Jacques Sarazin Sold at Auction Prices

Sculptor, Painter, b. 1592 - d. 1660

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      • Attributed to Jacques Sarazin (1592 - 1660), A landscape with a bridge
        Mar. 01, 2023

        Attributed to Jacques Sarazin (1592 - 1660), A landscape with a bridge

        Est: £300 - £500

        Property of a Lady Attributed to Jacques Sarazin (1592 - 1660) A landscape with a bridge Black chalk on paper Provenance: Christie's, 12 July 1977 (purchased by the late husband of the present owner) Dimensions: (Paper) 6.25 in. (H) x 8.5 in. (W) (Frame) 13.75 in. (H) x 15.25 in. (W)

        Sloane Street Auctions
      • Attribué à Jacques SARAZIN Noyon, 1592 - Paris, 1660 Cariatides du pavillon de l'Horloge au Louvre Esquisse en terre cuite originale..
        Mar. 23, 2022

        Attribué à Jacques SARAZIN Noyon, 1592 - Paris, 1660 Cariatides du pavillon de l'Horloge au Louvre Esquisse en terre cuite originale..

        Est: €20,000 - €30,000

        Attribué à Jacques SARAZIN Noyon, 1592 - Paris, 1660 Cariatides du pavillon de l'Horloge au Louvre Esquisse en terre cuite originale, vers 1639 Porte l'inscription '939' en bleu au dos Caryatid from the pavillon de l'Horloge at the Louvre, terracotta original sketch, attr. to J. Sarazin h: 24 w: 11 cm Provenance : Collection de la famille Lefuel ; Puis par descendance Bibliographie : en rapport : Pierre Chaleix, 'Philippe de Buyster, sculpteur 1595-1688 : contribution à l'histoire de la sculpture française du XVIIème siècle', Paris, 1967, p.25-30 et pl. 2 et 3 Barbara Brejon de Lavergnée, Geneviève Bresc-Bautier, Françoise de La Moureyre, 'Jacques Sarazin, sculpteur du roi : 1592-1660', cat. exp. Noyon, musée du Noyonnais, 1992, Paris, p. 37-39 et p. 84-85 Jean-René Gaborit (dir.), 'Sculpture française II, Renaissance et temps modernes', Paris, 1998, p. 591 Commentaire : Œuvres en rapport : -Philippe de Buyster (1595-1688) d'après un modèle de Jacques Sarazin (1592-1660), 'Cariatides', entre 1639 et 1642, pierre, fronton Est du Pavillon de l'horloge, Louvre (fig. 1) -Attribué à Jacques Sarazin, 'Paire de Cariatides double's, groupes, modèles en terre cuite, H. 52,2 et H. 51,8 cm, Paris, Musée du Louvre, inv. OA227 A et B - Attribué à Jacques Sarazin, 'Cariatides', terre cuite, H. 30 cm, Ecouen, musée national de la Renaissance, déposées au musée du Louvre, inv. CL1260 Cette esquisse en terre cuite provient de la collection constituée par Hector Lefuel (1810-1880) et sa descendance. Hector Lefuel est chargé à partir de 1861 par Napoléon III de mener l'important chantier de l'ensemble Louvre-Tuileries. Il s'agit d'un rare témoignage de l'histoire du Palais du Louvre. Édifié entre 1639 et 1642 par l'architecte Jacques Lemercier (1585-1654), le vestibule, ou pavillon de l'Horloge, du Palais du Louvre, est aujourd'hui connu sous le nom de pavillon Sully. Choisi par François Sublet de Noyer (1589-1645), surintendant des Bâtiments du Roi, Jacques Sarazin est chargé de la conduite et des dessins du programme sculpté du pavillon. Le grand morceau de décoration de cet ensemble est sans nul doute les quatre groupes de cariatides soutenant l'entablement supérieur du pavillon. Ces cariatides sont groupées par deux : elles répondent aux paires de colonnes soutenant les autres étages. Dans le cadre de cette prestigieuse commande, Sarazin élabore les modèles et choisit l'équipe de sculpteurs chargés d'exécuter les groupes. C'est à Gilles Guérin (1611-1678) et Philippe de Buyster (1595-1688) que revient l'honneur d'être les praticiens de Sarazin pour tailler dans la pierre ces cariatides. Buyster sculpte les deux groupes de droite, Guérin les deux de gauche. Notre esquisse préparatoire correspond au groupe le plus à droite de la façade, donc taillé par Philippe de Buyster. Aucune variante notable n'apparait entre cette terre cuite et la sculpture finale, ce qui est dans la logique d'un exécutant retranscrivant fidèlement le modèle d'un sculpteur du rang de Sarazin, alors premier sculpteur du Roy. De part et d'autre des figures on note des échelles graduées. Sarazin s'inspire vraisemblablement des cariatides de Jean Goujon (1510-1567) qu'il a pu voir dans la salle basse de l'aile Henri II. On y retrouve la même sereine impassibilité. Le sculpteur réussit le tour de force de rendre souples et légères ses figures dont la destination première reste de soutenir dans toute sa monumentalité la façade du bâtiment. Le musée du Louvre conserve deux réductions en terre cuite de deux de ces paires de cariatides, provenant de la collection Sauvageot (celle de l'extrême gauche et celle du milieu à droite ; inv. OA227 A et B). La critique a longtemps hésité à les considérer comme des répliques tardives ou des modèles destinés à l'exécution en pierre. Si dans le catalogue des sculptures du musée du Louvre ces œuvres sont décrites comme " modèle ou réduction " et " attribué à Sarazin ", Geneviève Bresc-Bautier les décrit comme des modèles autographes de Sarazin dans le catalogue de l'exposition de 1992 consacrée au sculpteur au musée du Noyonnais. Le musée national de la Renaissance d'Ecouen conserve, quant à lui, une version plus esquissée de la paire du milieu à droite (aujourd'hui déposée au musée du Louvre ; inv. CL1260). Celle-ci, a contrario a longtemps été considérée comme une esquisse autographe. Toujours en 1992 lors de l'exposition Sarazin, Sculpteur du Roi, Geneviève Bresc-Bautier la commente : exécutée " avec la vivacité à la mode d'un croquis du XVIIIème siècle ". On n'observe aucune parenté évidente entre ces trois reprises (ou modèles) et notre terre cuite, d'autant plus qu'elle est la seule en rapport avec l'extrême droite du pavillon. Notre groupe de cariatides présente clairement les caractéristiques d'une étude préparatoire : il est de plus petites dimensions, d'un modelé plus léger et rapide ; les visages sont très esquissés et il présente des échelles graduées incisées dans la terre crue, vraisemblablement dans l'idée d'un agrandissement. Le rapport des analyses de datation par thermoluminescence réalisées par le laboratoire CARAA en date du 27 Janvier 2022 indiquant une date de cuisson se situant entre 1596 et 1670 sera remis à l'acquéreur. Estimation 20 000 - 30 000 €

