conservée au County Museum of Art de Los Angeles, et surtout comme l'exemplaire de plus petite dimensions conservé dans une collection privée à Londres, considéré hypothétiquement par J. Montagut comme le 'chef modèle' de la série. (L'idée suggérée par Andrea Bacchi serait que les semelles et lacets chaussant les pieds des autres versions aient été modelés directement sur les modèles en cire). Tout aussi importante est la présence d'un petit socle en ébène d'origine sur laquelle est posé le bronze. Comme l'absence de base dans la partie inférieure de notre figure le laisse penser, l'œuvre a été conçue pour être installée sur un socle séparé, tout comme l'exemplaire de la marquise Duglioli qui est également en ébène. La forme même de la base est par ailleurs très proche de l'exemplaire londonien déjà mentionné. Notre exemplaire de Vierge à l'Enfant a indiscutablement sa place dans ce corpus d'œuvres de très belle qualité dont la paternité à Algardi est confirmée par les plus grands spécialistes depuis une quarantaine d'années. On y retrouve la même fermeté du modelé, la même application dans le traitement des surfaces et dans les reprises en ciselure. La statuette donne une impression de fluidité et de souplesse, accentuée par l'exceptionnel moelleux des drapés dont la surface est par endroit très légèrement brossée. Dans les chevelures, les contours des yeux et sur les mains, les traces d'outils précises et incisives donnent vie avec grâce et élégance aux deux figures. L'ensemble de la fonte est d'une grande finesse, parfaitement maitrisée, à la fois rigoureuse, subtile et soignée elle s'inscrit sans conteste parmi les plus beaux exemplaires de la série. Estimation 200 000 - 300 000 €
Property from the Asbjorn Lunde Foundation After Alessandro Algardi (Bologna 1598 - Rome 1654) Relief of the Madonna and Child, from the altar of San Nicholas da Tolentino bronze, mounted on red velvet backing in a gilt wood frame height of relief: 18 ¼ in.; 46.35 cm. dimensions of frame: 23.5 by 20 in.; 59.69 by 50.8 cm.
Italian or French, mid-17th century Cast After a Model by Alessandro Algardi Bologna 1598 – 1654 Rome Bust of Jupiter bronze on an ebonized wood socle, with an associated inset giltwood carved base height, including socle: 5 ⅝ in.; 16.8 cm. height of giltwood base: 7 ⅛ in.; 18 cm.
Circle of ALESSANDRO ALGARDI (Bologna, 1595 - Rome, 1654), 17th century. "Crucifixion". Ormolu. Measurements: 25 x 19 x 4 cm. In this devotional sculpture of the Crucified, the modeling of the forms follows a classic canon of balanced anatomy that transmits an immutable beauty, responding to a concept of aesthetic serenity in accordance with the sculptor Alessandro Algardi. We are facing a school assigned to the classicist baroque, far from the drama of the dominant baroque. The polished finish of the gilded bronze and the sinuous line drawn by the body (already relaxed, after the last breath) imbue it with a contained pathos. The aesthetic characteristics bring us closer to the work of Alessando Algardi (Bologna, 1595-Rome, 1654), who began his training with Ludovico Carraci, although his knowledge of sculpture was due to the teachings of Giulio Cesare Conventi. After an early artistic education in his hometown, Algardi, he moved to Mantua, and later to Rome, under the patronage of Cardinal Ludovico Ludovisi. In Rome he belonged to the cultural group of the Carraci students, his popularity was notable, although always overshadowed by the work of Gian Lorenzo Bernini as a sculptor.
