Joseph Marie Vien (Montpellier 1716- 1809 Paris) Priam partant supplier Achille de lui rendre le corps d'Hector signé et daté 'jo. m. vien 1782' (sur le tapis, en bas à gauche) pierre noire, sanguine, aquarelle et rehauts de blanc sur papier, mise au carreau signed and dated 'jo. m. vien 1782' (on the carpet, lower left) black, red chalk, watercolour and heightened with white on paper, squared 53.3 x 69.4cm (21 x 27 5/16in).
Joseph Marie Vien, French, 1716 to 1809, hand colored copperplate engraving, Habit of Emir Bashaw in 1749. Emir Bachi. The print is from a Collection of the Dresses of Different Nations Ancient and Modern. Published by T. Jefferys in London from 1757 to 1772. Inscribed in the print, lower to the center. Framed. Antique Graphic Art Prints, Costume Design, and Collectibles.
Joseph-Marie Vien (1716 Montpellier - 1809 Paris) after Willem Hendrik Franquinet (1785 Maastricht - 1854 New York): Saint Jerome in the desert, sleeping with skull, fiddle and large heavy book, 19th century, Lithography Technique: Lithography on Paper Inscription: Signed below the image on the left and right. Date: 19th century Keywords: 19th century, Romanticism, Religious, France, Size: Paper: 49,4 cm x 31,5 cm (19,4 x 12,4 in), Depiction: 27,6 cm x 21,0 cm (10,9 x 8,3 in)
Joseph-Marie VIEN (1716-1809) In the style of "Sacrifice to Jupiter" Oil on panel. - Weight: 1.70 kg - Shipping available - Sizes: H 475MM X L 410MM AVEC CADRE / H 320MM X L 255MM - At first glance: good condition
Joseph Marie Vien (Montpellier 1716- 1809 Paris) Femme soignée par un Docteur signé, daté et inscription 'GENIO SOSPIRATORI: / OB RESTITV TAM CONIVGIS AMANTISSIMAE SALVTEM./ JOS. M. VIEN AN. AET. LXXXV./ V.S.L.M' (sur un cartouche, en haut au centre) plume et encre brune, lavis brun sur papier beige signed, dated and inscribed 'GENIO SOSPIRATORI: / OB RESTITV TAM CONIVGIS AMANTISSIMAE SALVTEM./ JOS. M. VIEN AN. AET. LXXXV./ V.S.L.M' (in a cartouche, upper centre) pen and brown ink, brown wash on beige paper 24.3 x 30.6cm (9 9/16 x 12 1/16in).
Vien wird in zahlreichen Museen gesammelt: Aix, Avignon, Bordeaux, im Louvre, Nizza, Montpellier und Versailles.GRISAILLEZEICHNUNG MIT BIBELSTELLE Tusche und Kreide auf Papier. Sichtmaß: 22 x 15 cm. Verso auf altem Etikett sowie recto bezeichnet. Im Passepartout, hinter Glas gerahmt. Wie auf dem Gemälde „Heiliger Denis predigt zu den Galliern“ in Saint Roch kommt auch dem hier dargestellten Engel eine übergeordnete Rolle zu – nicht nur schwebt er auf einer Wolke, sondern er befindet sich auch am oberen Ende der Treppe neben einem Obelisken. Nicht geöffnet. (1391321) (13)
Joseph-Marie Vien (1716 Montpellier - 1809 Paris) after Willem Hendrik Franquinet (1785 Maastricht - 1854 New York): Saint Jerome in the desert, sleeping with skull, fiddle and large heavy book, 19th century, Lithography Technique: Lithography on Paper Inscription: Signed below the image on the left and right. Date: 19th century Keywords: 19th century, Romanticism, Religious, France,
JOSEPH-MARIE VIEN (1716-1809), ATTRIBUE - Le suicide de Cléopâtre Le suicide de Cléopâtre Importante huile sur toile rentoilée. Provenance : The Marquis of Londonderry Dimensions : 99 x 136 cm Rare et importante peinture d'époque Néo-classique sur le sujet du sucide de la Reine Cléopatre inspiré des modèles classique connus dont ceux par Guido Reni. Le tableau est traité avec élégance dégageant un corps nu envelopé en partie dans des drapées blanc et orange sur le fond d'un voilage vert céladon fermant la perspective en insérant une touche théatrale. Le bras gauche est inerte, on le sens lourd, ne donant plus de résistance, prêt à son tragique destin. Nous retrouvons également une corbeille de fruits posée sur le coin d'une table en avant-plan, peinte dans l'ombre ce qui nous rappelle la peinture Carravagesque. Ce premier plan donne la direction à l'oeil du spectateur pour aller se poser directement sur le coprs nu recevant une source de lumière non plus Carravagesque mais universelle. Ces éléments nous amènent à penser que notre Cléopatre pourrait avoir été peinte à Rome par un artiste français et plus précisément Joseph-Marie Vien, tôt dans le Néo-classicisme. Peintre, dessinateur et graveur français, il est considéré comme le père du néo-classicisme. Fils d'un simple serrurier, Vien entre à l'Ecole de l'Académie Royale de Paris où il suit l'enseignement de Charles-Joseph Natoire et de Parrocel. Il obtient une première médaille en 1742 et l'année suivante il est lauréat du prix de Rome. Il reste cinq ans en Italie, développant une activité très importante et diverse. Vien revient en France en 1750, fortement influencé par la sculpture antique et les maîtres de la Renaissance. A partir de son entrée à l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1754, grâce à l'intervention de Boucher, protégé par ailleurs du comte de Caylus, il devient un peintre à la mode. Il crée un atelier où il forme nombre de disciples à ses théories, notamment Jacques Louis David. Il sera directeur de l'Académie de France à Rome de 1775 à 1781 et premier peintre du roi en 1789.