        Artcurial
      • Jacques Sarazin, 1592 Noyvon – 1660 Paris, zug.
        Jun. 24, 2021

        Jacques Sarazin, 1592 Noyvon – 1660 Paris, zug.

        Est: €50,000 - €70,000

        BRONZEFIGUR EINES LIEGENDEN KINDES Höhe: 26 cm. Länge: 38 cm. Sockelhöhe: 9 cm. Auf angepasstem schwarzem Holzsockel aufgelegt. In schräg nach rechts liegender Haltung, mit vorgehaltenen Armen und geöffneten Händen, die Beinchen leicht angezogen, das linke etwas mehr. Ein schmales, über dem Oberschenkel liegendes, vergoldetes gedrehtes Tuch ist separat gegossen und anmontiert. Die Gesichtszüge sind als die eines Knäbleins zu erkennen. Die Augen geöffnet, die Handhaltungen lassen erkennen, dass das Knäblein ehemals einen eingelegten Gegenstand hielt, wahrscheinlich ein Kreuz, was die Figur als Jesuskind sehen lässt. In der Flechte der rechten Hand eine entsprechende originale Schraubbohrung. Eine weitere am Gesäß. Die schöne Alterspatina vortrefflich erhalten, möglicherweise Lackpatina. Die Zuweisung an den Künstler lässt sich durch Vergleiche erhärten. Im Eremitage-Museum St. Petersburg findet sich eine ebenfalls liegende Knabenfigur in Terrakotta (Inv.Nr. H.ck-594), die dort – wohl nicht ganz zutreffend – als ein römisches Werk des beginnenden 18. Jahrhunderts bezeichnet wird. Das Britische Museum London bewahrt einen Kupferstich von Pierre Daret, mit Darstellung einer „Maria mit Kind“von Sarazin, das Kind hier in ähnlicher Auffassungsweise. Den überzeugendsten Vergleich liefert die Terrakotta-Figurengruppe „Maria mit auf dem Schoß liegendem Kind“, um 1640, im Louvre (Inv.Nr. RF 2979). Sarazin studierte und wirkte von 1610 bis 1627 in Rom bei Jean Languille, einem französischen Holzbildhauer. Hier wurde er vom Römischen Barock geprägt und arbeitete zusammen mit dem Bologneser Maler Domenichino, aber auch mit dem flämischen Bildhauer François Duquesnoy. Simon Vouet, dessen Nichte er ehelichte, war etwa ein Jahrzehnt sein Mentor und künstlerisches Vorbild. 1648 gehörte er zu den Begründern der Pariser Akademie, die er als Direktor von 1654 bis 1660 geleitet hat. A.R. Literatur: Barbara Brejon de Lavergnée (Hrsg.), Jacques Sarazin. Sculpteur du roi, 1592-1660. Ausstellungskatalog. Réunion des Musées Nationaux, Paris 1992. Antoine-Nicolas Dézallier d'Argenville, Vies des fameux architectes depuis la Renaissance des arts, avec la description de leurs ouvrages. Bd. 2, Reprint der Ausgabe von 1788. Boston 2006, S. 145-158. Marthe Digard, Jacques Sarrazin. Son œuvre - Son influence. Paris 1934. (1271817) (11) Jacques Sarazin, 1592 Noyvon – 1660 Paris, attributed BRONZE SCULPTURE OF A RECLINING CHILD Height: 26 cm. Length: 38 cm. Height of base: 9 cm. The attribution to the artist is corroborated by a list of comparable examples. A reclining terracotta sculpture is held at The State Hermitage Museum in Saint Petersburg (inv. no. H.ck-594), where it is described, probably incorrectly, as a Roman sculpture of the early 18th century. The British Museum in London holds an engraving by Pierre Daret with the depiction of The Virgin and Christ Child by Sarazin and the Child on offer for sale here has a similar concept. The most convincing example of comparison is the figural terracotta group The Virgin and Child, ca. 1640 at the Louvre in Paris (inv. RF 2979), where the reclining Child is held across the Virgin’s lap. Literature: B. Brejon de Lavergnée (ed.): Jacques Sarazin. Sculpteur du roi, 1592-1660, exhibition catalogue, Réunion des Musées Nationaux, Paris 1992. A.-N. Dézallier d’Argenville, Vies des fameux architectes depuis la Renaissance des arts, avec la description de leurs ouvrages, vol. 2, Reprint of the 1788 edition. Adamant Media, Boston 2006, pp. 145-158. Marthe Digard, Jacques Sarrazin. Son œuvre – Son influence. Paris 1934.