Property from the Schminck Collection – Centuries of Collecting Arts & Objects After Alessandro Algardi (Bologna 1598 - 1654 Rome) Italian, 17th/ 18th century Virgin and Child silvered bronze 47cm., 18 1/2 in. _____________________________________ Nach Alessandro Algardi (Bologna 1598 - 1654 Rom) Italien, 17./ 18. Jh. Madonna mit Kind
ALLEGORISCHE FIGUR Höhe: 29,5 cm. Höhe inkl. Sockel: 34,5 cm. In Bronze gegossen, ziseliert und vergoldet. Auf einer quadratischen Plinthe im leichten Kontrapost stehend und in doppelreihigem Gewand gekleidet die weibliche Figur eine Allegorie darstellend, deren Bedeutung mangels der Attribute nicht näher zu bestimmen ist. Auf ebonisiertem Sammlungssockel. (1370152) (3) (13)
Circle of ALESSANDRO ALGARDI (Bologna, 1595 - Rome,1654). "Crucifixion". Gilded bronze. It has some slight leaps in the gilding. Measurements: 42 x 34 cm; 48 cm (height with base). The polished finish of the material, the symmetry and the modelling of the forms which follow the classical canon of a balanced and idealised anatomy, make up an image which, in spite of the dramatism contained in the theme of the crucifixion, transmits an immutable beauty which comes from the aesthetic serenity with which the sculptor has conceived the work. The crucifixion of Jesus has been depicted in religious art since the 4th century. It is one of the most recurrent themes in Christian art and the one with the most evident iconography. Although Christ is sometimes depicted clothed, his body is usually depicted naked, although with his genitals covered with a purity cloth (perizonium); full nudes are very rare, but prominent (Brunelleschi, Michelangelo, Cellini). The conventions of depicting the different attitudes of the crucified Christ are designated by the Latin expressions Christus triumphans ("triumphant" - not to be confused with the Maiestas Domini or the Pantocrator), Christus patiens ("resigned" - not to be confused with the Christ of patience) and Christus dolens ("suffering" - not to be confused with the Vir dolorum). The triumphans is represented alive, with his eyes open and his body erect; the patiens is represented dead, with his will totally emptied (kenosis), his head bowed, his face with a serene expression, his eyes closed and his body arched, showing the five wounds; the dolens is represented in a similar way to the patiens, but with a gesture of pain, particularly in his mouth (curved). The present work, which belongs to the Andalusian school of the 18th century, shows an image full of pathos. A balanced and perfectly studied anatomy denotes the artistic ability of the sculptor, who reflects like no one else the suffering that Christ endured in the last seconds of his life. The aesthetic characteristics bring us closer to the work of Alessando Algardi (Bologna, 1595 - Rome, 1654), who began his training under the guidance of Ludovico Carraci, although his knowledge of sculpture was due to the teachings of Giulio Cesare Conventi. After an initial artistic education in his native Algardi, he moved to Mantua, and later to Rome, under the patronage of Cardinal Ludovico Ludovisi. In Rome he belonged to the cultural group of the pupils of the Carraci, his popularity was notable, although always overshadowed by the work of Gian Lorenzo Bernini as a sculptor.
ALESSANDRO ALGARDI, seguace di (Bologna 1598 - Roma 1654) DECOLLAZIONE DI SAN GIOVANNI BATTISTA Bassorilievo ligneo circolare, diametro cm. 72 PROVENIENZA Famiglia romana CORNICE Cornice con fodera pertinente in noce a lacca bianca, del XVII secolo
ALESSANDRO ALGARDI (Italian, 1602-1654) Tomb of Leo XI in St. Peter's Basilica, Rome. Sanguine Drawing on Paper, Sight 16" x 12". Framed behind glass. Scattered foxing to paper. Note: Algardi was commissioned and contracted in 1634 to begin a monument for Pope Leo XI, the third Medici pope. The monument was started in 1640, and mostly completed by 1644.
