LEDA MIT DEM SCHWAN, UM 1875 Öl auf Holz. 25,5 x 17 cm. Links unten signiert „Gustave Moreau“, Verso mit Siegellackstempel von Paul Tesse. In plastisch verziertem Rahmen. Das vorliegende Werk, um 1875 entstanden, stellt den Moment in der griechischen Mythologie dar, als Leda, die Gemahlin des Königs von Sparta, von Zeus verführt wird. Zeus, der sich in Gestalt eines Schwans zeigt, ist in ihre Arme geflüchtet, um Schutz vor einem angreifenden Adler zu suchen. Der Mythos inspirierte Michelangelo (1475-1564), Leonardo da Vinci (1452-1519) und viele weitere Künstler. Wie schon bei Salome oder Helena von Troja nahm Moreau eine bekannte Protagonistin und machte das Thema zu seinem eigenen, indem er seinen Kompositionen eine erotische Erzählung und eine charakteristische traumhafte, sinnliche Ästhetik verlieh. Moreau malte den Mythos von Leda und dem Schwan erstmals 1846 in einem unvollendeten, großen Ölgemälde auf Leinwand mit den Maßen 230 x 205 cm, das sich im Musée Gustave Moreau in Paris befindet. Die Inspiration für diese Szene ist eher klassisch und unterscheidet sich deutlich von seinem späteren Stil, da sie auf ungewöhnliche Weise den Leda-Mythos mit christlicher Bildsprache verbindet, indem er den Heiligenschein hinter dem Kopf des Vogels platziert und Putten eine Krone herbeitragen lässt. Neben dem vorliegenden Werk verzeichnet Mathieu zwei weitere unterschiedliche Ansätze zu diesem Thema aus derselben Zeit: eine Aquarellarbeit en Camaieu mit den Maßen 21 x 12 cm in der Sammlung des Musée Gustave Moreau sowie ein Ölgemälde von 32 x 23 cm in einer privaten Sammlung. Eine etwas spätere Version in Aquarell, um 1882 gemalt und 34,2 x 22,2 cm groß, wurde am 4. November 2011 bei Sotheby's in New York versteigert. Sowohl dieses Werk als auch das Vorliegende zeichnen sich durch ihre besonders kraftvolle Komposition aus, in der die Symmetrie zwischen Leda und dem Schwan in einer V-Form nahe der Bildmitte zusammenläuft. Dieser Effekt wird im vorliegenden Werk noch verstärkt durch Moreaus enge Beschneidung der Komposition um die Figuren. Zudem setzt der Künstler die Diagonale der Schwanenflügel fort, indem er einen Putto hinter Leda hinzufügt, der geduckt sitzt und mit seinem Blick nach oben und nach rechts schaut. Die allgemeine Sinnlichkeit der Szene könnte für den Künstler eine persönliche Bedeutung gehabt haben. Neben den Erzählungen von Andromeda, Pasiphaë und Sappho gehörte Leda und der Schwan zu den mythologischen Themen, die Moreau als Geschenke für Adélaide Alexandrine Dureux (1835-1890) schuf. Die Beziehung zwischen Moreau und Dureux, die über dreißig Jahre andauerte, ist zwar etwas geheimnisumwoben, doch war sie von einer tiefen Freundschaft und vermutlich auch von einer privaten Romanze geprägt. Provenienz: Paul Tesse (dessen Siegel PT auf der Rückseite). Dessen Nachlassauktion: Hôtel Drouot, Paris, 11. März 1876, lot 40. John Saulnier, Bordeaux. Dessen Nachlassauktion: Hôtel Drouot, Paris, 5. Juli 1886, Lot 67. Charles Hayem (1889). Louis Mante (um 1906). Dessen Nachlassauktion: Galerie Charpentier, Paris, 28. November 1956, Lot 9. Christie's, Paris, 15. April 2013, Lot 82. Agnews, London. Literatur: Paul Leprieur, Gustave Moreau, et son oeuvre, 1889, S. 446. Paul Flat, Gustave Moreau, in: La Revue de l'Art et les Artistes, Paris 1926, S. 242 mit Abb. Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau, sa vie, son oeuvre, catalogue raisonnée de l'oeuvre achevé, Paris 1976, S. 313, Nr. 145, mit Abb. Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau, Monographie et nouveau catalogue de l'ouvre achevé, Paris 1998, Nr. 166, mit Abb. (als Léda, Le Cygne et l'Amour mit unbekanntem Ort). Ausstellungen: Galerie Georges Petit, Paris, Gustave Moreau, 01. Januar - 31. Dezember 1906, (ausgeliehen durch Louis Mante). (1410372) (13) Gustave Moreau, 1826 Paris – 1898 ibid. LEDA AND THE SWAN, CA. 1875 Oil on panel. 25.5 x 17 cm. Signed “Gustave Moreau” lower left. Lacquer seal of “Paul Tesse” on the reverse. The present work, created ca. 1875, depicts the moment in Greek mythology when Leda, the wife of the King of Sparta, is seduced by Zeus. Zeus appears in the shape of a swan and has fled into her arms to seek protection from an attacking eagle. Moreau first painted the myth of Leda and the Swan in 1846 in an unfinished, large oil painting on canvas measuring 230 x 205 cm, which is held at the Musée Gustave Moreau in Paris. The inspiration for this subject is classical and differs markedly from his later style, as it combines the Leda myth with Christian imagery in an unusual way as it depicts the bird with a halo and putti approach carrying a crown. In addition to the present work, Mathieu records two other different