Joseph-Marie VIEN Paris, 1716 - 1809, Paris L'Enlèvement des Sabines (modello) Huile sur toile 49,5 x 98 cm The Rape of the Sabine Women Oil on canvas 19 1/2 x 38 9/16 in. PROVENANCE Ancienne collection de la marquise de Listeroi à Nîmes, d'après une étiquette ancienne au revers ; Vente Millon & Robert, Paris, 16 juin 1999, n°56.
ENTOURAGE DE JOSEPH-MARIE VIEN (MONTPELLIER 1716-1809 PARIS) Charles Michel Ange Challe en costume d'ambassadeur de Chine pierre noire 55 x 43 cm. (22 x 17 in.)
CIRCLE OF JOSEPH MARIE VIEN (FRENCH 1716-1809)LES VESTALESOil on canvas74 x 60cm (29 x 23½ in.)Provenance:Sale, Sotheby's Olympia, 13 February 2002, lot 46 Private collection, Blaisdon Hall, Gloucestershire
JOSEPH-MARIE VIEN (1716-1809), ATTRIBUE Le suicide de Cléopâtre Importante huile sur toile rentoilée. Provenance : The Marquis of Londonderry Dimensions : 99 x 136 cm Rare et importante peinture d'époque Néo-classique sur le sujet du sucide de la Reine Cléopatre inspiré des modèles classique connus dont ceux par Guido Reni. Le tableau est traité avec élégance dégageant un corps nu envelopé en partie dans des drapées blanc et orange sur le fond d'un voilage vert céladon fermant la perspective en insérant une touche théatrale. Le bras gauche est inerte, on le sens lourd, ne donant plus de résistance, prêt à son tragique destin. Nous retrouvons également une corbeille de fruits posée sur le coin d'une table en avant-plan, peinte dans l'ombre ce qui nous rappelle la peinture Carravagesque. Ce premier plan donne la direction à l'oeil du spectateur pour aller se poser directement sur le coprs nu recevant une source de lumière non plus Carravagesque mais universelle. Ces éléments nous amènent à penser que notre Cléopatre pourrait avoir été peinte à Rome par un artiste français, tôt dans le Néo-classicisme.
CIRCLE OF JOSEPH MARIE VIEN (FRENCH 1716-1809)LES VESTALESOil on canvas74 x 60cm (29 x 23½ in.)Provenance:Sale, Sotheby's Olympia, 13 February 2002, lot 46 Private collection, Blaisdon Hall, Gloucestershire
Joseph-Marie Vien (1716 Montpellier - 1809 Paris) after Willem Hendrik Franquinet (1785 Maastricht - 1854 New York): Saint Jerome in the desert, sleeping with skull, fiddle and large heavy book, 19th century, Lithography Technique: Lithography on Paper Inscription: Signed below the image on the left and right. Date: 19th century Keywords: 19th century, Romanticism, Religious, France,
(French, 1716-1809) Benjamin Franklin, in a fur trimmed green coat, unsigned, oil on canvas, 25-1/8 x 21 in.; unframed Note: A similar portrait after Jean Baptiste Greuze (French, 1725-1805) and sold in 1928 by M. Knoedler & Company, is held by the National Gallery of Art. Washington, D.C. Reference: https://www.nga.gov/collection/art-object-page.53104.html Provenance: M Knoedler & Co, New York, New York, No. CA-10040 (label verso); Collection of Alice Kaplan; offered by David Killen Gallery, New York, October 13, 2019
JOSEPH MARIE VIEN (MONTPELLIER 1716-PARIS 1809) VESTALE COURONNÉE DE ROSES Sur sa toile d’origine, ovale Restaurations anciennes Dans un cadre en bois sculpté de frises de laurier et redoré, de la fin du XVIIIe siècle Vestal crowned with roses, on its original oval canvas, in a Louis XVI carved and gilt-wood frame, old restorations 47 x 37 cm - 18,5 x 14,6 in.