Bronzeguss „Jesus fällt unter dem Kreuz“ Höhe: 18,5 cm. Länge: 25 cm. Tiefe: 12 cm. Der Bildhauer gilt als Hauptmeister des römischen Barock, neben Bernini. Zu seinen Hauptwerken zählen die berühmten Büsten und Ganzbildnisse der Päpste seiner Zeit, wie etwa Innozenz X. Die Bronzefigur zeigt eine Szene des Kreuzweges, bei dem Jesus unter der Last des Kreuzes niedergesunken ist. In langem, mit einem Strick umgürteten Kleid dargestellt, stützt er sich mit dem linken Arm auf einen Stein, seine Rechte ist erhoben und – wie auf dem Original im Kunsthistorischen Museum Wien zu sehen (Kunstkammer, 8640) – ist er gezeigt, wie er den Querbalken des Kreuzes hält. Das Exemplar im Museum vergoldet, das Kreuz dort mit Edelsteinen besetzt, hier jedoch ohne Kreuz. Der Guss braun patiniert und in den textilen Bereichen fein in Kaltarbeit nachpunziert. Eine Lochung am Stein verrät, dass auch hier das Kreuz ehem. vorhanden war. Guss in zwei Teilen, Zusammenfügung im Bereich der Taille unter der Kordel.Wohl Zweit- oder Nachguss des 17./ 18. Jahrhunderts nach dem im Museum befindlichen, vergoldeten Original. Schöne Alterspatina, an der Rückseite später wohl aufgrund einer Neuplatzierung im unteren Teil etwas reduziert. Literatur: Kat. Kunsthistorisches Museum Wien. Minna Heimbürger: Alessandro Algardi, sculptore, Istituto Studi Romano, Roma 1973 Jennifer Montagu: Alessandro Algardi, Yale University Press, New Haven, Conn. 1985, , Rezension von Hanno-Walter Kruft in Kunstchronik, Bd. 39 Nr. 5 (1986). A.R. (1341501) (11) Alessandro Algardi, 1598 Bologna– 1654 Rome Bronze casting “Jesus falling beneath the cross” Height: 18.5 cm. Length: 25 cm. Depth: 12 cm.
ALESSANDRO ALGARDI (1945) Untitled 1974 Mixed media and collage on paper 69,8 x 50 cm Signed and dated lower right PROVENANCE: Centro Culturale Sincron, Brescia (stamp on the reverse) Private collection, Milan
Zugeschrieben Heiliger Eremit von Putten umgeben Mit Einfassungslinie in brauner Feder. Verso Rötelzeichnung "Maria in Glorie", Correggio Antonio Allegri (1489 - 1534) zugeschrieben. Sammlernummer 800. Sammlung Paris / New York Gerahmt Ausrufdatum: 26.11.2022 Ungefähre Ausrufzeit: 18:42 MEZ
Circle of ALESSANDRO ALGARDI (Bologna, 1595 - Rome,1654). "Crucifixion". Gilded bronze. It has some slight leaps in the gilding. Measurements: 42 x 34 cm; 48 cm (height with base). The polished finish of the material, the symmetry and the modelling of the forms which follow the classical canon of a balanced and idealised anatomy, make up an image which, in spite of the dramatism contained in the theme of the crucifixion, transmits an immutable beauty which comes from the aesthetic serenity with which the sculptor has conceived the work. The crucifixion of Jesus has been depicted in religious art since the 4th century. It is one of the most recurrent themes in Christian art and the one with the most evident iconography. Although Christ is sometimes depicted clothed, his body is usually depicted naked, although with his genitals covered with a purity cloth (perizonium); full nudes are very rare, but prominent (Brunelleschi, Michelangelo, Cellini). The conventions of depicting the different attitudes of the crucified Christ are designated by the Latin expressions Christus triumphans ("triumphant" - not to be confused with the Maiestas Domini or the Pantocrator), Christus patiens ("resigned" - not to be confused with the Christ of patience) and Christus dolens ("suffering" - not to be confused with the Vir dolorum). The triumphans is represented alive, with his eyes open and his body erect; the patiens is represented dead, with his will totally emptied (kenosis), his head bowed, his face with a serene expression, his eyes closed and his body arched, showing the five wounds; the dolens is represented in a similar way to the patiens, but with a gesture of pain, particularly in his mouth (curved). The present work, which belongs to the Andalusian school of the 18th century, shows an image full of pathos. A balanced and perfectly studied anatomy denotes the artistic ability of the sculptor, who reflects like no one else the suffering that Christ endured in the last seconds of his life. The aesthetic characteristics bring us closer to the work of Alessando Algardi (Bologna, 1595 - Rome, 1654), who began his training under the guidance of Ludovico Carraci, although his knowledge of sculpture was due to the teachings of Giulio Cesare Conventi. After an initial artistic education in his native Algardi, he moved to Mantua, and later to Rome, under the patronage of Cardinal Ludovico Ludovisi. In Rome he belonged to the cultural group of the pupils of the Carraci, his popularity was notable, although always overshadowed by the work of Gian Lorenzo Bernini as a sculptor.