approaches to this subject from the same period: a Camaieu watercolour measuring 21 x 12 cm held at the collection of the Musée Gustave Moreau and an oil painting measuring 32 x 23 cm held in a private collection. A slightly later watercolour version painted ca. 1882 and measuring 34.2 x 22.2 cm, was sold at auction at Sotheby’s in New York on 4 November 2011. This work, as the present one, are characterized by their particularly powerful composition, in which the symmetry between Leda and the Swan converges in a V-shape near the centre of the painting. Provenance: Paul Tesse (his seal “PT” on the reverse). His estate auction: Hôtel Drouot, Paris, 11 March 1876, lot 40. John Saulnier, Bordeaux. His estate auction: Hôtel Drouot, Paris, 5 July 1886, lot 67. Charles Hayem, 1889. Louis Mante, ca. 1906. His estate auction: Galerie Charpentier, Paris, 28 November 1956, lot 9. Christie’s, Paris, 15 April 2013, lot 82. Agnews, London. Literature: Paul Leprieur, Gustave Moreau et son oeuvre, 1889, p. 446. Paul Flat, Gustave Moreau, in: La Revue de l’Art et les Artistes, April 1926, p. 242 with ill. Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau. Sa vie, son oeuvre. Catalogue raisonnée de l’oeuvre achevé, Paris 1976, p. 313, no. 145, with ill. Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau. Monographie et nouveau catalogue de l’ouvre achevé, Paris 1998, no. 166, with ill. (as Léda, Le Cygne et l’Amour with unknown location). Exhibitions: Paris, Galerie Georges Petit, Gustave Moreau, 1906, no. 79 (on loan by Louis Mante). (†)
Gustave MOREAU (Paris, 1826 - 1898) Déesse au rocher Huile sur panneau (Restaurations) Goddess on the rocks, oil on panel, by G.Moreau 7.28 x 7.09 in. 18.5 x 18.0 cm Provenance : Vente anonyme ; Versailles, Paul Martin, 27 novembre 1961, n° 116 (titré La Reine de Saba) ; Vente anonyme ; Paris, Hôtel Drouot, Crait & Müller, 15 décembre 2023, n° 116 (comme Ecole Symboliste, dans le goût de Gustave Moreau) ; Collection particulière, Provence-Alpes-Côtes-d'Azur Bibliographie : Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau, sa vie, son œuvre, catalogue raisonné de l'œuvre achevé, Paris, 1976, p. 354, n° 374, repr. Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau. Monographie et Nouveau catalogue de l'œuvre achevé, Paris, 1998, p. 405, n° 412, repr. Il est des sujets qu’une longue méditation ne suffit pas à épuiser, tant leur simple évocation renouvelle chaque fois notre manière de les aborder. L’œuvre de Gustave Moreau est de ces énigmes mystérieuses. Symboliste avant l’heure, classique dans le choix de ses sujets mais révolutionnaire par l’utilisation de sa couleur, le peintre de Salomé personnifie avec merveille la transition qui s’opère dans la seconde moitié du XIXe siècle, entre le monde d’hier et la modernité. Dans le panneau que nous présentons ici, la ligne honore les qualités académiques du peintre, mais tranche avec un formidable déploiement de tonalités, appliquées avec une nervosité caractéristique autour d’une lumineuse figure de déesse. Un procédé habituel chez celui qui s’investit équitablement dans la rigueur du dessin et l’inventivité de la palette. La silhouette du sujet est ainsi gracieusement valorisée par le choix des couleurs, la nimbant en arrière-plan d’une aura mystérieuse. Il est intéressant de constater que la référence à la féminité, parfois invoquée par mépris, voire dégoût chez Moreau, se découvre ici dans un indicible charme aux allures de culte dévoué. Cette œuvre est à mettre en relation avec l’aquarelle conservée au musée d’art moderne de Yokohama (30,2 x 19,7 cm, fig. 1). Leur proximité soulève quelques interrogations. S’il est admis que l’artiste en produit tout au long de sa carrière, comme travail préparatoire souvent, c’est avec un tel succès parfois, que le tableau qui en découle s’efface devant la pureté de son ébauche. Par ailleurs, il est autant difficile d’estimer le délai qui les sépare, que de déterminer la véritable destination du projet global. S’agit-il d’une première tentative pour un tableau plus ambitieux qui n'a jamais été réalisé ? Sans doute faut-il chercher des éléments de réponse dans le contexte qui voit la création de ces deux œuvres. Vers 1890, s’il est au sommet de sa carrière, Gustave Moreau est également au soir de sa vie. En même temps que surviennent les ultimes hommages d’un peintre reconnu, l’homme doit souffrir la perte de ses compagnons les plus chers. En 1880, il expose au dernier salon. Quatre ans plus tard, sa mère vient à mourir, suivie en 1890 par Alexandrine Dureux, « sa meilleure et unique amie ». Entre-temps, il est élu en 1888 à l’Académie des Beaux-Arts et en 1891, après avoir longtemps résisté, il accepte de devenir