GAEHTGENS, Th. & J. LUGAND. Joseph-Marie Vien, peintre du Roi (1716-1809). (1988). -- N. GARNIER. Antoine Coypel (1661-1722). (1989). -- J.-P. CUZIN. Fragonard. Vie et œuvre. (1987). In slipcase. -- D. POSNER. Antoine Watteau. (1984). -- 4 vols. Prof. ill. 4°. Ocl. w. dust-j. -- And 4 o. (8).
Joseph-Marie Vien (1716-1809), anonymous copy after. Late 20th century, ''Venus and Armor'', oil on panel, unsigned, 103 x 60 cm, decoratively framed 125 x 80 cm
(1716 Montpellier - Paris 1809). Lot und seine Töchter. Im Hintergrund die Brennende Stadt Sodom. Radierung. Plgr. ca. 24 x 28 cm. Blgr. 26 x 30,5 cm. I.d. Pltte sign. Unten mit bibl. Textzeile aus. Gen 19, 31-32. - Mit Gebrauchsspuren. ╔Dabei: G. Lanfranco╗, zugeschrieben (1582-1647). Hl. Familie. Ca. 14 x 16,5 cm, mit schmalem Rändchen. Auf Karton mont. - Mit Gebrauchsspuren. R
Study. Oil on panel. 12.9 x 13.7 cm (18.7 x 19.1 cm including the attached, also painted edges). Mounted on a wooden panel together with the attached edges (width approx. 2.5 x 3 cm). Damage to frame. Old handwritten inscription verso: \"Esquisse de Vien [Joseph Marie Vien, 1716 Montpellier - 1809 Paris], maître de [Jacques-Louis] David, et mort - fondeur de l'Empire [...]\" and adhesive label also with an attribution of the sketch to J. M. Vien.
Joseph-Marie VIEN Montpellier, 1716 - Paris, 1809 La flagellation du Christ Huile sur toile The flagellation of Christ, oil on canvas, by J. M. Vien h: 50 w: 39 cm Provenance : Vente de l'atelier de l'artiste, Paris, 17 mai 1809, n° 66 (vendue 151 livres) ; Vente anonyme ; Paris, 27 novembre 1974 (comme Tiepolo) ; Galerie Didier Aaron, Paris, novembre 2014 ; Acquis auprès de celle-ci par l'actuel propriétaire ; Collection particulière européenne Bibliographie : Thomas W. Gaehtgens et Jacques Lugand, 'Joseph-Marie Vien, Peintre du Roi (1716-1809)', Paris, 1988, p. 159, n° 125, repr. et p. 242, mentionné dans la notice du n° 76 Commentaire : Formé dans un premier temps à Montpellier, Joseph-Marie Vien gagna rapidement les rangs de l'Académie royale à Paris où il devint l'élève de Charles-Joseph Natoire. Il remporta avec le Prix de Rome de 1743 sa place de pensionnaire au sein du Palais Mancini, alors sous la direction de Jean-François de Troy. Ce premier séjour romain marqua une étape décisive dans la carrière de Vien. Il n'y manifesta pas encore le goût pour l'antique qui le caractérisera par la suite mais s'intéressa vivement à l'étude de la nature, aux maîtres anciens tels que Raphaël et Michel-Ange ainsi qu'à la peinture du XVIIe siècle, notamment celle des Carrache et du Guerchin. Il observa également avec attention l'œuvre de Pompeo Batoni qui était alors l'un des artistes les plus en vue de la Ville éternelle et dont l'art témoignait déjà d'un retour au classicisme après les galanteries et les élégantes frivolités de la première partie du XVIIIe siècle. Vien trouva ainsi dans l'art de Batoni un écho à ses propres aspirations, à savoir un retour à l'étude du modèle et à un certain réalisme, en réaction à la peinture alors en vogue à Paris, plus légère et plus décorative, dont le meilleur représentant était François Boucher. Datée par Thomas Gaehtgens et Jacques Lugand vers 1755, cette belle et vive esquisse suit de quelques années le retour du peintre à Paris en 1750. Le rédacteur du catalogue de la vente après-décès de l'artiste la classait d'ailleurs parmi les esquisses de la période italienne et c'est sous le nom de Tiepolo que nous la retrouvons en vente en 1974 à Paris. Si aucun tableau définitif n'est identifié aujourd'hui pour cette composition, un dessin préparatoire à la sanguine était conservé en 1988 dans une collection particulière parisienne (fig. 1)1. La flagellation marque le début des outrages infligés au Christ pendant sa Passion et intervient avant le couronnement d'épines. Non décrite par les Evangélistes, la colonne basse couramment représentée dans cette iconographie serait celle du prétoire de Jérusalem d'où Pilate prononça la condamnation. Le caractère dramatique de la scène est ici parfaitement rendu avec un sens de la narration affirmé : tandis que des bourreaux sont en train de maintenir le Christ et de l'attacher à la colonne, des soldats ont déjà les bras levés, tenant fouets et verges prêts à s'abattre sur Jésus. Celui-ci, le corps dénudé, la joue offerte et les yeux fermés présente une attitude de douceur en contraste avec celle de ses tortionnaires, signifiant déjà l'abandon et le don de sa vie. La virtuosité du peintre, particulièrement sensible dans le cadre d'une esquisse comme celle-ci, s'exprime dans le traitement des étoffes, dont les plis capturent la lumière et ne sont pas sans rappeler la manière de Pierre Subleyras que Vien avait pu observer à Rome, et dans celui des visages dont le spectateur peut deviner chacune des expressions. Le coloris est également d'une grande subtilité et le peintre a pris soin ici de nuancer les carnations et de répartir avec intelligence les jaune, rouge et bruns qui dominent cette composition. Fougueuse et d'une grande liberté, cette esquisse témoigne des recherches de celui qui deviendra le premier représentant de la peinture néoclassique en France. 