1598 Bologna - 1654 Rome. The flight of Attila. Oil on canvas, relined. Unsigned. H 168, W 121 cm (support). Elaborate frame. The baroque master who created this painting followed an extremely popular and often copied model, the monumental relief by Alessandro Algardi in St. Peter's Basilica in Rome, which depicts the meeting of Pope Leo the Great with the Hun king Attila at the gates of Mantua in 452. With the help of the Princes of the Apostles Peter and Paul, who, according to legend, drew their swords in the clouds, the Pope is said to have put the attacker to flight, thus securing the future of Rome and Christianity. Through the mediation of graphic reproductions, Algardi's sculptural creation spread throughout baroque Europe and was also received in painted form. Provenance: Heinrich Pohlmann (1839 - 1917), German sculptor, and successors. Exhibition: on loan to Bürgeln castle, Schliengen, 28.02.1999 - 08.05.2020. Beschreibung 1598 Bologna - 1654 Rom. Die Vertreibung Attilas. Öl auf Leinwand, doubliert. Unsign. H. 168, B. 121 cm (Bildträger). Prunkrahmen. Der barocke Meister, der dieses Gemälde schuf, eiferte einem äußerst beliebten und oft kopierten Vorbild nach, dem monumentalen Relief Alessandro Algardis im Petersdom in Rom, das die Begegnung Papst Leos des Großen mit dem Hunnenkönig Attila vor den Toren Mantuas im Jahre 452 darstellt. Mit der Hilfe der Apostelfürsten Petrus und Paulus, die der Legende nach in den Wolken ihre Schwerter zückten, soll der Papst den Angreifer in die Flucht geschlagen haben und damit die Zukunft Roms und des Christentums gesichert haben. Durch die Vermittlung druckgraphischer Reproduktionen verbreitete sich Algardis bildhauerische Schöpfung im barocken Europa und wurde auch in gemalter Form rezipiert. Provenienz: Heinrich Pohlmann (1839 - 1917), deutscher Bildhauer, und Nachfolge. Ausstellung: Leihgabe Schloss Bürgeln, Schliengen, 28.02.1999 - 08.05.2020.
CHRISTUS AN DER GEISSELSÄULEHöhe inkl. Sockel: 37 cm.Höhe ohne Sockel: 25 cm.Auf zylindrischem Sammlungssockel der in Bronze gegossene, ziselierte und vergoldete Christus. Das Modell dieses Christus in Girardons Galerie ist mittels Kupferstich wiedergegeben und im späteren Inventar als ein Christus von François Duquesnoy (1597-1643) beschrieben, den Girardon „François le Flamand“ nennt. Er war der Sohn von Jérôme Duquesnoy, dem Autor des berühmten Manneken-Pis, mit dem er in Flandern zu arbeiten begann. Er kam nach Rom und beteiligte sich an der Realisierung des Baldachins von Bernini in Sankt Peter. Er war einer der berühmtesten ausländischen Künstler, die in Rom arbeiteten. Er ist bekannt für seine Putten, die mit einer an Tizian erinnernden Zärtlichkeit dargestellt sind.Anmerkung: Vgl. Christus an der Geißelsäule nach einem Modell von Francois Duquesnoy (1594-1643), The Metropolitan Museum of Art (Inv.Nr. 40.90.1). Literatur: Vgl. Jacques Fischer, The French Bronze. 1500-1800, New York 1968, S. 66. (12718145) (13)Alessandro Algardi, after a model by, 1598 – 1654CHRIST AT THE WHIPPING POST Height incl. base: 37 cm.Height excl. base: 25 cm.On cylindrical collector’s base, the figure of Christ in cast, chased and gilt bronze. A model of this figure of Christ is depicted in Girardon’s gallery according to a copper engraving and described in a later inventory as Christ by François Duquesnoy (1597-1643), whom Girardon describes as “François le Flamand”. Notes:Compare Christ at the Whipping Post after a model of François Duquesnoy (1594-1643), The Metropolitan Museum of Art (inv. no. 40.90.1).Literature:Compare J. Fischer, The French Bronze. 1500-1800, New York, 1968, p. 66.
