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Francesco di Bosio Zaganelli Sold at Auction Prices

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      • FRANCESCO DI BOSIO ZAGANELLI
        Nov. 29, 2018

        FRANCESCO DI BOSIO ZAGANELLI

        Est: €20,000 - €30,000

        (Cotignola, 1460 - Ravenna, 1532) Santa Caterina (?) Olio su tavola applicata su tavola, cm 90X54,5 Provenienza: Stati Uniti d'America, collezione privata New York, Frederick Mont & Newhouse Galleries (1967) Milano, Mercato antiquario (1979 circa) Milano, Collezione privata Finarte, Venezia, 27 febbraio 2005, lotto 30 Bibliografia: B. Berenson, 'Italian Pictures of the Renaissance, Central Italian and North Italian School', Londra 1968, p. 454 D. Rosso, 'Detrazione d'autore', in 'Gente Money', 2, 1989, sp R. Zama, 'Zaganelli e dintorni, per una ricerca sui dipinti di Francesco e Bernardino, fra Cotignola e Ravenna', Faenza 1989, p. 9 R. Zama, 'Gli Zaganelli. (Francesco e Bernardino) pittori', Rimini 1994, pp. 166 - 167, n. 56, tav. XII G. Calogero, in' Il Tesoro d'Italia', catalogo della mostra a cura di V. Sgarbi, Milano 2015, pp. 216 - 217, n. 2 Archiviazione Federico Zeri: n. 59570 (come Bernardino Zaganelli). Il dipinto fu per la prima volta riferito a Francesco Zaganelli dal Berenson, che ne intuiva la sua frammentarietà e l'appartenenza a un polittico in qualità di scomparto destro. Le misure della larghezza infatti, sono prossime al 'San Sebastiano' della Pinacoteca Nazionale di Ferrara e del 'San Giovanni Battista' custodito a Bologna nella chiesa di San Giovanni dei Celestini (cfr. Zama 19944, pp. 164 - 166, n. 55). Tuttavia, nel nostro caso lo stile è secondo la Zama leggermente differente, presentando panneggi rigonfi, meno sbalzati e metallici, sì da suggerire una datazione intermedia tra il 1514 della pala del 'Battesimo' della cappella Laderchi in San Domenico a Faenza (Londra, National Gallery) e il 1518 della pala di San Martino a Viadana. Per quanto riguarda il riferimento al solo Francesco, la vicenda critica dell'opera evidenzia la sola voce di Federico Zeri a pensarla del solo Bernardino, ma bisogna tener conto che l'arte dei due fratelli parve a Roberto Longhi quasi quella di due 'fratelli siamesi' (Nuovi ampliamenti all'Offcina Ferrarese, 1956, p. 145). In questa sede è sicuramente disagevole svolgere e far luce su questo argomento, tenendo specialmente conto delle più recenti indagini condotte da Andrea De Marchi che ha dato loro un volto coerente e quasi in tutto credibile. (cfr. A. De Marchi, 'Da Biduino ad Algardi: Pittura e Scultura a confronto', Torino 1990, pp. 101-113- 'Bernardino Zaganelli inedito: due 'Facies Christi', in 'Prospettiva' 75-76, luglio ottobre 1994, pp. 124-135- M. Tanzi, 'Francesco di Bosio Zaganelli', in 'Ioanes Ispanus. La pala di Viadana. Tracce di classicismo precoce lungo la valle del Po', Viadana 2000, pp. 106-111, e Bernardino di Bosio Zaganelli, Ibidem, pp. 146-153). Comunque, è documentato che il sodalizio lavorativo tra Francesco e Bernardino si interrompe nel 1509 subito dopo la pala oggi nella National Gallery di Dublino, e poco dopo Francesco si trasferisce a Ravenna, ove continuerà ad operare sino alla morte nel 1532. Secondo l'intuizione di Angelo Mazza a esempio, pensare che la tavola in esame sia partecipe di una creazione unitaria è suggerita da quell'aurea veneta e belliniana che emerge quando i due fratelli furono chiamati a Vicenza, a dipingere 'La Madonna delle rose' (cfr. M. Lucco, in 'Pinacoteca Civica di Vicenza. I. Dipinti dal XIV al XVI secolo', Vicenza 2003, pp. 256-259). Ma durante il soggiorno in Veneto, Bernardino, oltre a Francesco, dovette venire in contatto anche con quella sensibilità düreriana che emerge osservando la nostra composizione, supportando di conseguenza una data che scorre tra il 1509 e la pala di Dublino. L?opera è stata dichiarata di straordinario interesse storico e artistico e sottoposta a regime di notifica.