1. Voir Th. Gaehtgens et J. Lugand, 'op. cit.', p. 242, n° 76 Joseph-Marie Vien, who initially trained in his native Montpellier, became a pupil of Charles-Joseph Natoire at the Académie Royale in Paris. Winning the Grand Prize in 1743 allowed him to travel to Rome and stay at the Palazzo Mancini, where Jean-François de Troy was the director of the French Academy. This first sojourn in Rome marked a decisive moment in Vien's career. He had not yet shown an interest in antiquity, which is characteristic of his later work, but was attracted to working from nature and studying the old masters such as Raphael and Michelangelo and also 17th century painting, especially the Carracci and Guercino. Vien also paid great attention to Pompeo Batoni, who was at the time one of the most prominent artists in Rome and whose art was already showing signs of a return to classicism after the gallantries and elegant frivolities of the first half of the 18th century. Vien also found in Batoni an echo of his own aspirations, a return to the study of the live model and a certain realism, a reaction against the type of painting that was fashionable at the time in Paris, as represented by François Boucher. Dated around 1755 by Thomas Gaehtgens and Jacques Lugand, this lovely sketch full of life follows Vien's return to Paris in 1750 by a few years. The author of the artist's posthumous sale catalogue classified it among the sketches of the Italian period and it also appears with an attribution to Tiepolo in a Paris auction of 1974. Although no final painting has been identified today for this composition, a red chalk preparatory drawing was identified in a Parisian collection in 1988 (fig. 1)1. The Flagellation marks the start of the insults inflicted on Christ during the Passion and happened before the Crowning with Thorns. The short column frequently shown in this iconography, not described in the gospels, is apparently that of the Jerusalem court where Pilate pronounced his sentence. The dramatic nature of the scene is here perfectly rendered with a strong feel for narrative: while the tormentors are holding Christ and tying him to the column, soldiers have already raised their arms, holding rods and whips ready to land on Christ. His body bared, his exposed cheek and closed eyes show a gentle attitude that contrasts with that of his torturers, thus already showing abandonment and the giving of his life. The artists' virtuosity, especially visible in the context of a sketch like this one, is expressed in the treatment of the cloth, the folds of which have captured the light and are evocative of the style of Pierre Subleyras whose work Vien could have seen in Rome, and in the handling of the faces, of which every expression is visible. The palette is also very subtle and the artist has taken care here to create nuances in the flesh tones and to distribute intelligently the yellows, reds, and browns that dominate this composition. Spirited and executed with great freedom, this sketch shows the working method of an artist who would become the first representative of neoclassical painting in France. 1. See Th. Gaehtgens and J. Lugand, 'op. cit.', p. 242, n° 76 Estimation 50 000 - 80 000 €
JOSEPH MARIE VIEN (Montpellier, 1716 – Paris, 1809) La lecture des lettres d’amour, 1798 Plume et encre brune, lavis brun. Signé et daté sur la colonne à droite « j.m. vien 1798 ». Haut. 21,5 Larg. 28,2 cm. (Petites épidermures en haut à droite, légèrement insolé). Love letters reading, by Vien. Pencil and ink wash, 1798. A drawing belonging to the same "Happiness of life" set that is largely housed in the Louvre Museum. Notre feuille fait partie de la suite des « Bonheur de la vie » dont la majeure partie des dessins sont conservés au Louvre dans un album acquis en 1965. Le musée des Beaux-Arts de Béziers conserve un croquis préparatoire à notre dessin (inv. 1978) (voir : T.W. Gaehtgens et J. Lugand, Joseph Marie Vien, Arthéna, Paris, 1988, p.266, fig.255, rep.). Vien précise dans ses mémoires, après la réalisation de deux autres suites « Jeux des nymphes et des amours » et « Les vicissitudes de la guerre » que « lorsque ces dessins furent enlevés, j’imaginai (car je n’ai pu rester oisif) de faire une troisième suite composée de trente et un sujets représentant « Le bonheur de la Vie ou l’union de l’hymen et de l’amour ».