ALGARDI Alessandro (1598 - 1654) "Christ de la résurrection" en cuivre (?) doré. Reposant sur une colonne en serpentine sculptée. Attribué à Alessandro Algardi. Travail italien. Epoque: début XVIIème. (*). H.(Christ):+/- 54cm. H.(colonne):+/-96cm.
ROMAN SCHOOL (CIRCA 1700), AFTER ALESSANDRO ALGARDI (BOLOGNA 1598 - ROME 1654) Adoration of Christ terracotta, traces of polychromy 31.5 x 40.5 cm (12 1/2 x 16 in.) The present work is after a model by the well-known baroque sculptor Alessandro Algardi. Many versions in bronze and terracotta were produced by his followers from the 17th century onwards.
Da Alessandro Algardi, Roma, secolo XIX CRISTO ALLA COLONNA in bronzo su base in legno circolare modanata, cm 29x8x8, alt. Cristo cm 21 After Alessandro Algardi, Roman, 19th century, Christ at the column L’iconografia del Cristo riprende un modello di Alessandro Algardi (Bologna 1598 – Roma 1654) concepito negli anni trenta del Seicento e variamente replicato dall’artista sia in gruppo, come la Flagellazione in bronzo nel Hofmuseum di Vienna (una replica si trova nel Palazzo Corsini di Firenze) che come singolo elemento, come il Cristo alla colonna in argento della National Gallery di Washington
AFTER THE MODEL BY ALESSANDRO ALGARDI (ITALIAN, 1598-1654) , FIRST HALF 17TH CENTURY, THE BASE ROMAN AND FIRST HALF 17TH CENTURY AND ORIGINAL TO THE BRONZE A GILT-BRONZE FIGURE OF CHRIST CARRYING THE CROSSOn a silver répoussé-mounted ebonized stand151⁄8 in. (38.4 cm.) high, 12 in. (30.5 cm.) wide
École italienne de la fin du XIXe siècle, d'après Alessandro Algardi (1595-1654) Bustes d'après La rencontre de Saint Léon le Grand et d'Attila Paire de bronzes à patine brune H. : 22 cm (8 3/4 in.) Dont socles en marbre blanc et noir : H. : 8,5 cm (3 1/4 in.) A pair of brown patinated busts depicting the meeting of Saint Leo the Great and Attila, Italian school, late 19th century, after Alessandro Algardi (1595-1654) Estimation 2 000 - 3 000 €
ALESSANDRO ALGARDI (1598-1654) (naar) Stervende Christus. Buxus. Armen ontbreken. Naar bronzen model circa 1646. L.: 29 Lit.: Patricia Wengraf, Renaissance & Barogue Bronzes From the Hill Collection, 2014 ALESSANDRO ALGARDI (1598-1654) (naar) Stervende Christus. Buxus. Armen ontbreken. Naar bronzen model circa 1646. L.: 29 Lit.: Patricia Wengraf, Renaissance & Barogue Bronzes From the Hill Collection, 2014 ALESSANDRO ALGARDI (1598-1654) (d'après) La figure du Christ mort. Buis. Manquent les bras. D'après le modèle en bronze réalisé vers 1646. L.: 29 Lit.: Patricia Wengraf, Renaissance & Barogue Bronzes From the Hill Collection, 2014 ALESSANDRO ALGARDI (1598-1654) (after) Christ, dying. Boxwood. Arms missing. After a bronze model from around 1646. L.: 29 Lit.: Patricia Wengraf, Renaissance & Barogue Bronzes From the Hill Collection, 2014
AFTER ALESSANDRO ALGARDI (ITALIAN, 1598-1664): A 19TH CENTURY BRONZE CORPUS CHRISTI Christ depicting with mouth and eyes open, wearing a perizonium, with nails through his hands and feet, 55cm high