        Wannenes Art Auctions
      • *Attribué à Bernardino et Francesco ZAGANELLI (1460/1470 - 1510/1512) et (
        Feb. 25, 2017

        *Attribué à Bernardino et Francesco ZAGANELLI (1460/1470 - 1510/1512) et (

        Est: €4,000 - €6,000

        *Attribué à Bernardino et Francesco ZAGANELLI (1460/1470 - 1510/1512) et ( ? - Ravenne 1531) Saint Etienne Panneau 40 x 20 cm Restaurations Provenance : Collection von Hadeln. RM La finesse des traits du saint, recueilli, la légèreté de la composition nous pousse à rapprocher notre tableau de Sainte Catherine et saint François (Panneau, 55 x 66,5 cm) sur le marché de l'art et de Sainte Claire (Panneau, 30 x 26 cm) d'une collection privée à Forli. Deux tableaux dans lesquels nous retrouvons l'âme apaisée de ces saints martyres (voir R. Zama, Gli Zaganelli (Francesco e Bernardino) pittori, Faenza, 1994, n° 49 et 58, reproduits). La dalmatique de diacre que porte notre saint martyr, au visage jeune, les pierres de lapidation à ses pieds, le Livre des Evangiles et la palme du martyre qu'il porte sont tous les attributs d'Etienne. Historien d'art, le baron Detlev von Hadeln (Arolsen 1878 - Florence 1935) a joué un rôle majeur dans la connaissance de la peinture vénitienne. Ses écrits, notamment sur l'oeuvre de Tintoret, Titien, Véronèse, Tiepolo et Canaletto font date et servent aujourd'hui encore de points de référence. C'est à la peinture vénitienne qu'il consacre sa vie. Après avoir étudié à l'Université d'Iéna, il publie sa thèse sur l'Iconographie de saint Sébastien dans la peinture italienne avant 1500 à Strasbourg en 1906. Il obtient une bourse d'un an au Kunsthistorisches Institut à Florence de 1909 à 1910, où il est crédité d'avoir initié la collection de photographies d'oeuvres d'art, puis il occupe les fonctions d'assistant au Cabinet des estampes de Dresde et aux musées de Berlin entre 1912 et 1914. A Berlin, il est responsable de la publication de l'Annuaire des collections prussiennes (Jahrbuch der preußischen Kunstsammlungen). Il séjourne ensuite un certain temps à Venise et fait paraître le premier volume de la réédition annotée des Maraviglie dell'arte, ovvero le vite degli illustri pittori veneti e dello stato, que Carlo Ridolfi (1598-1658) avait publié en 1648. La guerre interrompt ses travaux et le second volume ne sort qu'en 1924. Engagé dans l'armée allemande comme lieutenant dans le génie de l'artillerie, il est transféré dès 1916 au service de protection des oeuvres d'art (Kunstschutz) dirigé par Theodor Demmler. En 1917, il s'occupe du démontage des vitraux de la collégiale de Saint-Quentin, de l'acheminement de la collection de pastels, notamment ceux de Maurice-Quentin De La Tour, du Musée Antoine-Lécuyer à Maubeuge et de leur installation dans le magasin réquisitionné Au Pauvre Diable. Le musée qu'il crée à Maubeuge préfigure la conception d'un musée moderne et le catalogue de l'exposition qu'il réalise est un véritable travail d'historien de l'art professionnel. Il organise aussi une exposition photographique de l'architecture rurale du Nord de la France, alors occupé. Après la guerre, il reprend ses études et s'installe en Italie, brièvement à Venise, puis définitivement à Florence. Il voyage beaucoup pour visiter les collections d'art italien notamment aux musées de Vienne, de Paris, de Munich et surtout à Londres. Durant sa vie, Detlev entretiendra des relations suivies avec de nombreux écrivains, parmi lesquels Joseph Conrad, Stefan Zweig, avec des historiens d'art comme Benno Geiger et avec des artistes tels qu'Oskar Kokoschka ou l'illustrateur du Jugendstil Marcus Behmer, qui lui dédiera de nombreuses planches. Comme l'indique ses registres, au cours de sa vie, Detlev assemblera une importante collection d'ouvres d'art, parfois en copropriété avec des collectionneurs de l'époque. Cette collection fut partiellement dispersée à sa mort et après la Seconde Guerre Mondiale. Detlev s'éteint à l'âge de 56 ans, le 19 avril 1935. Durant sa vie, il a beaucoup publié sur l'ouvre des maîtres vénitiens, sur Tintoret en 1922, sur Titien en 1924 et en 1927, sur Tiepolo en 1928 et sur Canaletto en 1930. Il est l'auteur d'innombrables articles dans des revues d'art, notamment pour The Burlington Magazine. Peu de temps avant de mourir, il préparait une somme sur Véronèse. Ce manuscrit retrouvé miraculeusement après les hostilités, sera publié par le Kunsthistorisches Institut de Florence en 1978. Doté d'un remarquable esprit critique, d'un style précis et sobre et surtout d'une grande connaissance des collections européennes de dessins et de peintures, il enrichit la littérature sur l'art italien de contributions essentielles.

        Mallié-Arcelin
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