Two ink on paper, 1772, both signed 'Vien' and dated lower right. Both 8 x 10 1/8 in. (sheet), 14 1/2 x 27 in. (framed together). Exhibited: The Tampa Museum, French Drawings from a Private Collection, February 27-April 4, 1982. Property from the Estate of Emile Wolf
Ecole du XVIIIe siècle, suiveur de Joseph-Marie VIEN (1716-1809). Vestale, sanguine sur papier. 45 x 29 cm à vue. En bas, porte l'inscritpion "Monsieur de Curenne Le 28 Mars 1787". Tâche, déchirure, traces d'humidité.
Joseph-Marie VIEN Montpellier, 1716 - Paris, 1809 La famille de Coriolan venant le détourner d'assiéger Rome Huile et encre de Chine sur papier marouflé sur toile (Petits manques et anciennes déchirures) Coriolanus' family pleading with him to spare Rome, oil and black ink on paper laid down on canvas, by J. M. Vien h: 25,50 w: 26,50 cm Provenance : Probablement vente après-décès de l'artiste, Paris, 17 mai 1809, partie du n° 107 Bibliographie : Thomas W. Gaehtgens et Jacques Lugand, 'Joseph-Marie Vien, Peintre du Roi (1716-1809)', Paris, 1988, p. 197, n° 243, repr. Commentaire : Cette petite esquisse est préparatoire au grand tableau signé et daté de 1779 conservé à Montpellier au musée Fabre (fig.1). Elle ne présente que peu de différences avec la composition définitive et témoigne ainsi d'une étape avancée dans l'élaboration de la toile, qui avait probablement été peinte pour le pavillon de Madame du Barry à Louveciennes. Le sujet est tiré de l'histoire romaine, et décrit par Plutarque : Caïus Marcius Coriolanus, brillant général, est condamné à l'exil par les tribuns de la plèbe qu'il souhaitait voir disparaître. Il rejoint alors les Volsques, ennemis de Rome, et marche contre son ancienne patrie qu'il s'apprête à assiéger. Une délégation de femmes, menées par la mère et l'épouse de Coriolan, parvient à le faire renoncer à cette attaque, là où les plus fins diplomates romains avaient échoué. Estimation 8 000 - 12 000 €
Attributed to Joseph-Marie Vien (1716-1809), 'Ambassadeur de Siam' 'La Sultana Reine', both titled (lower centre), both red and black pencil on paper (2), 23,5x17,5 cm Executed in 1748. Provenance: -Private collection, Amsterdam. The present sheets are preparatory drawings for plates 16 and 29 of the book 'Caravane du Sultan à la Mecque Mascarade Turque donnée à Rome par Messieurs les Pensionnaires de l’Académie de France et leurs amis au Carnaval de l’année 1748'. Please compare to other preparatory sketches of 'Ambassadeur de Siam' and 'La Sultana Reine' by Joseph-Marie Vien in the collection of Petit Palais, Musée des Beaux-arts de la Ville de Paris, inv. nos. DDUT1081 and DDUT1091. The drawing 'Ambassadeur de Siam' is inscribed with the colours intended for the print.
Attribué à Joseph-Marie VIEN (1716-1809) "Vestale et enfant près d'un autel" Papier marouflé sur toile, porte une signature en bas à droite "vien ...". Haut.: 31,7 cm ; Larg.: 19,3 cm (Restaurations anciennes) On rapprochera cette étude des dessins de la fin de la vie de l'artiste et de l'esquisse de l'Amour fuyant l'esclavage (Béziers, musée des beaux-arts, vers 1789) où l'on retrouve les mêmes colonnes cannelées et la même gamme orange-blanc-mauve.
BUSTE EN MARBRE REPRESENTANT PROBABLEMENT JOSEPH-MARIE VIEN (1716-1809) ATTRIBUE A FRANCOIS-JOSEPH DURET (1732-1816), FRANCE, VERS 1810 Reposant sur un piédouche en marbre H.: 83 cm. (32¾ in.) ; L.: 56 cm. (22 in.)