CIRCLE OF ALESSANDRO ALGARDI (ITALIAN, 1598-1654): A 17TH CENTURY ROMAN GILT BRONZE FIGURE OF AN ANGEL the winged figure standing a contro-posto, with arms raised, on a scrolling triangular plinth with volute scrolls to each corner and stepped plinth feet, 34cm high Alessandro Algardi was one of the most renowned sculptors working in Rome in the first half of the 17th century, producing both large scale works and small gilt bronze statuettes and reliefs of this type. Compare for instance to the gilt bronze Virgin attributed to Algardi by Jennifer montagu that was sold at Sotheby's London, 9 July 2008, lot 115. This attribution was based on similarities to other works in the sculptor's oeuvre, particularly the folds of drapery and the afterworking to the surface of the bronze. Related Literature: J. Montagu, 'Alessandro Algardi', New Haven and London, 1985, vol. II, p. 347-8, no. 42
MANNER OF ALESSANDRO ALGARDI (1598-1654): MONUMENTAL FOUNTAIN TRITON FIGURE Marble, c. 1630, modeled with splayed fish scale legs and tails, and hands clasps at back. 34 x 28 x 21 1/4 in.
ÉCOLE ITALIENNE DE LA FIN DU XVIIIe SIÈCLE ENTOURAGE D'ALESSANDRO ALGARDI DIT L'ALGARDE (1598-1654) Christ en bronze En bronze redoré, reposant sur une croix en bois noirci H. : 55 cm (21 1/2 in.) A RE-GILDED BRONZE CRUCIFIX, ITALIAN SCHOOL, LATE 18th CENTURY, WORKSHOP OF ALESSANDRO ALGARDI (1598-1654) Le christ est daté du XVIIe siècle, et n'est pas redoré mais comporte des restaurations anciennes à la dorure. The christ is dated 17th century, it has not been reguilded, but bears ancient restorations.
Attributed to ALESSANDRO, ALGARDI (Bologna 1598 - 1654 Rome), Two angels holding a crown over a symbol of the Trinity, with an altar below with symbols of the Evangelists. Brown pen. 14.2 x 8.8 cm. Provenance: - Collection of Helmuth Domizlaff, Munich ALESSANDRO, ALGARDI (Bologna 1598 - 1654 Rom), zugeschrieben Zwei Engeln halten eine Krone über ein Dreifaltigkeitssymbol, darunter ein Altar mit Evangelistensymbolen. Feder in Braun. 14,2 x 8,8 cm. Provenienz: - Sammlung Helmuth Domizlaff, München
PROPERTY FROM THE GUSTAV RAU COLLECTION SOLD TO BENEFIT THE GERMAN COMMITTEE FOR UNICEF ROUNDEL WITH THE BEHEADING OF ST. PAUL with an old Christie's label printed twice with the Christie's logo, stamped twice: 05 DEC 1989 inscribed twice in ink: 77 and inscribed twice in pencil and red ink: 2.349 bronze 50cm., 19½in. diameter
ALESSANDRO ALGARDI (CIRCLE OF) (Bologna 1598-1654 Rome) Crucifixion. Brush and brown ink and wash and black chalk on cream laid paper, double-sided. 460x310 mm; 18x12 1/4 inches. With a study of the Entombment in black chalk, verso. Ex-collection E. R. Lamponi-Leopardi (Lugt 1760, lower left recto).
CRISTO VIVO painted porcelain, mounted on a pine frame with hardwood veneer and silver mounts Christ: 66 by 55cm., 26 by 21 5/8 in.; frame: 108 by 66cm., 42½ by 26in.