        Hampel Fine Art Auctions
      • Jacques Sarazin, 1592 Noyvon – 1660 Paris, zug.
        Jun. 24, 2021

        Jacques Sarazin, 1592 Noyvon – 1660 Paris, zug.

        Est: €20,000 - €30,000

        KINDERBÜSTE Höhe: 41,5 cm. Sockelhöhe: 14 cm. Bronze, schwarz patiniert, auf eingezogenem, rundem Porphyrsockel. Bei dem plastischen Kinderbildnis dürfte es sich wohl um ein Knäblein handeln. Das Gesicht ist äußerst portraithaft gezeigt, der Oberkörper unbekleidet, mit je glatter, polierter Oberfläche. Im Gegensatz dazu zeigt das Haar bewusst markanter gearbeitete Locken. Die hohe Qualität, aber auch Detailvergleiche mit weiteren Werken des Bildhauers lassen diese Künstlernennung zu. Dies zeigt sich vor allem auch in der bekannten Büste des noch kindlichen französischen Königs Louis XIV (1638-1715), die in dessen Alter von fünf Jahren im Auftrag von der Mutter, Anna von Österreich, von Sarazin geschaffen wurde, und die sich im Pariser Louvre befindet (Inv.Nr RF2508). Auch Vergleiche mit weiteren Werken des Bildhauers, etwa die Marmor-Kindergruppe, ehemals im Park von Marly, um 1640-1667, jetzt ebenfalls im Louvre (Inv.Nr. FR 1843 A -B) erlaubten diese Zuordnung. Ebenso die in Warschau im Nationalmuseum befindliche Marmorbüste – die ebenfalls den jungen Louis XIV um 1648 zeigt, also im Alter von zehn Jahren (Inv.Nr. 126644, siehe hierzu: Dariusz Kaczmaryk, Rzezba europejska od XV do XX wieku. Katalog zbiorów, Warschau 1978, Kat. Nr. 177, S. 91). Beachtenswert ist, dass die vorliegende Büste von erkennbarer individueller Physiognomie geprägt ist, was bei Kleinkinderbildnissen eine hohe Meisterschaft erfordert. Die erkennbaren technischen Merkmale des Bronzegusses lassen eindeutig eine Fertigung in dieser Epoche erkennen. Sarazin studierte und wirkte von 1610 bis 1627 in Rom bei Jean Languille, einem französischen Holzbildhauer. Hier wurde er vom Römischen Barock geprägt und arbeitete zusammen mit dem Bologneser Maler Domenichino, aber auch mit dem flämischen Bildhauer François Duquesnoy. Simon Vouet, dessen Nichte er ehelichte, war etwa ein Jahrzehnt sein Mentor und künstlerisches Vorbild. 1648 gehörte er zu den Begründern der Pariser Akademie, die er als Direktor von 1654 bis 1660 geleitet hat. A.R. Provenienz: Privatsammlung. Literatur: Barbara Brejon de Lavergnée (Hrsg.), Jacques Sarazin. Sculpteur du roi, 1592-1660. Ausstellungskatalog. Réunion des Musées Nationaux, Paris 1992. Antoine-Nicolas Dézallier d’Argenville, Vies des fameux architectes depuis la Renaissance des arts, avec la description de leurs ouvrages. Bd. 2, Reprint der Ausgabe von 1788. Boston 2006, S. 145-158. Marthe Digard, Jacques Sarrazin. Son œuvre – Son influence. Paris 1934. (12718112) (11) Jacques Sarazin, 1592 Noyvon – 1660 Paris, attributed BUST OF A CHILD Height: 41.5 cm. Height of base: 14 cm. Bronze with black patina on recessed porphyry base. This three-dimensional bust of a child is probably depicting a young boy. The face is shown portrait-like, his upper body naked, the skin shown deliberately smooth and polished in contrast with the strikingly carved curls of his hair. The bust‘s high quality, but also comparisons of details with other works by the sculptor allow an attribution