Joseph-Marie VIEN Montpellier, 1716 - Paris, 1809 Hercule au berceau étouffant les serpents Huile sur toile (Anciennement cintrée en partie inférieure, agrandie d''une bande de 18 cm en partie supérieure et de 11 à 20 cm en partie inférieure) Sans cadre h: 105 w: 138 cm Commentaire : Dans la vente après décès de l''artiste le 17 mai 1809 est mentionnée une esquisse peinte représentant "Hercule au berceau étouffant les serpents", peut-être préparatoire à notre tableau ( voir Th. W. Gaehtgens et J. Lugand, ''Joseph-Marie Vien : peintre du roi : 1716-1809'', Paris, 1988, p. 211, n° 10). Le format anciennement chantourné de la toile et la dimension des figures désignent notre tableau comme un élément de décor, très vraisemblablement un dessus-de-porte.
Jospeh Marie VIEN (Montpellier 1716 - Paris 1809) Jeune grecque qui orne un vase de bronze avec une guirlande de fleurs Huile sur toile 134 x 97 cm (Soulèvements et restaurations anciennes) La toile du Salon de 1761 sur ce sujet (n° 26), mentionnée comme mesurant 2 pieds 9 pouces de haut sur 2 pieds de large, peut être identifiée avec celle en collection privée, signée et datée de 1760 (89 x 66 cm, Thomas Gaehtgens, Jacques Lugand, Joseph-Marie Vien 1716-1809, Paris, éditions Arthena, 1988, p.169, n°175). Elle avait été réalisée pour le banquier et marchand d'art Jean-Henri Eberts (1726-1793), et obtint un réel sucés critique. Les deux hommes collaboreront par la suite puisque Eberts lancera la mode du mobilier antique et des tables Athéniennes, conçus d'après les tableaux de Vien. Notre œuvre est une version autographe de plus grand taille. Artiste recherché, Vien a réalisé à plusieurs reprises des répliques de ses peintures, presque sans variante. On connaît deux exemplaires de la Suzanne et les vieillards (1744, Nantes, musée des Beaux-Arts et New York, collection particulière), du Dédale et Icare (1754, Paris, Ecole des beaux-Arts et Penza, galerie de peintures K. A. Savitsky), du Saint Germain et saint Vincent (1755, Paris, église Saint-Germain l'Auxerrois et Castres, musée Goya), de la Douce Mélancolie (1756, Cleveland, Museum of Art et de 1758, Toulouse, musée des Augustins), mais aussi de La Prêtresse brûle l'encens sur un trépied (1762, Paris, collection particulière et Strasbourg, musée des Beaux-Arts). Notre tableau anticipe les Saisons peintes pour Madame Geoffrin en 1762 (Paris, collection particulière) et La Marchande d'Amour (Fontainebleau, Château) de 1763. A cette date, Vien est à l'avant-garde du style néo-grec et des débuts du néoclassicisme, par sa volonté de retour à une certaine sobriété, opposé à la mode rocaille de la génération précédente. Il appartenait au cercle de philosophes, d'intellectuels, de nobles éclairés, comme le Comte de Caylus, La Live de July, se réunissant chez Madame Geoffrin, célèbre femme de lettres qui a financé la publication de l'Encyclopédie. Tous étaient réunis par un intérêt nouveau pour l'Antiquité, au moment où l'on redécouvre Pompéi, d'où la simplicité du pilastre et de la tunique qui déterminent ici le décorum romain du sujet. Ses œuvres de la même époque développent aussi des corbeilles et guirlandes florales, dont les couleurs égayent l'ensemble. Expert : Cabinet Turquin
Joseph-Marie Vien (Montpellier, 18.6.1716 - Paris, 27.3.1809) zugewiesen. Vestalin mit Räucherurne. Öl auf Leinwand. In französischem Rahmen des 18. Jh. 64:79 cm.