CHRISTUS-CORPUS AUF DEM GRABTUCH LIEGEND (''CRISTO DA PROCESSIONE'') Höhe: 51 cm. Länge: 127 cm. Tiefe: 44 cm. Italien, Mitte 18. Jahrhundert. Dunkelroter Ton, gebrannt. Der Körper leicht unterlebensgroß auf dem Grabtuch liegend, Oberkörper und Kopf durch eine vom Tuch überdeckte Unterlage erhöht, Kopf leicht zum Betrachter geneigt, der rechte Arm seitlich des Körpers ruhig angelegt, die linke Hand über dem Lendentuch aufgelegt, das rechte Bein gestreckt, das linke leicht angezogen. Das Gesicht ausdrucksvoll wiedergegeben, von kurzen Bartlocken gerahmt, das Haupthaar in großen Locken über den Tuchsockel herabhängend. An den Wundmalen Andeutung austretender Blutstropfen. Dornenkrone und Kreuznägel am Fußende auf dem Tuch abgelegt, das hier, leicht hochgezogen, Naturgestein erkennen lässt. Insgesamt von hoher, ausdrucksvoller bildhauerischer Kraft. Die stilistische Annäherung an die berühmte Pietà von Michelangelo in St. Peter in Rom von 1517 ist unverkennbar. Von hierher stammt auch die Anregung des unter dem Tuch sichtbar vorgeführten Natursteines. Gutachten: Dem Bildwerk ist eine ausführliche gutachterliche Dokumentation von Dr. Guendalina Serafinelli, Rom, o. J. beigegeben, mit Literaturanhang und Bildbeispielen, so etwa dem Christus-Torso in der Arthur Sackler-Collection, New York. Literatur: J. Montagu, Alessandro Algardi, New Haven - London 1985, Vol. 2 A. Bacchi, La scultura a Roma nel Seicento, Milano, 1996. J. Montagu, (a cura di) Algardi. L´altre faccia del barocco, Roma Palazzo delle Esposizioni, 1999 O. Ferrari, S. Papaldo, Le sculture del Seicento a Roma, Roma, 1999. (7900385)
HERKULESKNABE MIT DER SCHLANGE Höhe: 34 cm. Länge: 33 cm. Breite: 23 cm. Italien, 17. Jahrhundert. Terrakottafigur, Herkules als Knäblein dargestellt. Der griechischen Sage gemäß eine Schlange würgend, die er in der rechten Hand hält und dabei den Kopf in Distanzhaltung zurückgenommen. Der linke Arm am Boden aufgestützt. Sitzfigur auf mitgearbeitetem Sockel, der vorne halbrund vorzieht. Feine Ausarbeitung, in Ton gebrannt, mit schöner Alterspatina. Die Darstellung geht auf Sagen von Apollodor, Theokrit und Pindar zurück. (79003312)
A GILT-BRONZE FIGURE OF CHRIST ON THE ROAD TO CALVARY CAST FROM A MODEL ATTRIBUTED TO ALESSANDRO ALGARDI (1598-1654), ROMAN, CIRCA 1700 On an integrally cast naturalistic base; the cross lacking, very minor wear to the gilding 9 in. (22.9 cm.) long
MÉDAILLON REPRÉSENTANT LA FUITE EN EGYPTE, ITALIE, XVIIE SIÈCLE, D'APRÈS ALESSANDRO ALGARDI (1595-1654) AN ITALIAN, 17 TH CENTURY TERRACOTTA RELIEF OF THE FLIGHT TO EGYPT , AFTER A MODEL BY ALESSANDRO ALGARDI (1595-1654) ; IN A GILTWOOD FRAME dans un cadre en bois sculpté et doré terre cuite patinée et partiellement dorée ; haut. 49 cm; larg. 55 cm height 19 1/3 in; width 21 2/3 in
of octagonal form, the Virgin with arms outstretched, Christ below with billowing drapery behind, the base of the cross depicted to the left side, in a bronze frame (probably later), 32cm wide, 32cm high (12.5" wide, 12.5" high)