to Sarazin. This can especially be seen in Sarazin‘s famous bust of the childlike French King Louis XIV (1638-1715), commissioned by his mother, Anne of Austria when the future king was five years old, today held at the Louvre in (inv. no. RF2508). Other examples by the artist, such as a Group of Children in marble, formerly held at Park of Marly, ca. 1640-1667 and today at the Louvre (inv. no. FR 1843 A -B) compare well as does a marble bust of a youthful Louis XIV, ca. 1648, aged 10 held at the National Museum, Warsaw (inv. no. 126644, also see: D. Kaczmaryk, Rzezba europejska od XV d XX wieku, katalog zbiorów, 1978, cat. no. 177, p. 91). It is remarkable, that the present bust displays individual facial features, which requires a very high level of craftsmanship in portraits of children. Particular features of bronze casting clearly show that it was manufactured during that era. Provenance: Private collection. Literature: B. Brejon de Lavergnée (ed.): Jacques Sarazin. Sculpteur du roi, 1592-1660, exhibition catalogue, Réunion des Musées Nationaux, Paris 1992. A.-N. Dézallier d‘Argenville, Vies des fameux architectes depuis la Renaissance des arts, avec la description de leurs ouvrages, vol. 2, Reprint of the 1788 edition. Adamant Media, Boston 2006, pp. 145-158. M. Digard, Jacques Sarrazin. Son œuvre – Son influence. Ernest Leroux, Paris 1934.

        Hampel Fine Art Auctions
      • ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1700, SUIVEUR DE JACQUES SARRAZIN (1592-1660)
        Apr. 26, 2017

        ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1700, SUIVEUR DE JACQUES SARRAZIN (1592-1660)

        Est: €1,000 - €1,500

        ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1700, SUIVEUR DE JACQUES SARRAZIN (1592-1660) Buste d'homme Esquisse petite nature en cire rouge. (Usures, accidents et manques). French School circa 1700, follower of J. Sarrazin, A Man's bust, little sketch on red wax. HAUT. 13,8 CM (DONT PIÉDOUCHE RAPPORTÉ DE 6 CM) - 5 7/16 IN. (INCLUDING POSTERIOR PEDESTRIAN: 2 3/8 IN.)

        Tajan
      • ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1700, SUIVEUR DE JACQUES SARRAZIN (1592-1660)Buste d''homme
        Nov. 29, 2016

        ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1700, SUIVEUR DE JACQUES SARRAZIN (1592-1660)Buste d''homme

        Est: €1,500 - €2,000

        ÉCOLE FRANÇAISE VERS 1700, SUIVEUR DE JACQUES SARRAZIN (1592-1660) Buste d'homme Esquisse petite nature en cire rouge. (Usures, accidents et manques). Man's bust, little sketch on red wax. HAUT. 13,8cm DONT PIEDOUCHE RAPPORTE DE 6cm - 5 7/16 IN.

        Tajan
      • BUSTE DE LOUIS XIV ENFANT (?) Entourage de Jacques SARRAZIN (1592-1660). France, seconde moitié du XVIIe siècle.
        Dec. 07, 2014

        BUSTE DE LOUIS XIV ENFANT (?) Entourage de Jacques SARRAZIN (1592-1660). France, seconde moitié du XVIIe siècle.

        Est: €50,000 - €60,000

        BUSTE DE LOUIS XIV ENFANT (?) Entourage de Jacques SARRAZIN (1592-1660). France, seconde moitié du XVIIe siècle. Matériaux: Bronze patiné et porphyre. H. 41,5 cm, P. 22,5 cm. Diam. Piédouche : 14 cm

        Marc Arthur Kohn Paris
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