ENTOURAGE DE JOSEPH-MARIE VIEN (MONTPELLIER 1716-1809 PARIS) L'Eunuque Blanc ; et La Sultane Reine pierre noire, rehauts de blanc, filigrane fleur-de-lys dans un cercle
Joseph-Marie Vien Montpellier, 1716 - Paris, 1809 Hercule au berceau étouffant les serpents Huile sur toile (Anciennement cintrée en partie inférieure, agrandie d'une bande de 18 cm en partie supérieure et de 11 à 20 cm en partie inférieure) Sans cadre h: 105 w: 138 cm Commentaire : Dans la vente après décès de l'artiste le 17 mai 1809 est mentionnée une esquisse peinte représentant "Hercule au berceau étouffant les serpents", peut-être préparatoire à notre tableau ( voir Th. W. Gaehtgens et J. Lugand, 'Joseph-Marie Vien : peintre du roi : 1716-1809', Paris, 1988, p. 211, n° 10). Le format anciennement chantourné de la toile et la dimension des figures désignent notre tableau comme un élément de décor, très vraisemblablement un dessus-de-porte. Estimation 6 000 - 8 000 €
VIEN, JOSEPH-MARIE (WORKSHOP) Glycère ou La marchande de Fleurs (Le Printemps). Oil on canvas. 97 x 66.5 cm. Provenance: - Gaston Choron Collection, Wiesbaden. - Acquired from the above collector in the 1990s, European private collection. --------------- VIEN, JOSEPH-MARIE (WERKSTATT) Glycère ou La marchande de Fleurs (Le Printemps). Öl auf Leinwand. 97 x 66,5 cm. Provenienz: - Sammlung Gaston Choron, Wiesbaden. - Von obigem Sammler in den 1990er Jahren erworben, europäische Privatsammlung. Wie das vorherige Los geht dieses Gemälde mit der Darstellung der Glycère ou La marchande de Fleurs auf eine Vorlage von Joseph-Marie Vien (1716-1809) zurück, die sich in französischem Privatbesitz befindet. (Gaehtgens, Thomas: Joseph-Marie Vien : Peintre du Roi. 1988, S. 170, Kat.-Nr. 181.).
JOSEPH-MARIE VIEN (MONTPELLIER 1716-1809 PARIS) A bearded man with signature ‘JMV’ (‘JMV’ in monogram, lower right) oil on canvas 28 3/4 x 24 in. (73 x 61 cm.)
Joseph-Marie Vien Montpellier, 1716 - Paris, 1809 Hercule au berceau étouffant les serpents Huile sur toile (Anciennement cintrée en partie inférieure, agrandie d''une bande de 18 cm en partie supérieure et de 11 à 20 cm en partie inférieure) Sans cadre The infant Hercules strangling the snakes, oil on canvas, by J.-M. Vien h: 105 w: 138 cm Commentaire : Dans la vente après décès de l''artiste le 17 mai 1809 est mentionnée une esquisse peinte représentant "Hercule au berceau étouffant les serpents", peut-être préparatoire à notre tableau ( voir Th. W. Gaehtgens et J. Lugand, ''Joseph-Marie Vien : peintre du roi : 1716-1809'', Paris, 1988, p. 211, n° 10). Le format anciennement chantourné de la toile et la dimension des figures désignent notre tableau comme un élément de décor, très vraisemblablement un dessus-de-porte.
JOSEPH MARIE VIEN (FRENCH, 1716-1809) STANDING DRAPED FIGURE Black and white chalk on blue wove paper: 18 3/4 x 11 in. (full sheet) Framed; verso inscribed: Vien; matt verso H. Shickman Gallery Label Provenance: Private Maryland collection
Joseph-Marie Vien Montpellier, 1716 - Paris, 1809 Sarah présentant Agar à Abraham Huile sur toile Signée et datée 'J. Vien / 1749' en bas à droite (Restaurations) 'SARAH PRESENTING HAGAR TO ABRAHAM', OIL ON CANVAS, SIGNED AND DATED, BY J.-M. VIEN h: 98 w: 134,50 cm Provenance : Chez Serre et Leegenhoek, Paris, en 1990 ; Vente anonyme ; Monaco, Sotheby's, 2 juillet 1993, n° 8 ; Acquis par les actuels propriétaires auprès d'Eric Turquin, Paris, en 2001 Expositions : 'Maîtres anciens du XVIe au XVIIIe siècle', Paris, Société Labatut (Serre et Leegenhoek), septembre - décembre 1990, n° 20 Bibliographie : 'Connaissance des Arts', 1990, p. 204 Commentaire : Œuvre en rapport : L'esquisse préparatoire a été présentée en vente à Paris en 2003 (Hôtel Drouot, Bailly-Pommery, 15 décembre 2003, n° 71). Formé dans un premier temps à Montpellier, Joseph-Marie Vien gagna rapidement les rangs de l'Académie royale à Paris où il devint l'élève de Charles-Joseph Natoire. Il remporta avec le Prix de Rome de 1743 sa place de pensionnaire au sein du Palais Mancini, alors sous la direction de Jean-François de Troy. Ce premier séjour romain marqua une étape décisive dans la carrière de Vien. Il n'y manifesta pas encore le goût pour l'antique qui le caractérisera par la suite mais s'intéressa vivement à l'étude de la nature, aux maîtres anciens tels que Raphaël et Michel-Ange ainsi qu'à la peinture du XVIIe siècle, notamment celle des Carrache et du Guerchin. Il observa également avec attention l'œuvre de Pompeo Batoni qui était alors l'un des artistes les plus en vue de la Ville éternelle et dont l'art témoignait déjà d'un retour au classicisme après les galanteries et les élégantes frivolités de la première partie du XVIIIe siècle. Vien trouva ainsi dans l'art de Batoni un écho à ses propres aspirations, à savoir un retour à l'étude du modèle et à un certain réalisme, en réaction à la peinture alors en vogue à Paris, plus légère et plus décorative, dont le meilleur représentant était François Boucher. Daté de 1749, notre tableau fut réalisé par Vien un an avant son retour à Paris. Il illustre un épisode de la Genèse. Sarah, âgée et se désolant de n'avoir pu donner d'enfant à son époux Abraham, lui-même âgé de 86 ans, lui demande de s'unir à Agar, sa servante égyptienne (1). Ils donneront naissance à Ismaël. Sarah aura par la suite elle-même un fils, Isaac, et demandera à Abraham de chasser Agar et Ismaël. Perdus dans le désert, ils seront secourus par Dieu. Ismaël aura de nombreux descendants. A gauche de la composition se tient Agar, la poitrine légèrement découverte et la main dans celle du patriarche assis. Sarah est représentée entre les deux, tenant Agar par la taille et désignant de son autre main le lit conjugal. La représentation de ce récit biblique est teintée d'un certain érotisme mais est surtout pour le peintre l'occasion d'illustrer un thème récurrent dans la peinture, à savoir la confrontation entre jeunesse et vieillesse. D'une grande lisibilité, la composition témoigne de cette volonté d'un retour à une plus grande simplicité. Les figures occupent une part importante du tableau et l'arrière-plan sert la narration sans détourner le regard et l'esprit du spectateur de l'épisode représenté. Les attitudes et les regards des personnages sont à la fois éloquents et mesurés. Le visage du vieillard Abraham est d'un grand réalisme et illustre les recherches de Vien autour de l'étude du modèle. On y reconnait sans peine les traits d'un mendiant rencontré par Vien en 1747 dans les faubourgs de Rome et qu'il invita à poser pour lui au Palais Mancini (2). Il figure en effet dans plusieurs compositions réalisées par le peintre à cette période, notamment dans le fameux Ermite endormi du Louvre daté de 1750 et dans Loth et ses filles daté de 1747 et dont les deux modèles féminins sont également très proches de ceux de notre tableau. La virtuosité du peintre s'exprime dans le traitement des étoffes, dont les plis épais capturent la lumière et ne sont pas sans rappeler la manière de Pierre Subleyras que Vien avait pu observer à Rome. Le choix du coloris est également d'une grande subtilité, teintant les joues et le drapé d'Agar du rose vif de la jeunesse et les vêtements du patriarche d'un mauve et d'un jaune plus doux. Sobre et plein de délicatesse, Agar présentée par Sarah à Abraham témoigne des recherches à Rome de celui qui deviendra le premier représentant de la peinture néoclassique en France. 1. Gn, 16, 1-4 2. Cette rencontre est racontée par Vien dans ses Mémoires. Voir Th. W. Gaehtgens et J. Lugand, Joseph-Marie Vien, Peintre du Roi (1716-1809), Paris, 1988, p. 139
Joseph-Marie VIEN (Montpellier 1716-1809 Paris) >Religieuses se prosternant devant une apparition de la Vierge <br>pierre noire et huile sur papier brun >254 x 157 mm. <br>
LOUIS-JEAN-FRANCOIS LAGRENéE (PARIS 1725-1805) AND JOSEPH-MARIE VIEN (MONTPELLIER 1716-1809 PARIS) A YOUNG WOMAN HOLDING A DOVE ('LA DOUCE CAPTIVITé'); AND A WOMAN WATERING A POT OF MATTHIOLA ('LA JEUNE ATHéNIENNE') OIL ON CANVAS, OVAL 28 5/8 X 24 1/8 IN. (72.7 X 61.4 CM.) A PAIR (2)
Entourage de Joseph Marie VIEN (Montpellier 1716 - Paris 1809) L'Aga des Janissaires Contre-épreuve de crayon noir rehaussée de craie blanche 55,5 x 30 cm Petites déchirures et pliures sur les bords Le modèle le Sieur Louis...
Entourage de Joseph Marie VIEN (Montpellier 1716 - Paris 1809) Le sultan Contre-épreuve de crayon noir rehaussée de craie blanche sur papier bleu 55,5 x 30 cm Petites déchirures et pliures sur les bords Le modèle Pierre-Hubert...