professeur à l’Ecole des Beaux-arts. Ce dernier élément mérite une attention particulière, puisqu’il oblige à reconsidérer l’atmosphère solitaire qui fait la réputation de l’artiste. La génération de ses jeunes élèves, parmi lesquels Rouault, Matisse - pour ne citer que les plus célèbres - forment une sorte d’atelier qu’il reçoit chez lui dans l’espoir de transmettre son admiration pour les maîtres anciens. Impressionnés par sa profonde culture et la forte personnalité de son œuvre, certains d’entre eux peuvent avoir profité de ce cadre pour s’inspirer de son travail, sans qu’il ne soit connu de résultat probant jusque ici. La Déesse au rocher conserve cette part de mystère si chère à son créateur, et dont il tire le charme incomparable que l’on accorde à l’authentique extravagance. Avec ce titre sobre, il est difficile de proposer une identification à quelque divinité ou Cléopâtre que ce soit, mais on sent une présence certaine, celle de la femme magnétique et envoûtante qui semble tout droit sortir d’un rêve enchanté, comme seul Gustave Moreau devait en faire. Gustave MOREAU (Paris, 1826 - 1898) 18.5 x 18.0 cm Il est des sujets qu’une longue méditation ne suffit pas à épuiser, tant leur simple évocation renouvelle chaque fois notre manière de les aborder. L’œuvre de Gustave Moreau est de ces énigmes mystérieuses. Symboliste avant l’heure, classique dans le choix de ses sujets mais révolutionnaire par l’utilisation de sa couleur, le peintre de Salomé personnifie avec merveille la transition qui s’opère dans la seconde moitié du XIXe siècle, entre le monde d’hier et la modernité. Dans le panneau que nous présentons ici, la ligne honore les qualités académiques du peintre, mais tranche avec un formidable déploiement de tonalités, appliquées avec une nervosité caractéristique autour d’une lumineuse figure de déesse. Un procédé habituel chez celui qui s’investit équitablement dans la rigueur du dessin et l’inventivité de la palette. La silhouette du sujet est ainsi gracieusement valorisée par le choix des couleurs, la nimbant en arrière-plan d’une aura mystérieuse. Il est intéressant de constater que la référence à la féminité, parfois invoquée par mépris, voire dégoût chez Moreau, se découvre ici dans un indicible charme aux allures de culte dévoué. Cette œuvre est à mettre en relation avec l’aquarelle conservée au musée d’art moderne de Yokohama (30,2 x 19,7 cm, fig. 1). Leur proximité soulève quelques interrogations. S’il est admis que l’artiste en produit tout au long de sa carrière, comme travail préparatoire souvent, c’est avec un tel succès parfois, que le tableau qui en découle s’efface devant la pureté de son ébauche. Par ailleurs, il est autant difficile d’estimer le délai qui les sépare, que de déterminer la véritable destination du projet global. S’agit-il d’une première tentative pour un tableau plus ambitieux qui n'a jamais été réalisé ? Sans doute faut-il chercher des éléments de réponse dans le contexte qui voit la création de ces deux œuvres. Vers 1890, s’il est au sommet de sa carrière, Gustave Moreau est également au soir de sa vie. En même temps que surviennent les ultimes hommages d’un peintre reconnu, l’homme doit souffrir la perte de ses compagnons les plus chers. En 1880, il expose au dernier salon. Quatre ans plus tard, sa mère vient à mourir, suivie en 1890 par Alexandrine Dureux, « sa meilleure et unique amie ». Entre-temps, il est élu en 1888 à l’Académie des Beaux-Arts et en 1891, après avoir longtemps résisté, il accepte de devenir professeur à l’Ecole des Beaux-arts. Ce dernier élément mérite une attention particulière, puisqu’il oblige à reconsidérer l’atmosphère solitaire qui fait la réputation de l’artiste. La génération de ses jeunes élèves, parmi lesquels Rouault, Matisse - pour ne citer que les plus célèbres - forment une sorte d’atelier qu’il reçoit chez lui dans l’espoir de transmettre son admiration pour les maîtres anciens. Impressionnés par sa profonde culture et la forte personnalité de son œuvre, certains d’entre eux peuvent avoir profité de ce cadre pour s’inspirer de son travail, sans qu’il ne soit connu de résultat probant jusque ici. La Déesse au rocher conserve cette part de mystère si chère à son créateur, et dont il tire le charme incomparable que l’on accorde à l’authentique extravagance. Avec ce titre sobre, il est difficile de proposer une identification à quelque divinité ou Cléopâtre que ce soit, mais on sent une présence certaine, celle de la femme magnétique et envoûtante qui semble tout droit sortir d’un rêve enchanté, comme seul Gustave Moreau devait en faire.
Circle of Gustave Moreau, French 1826-1898- Mythological scene with bathing nymphs, and a satyr playing pipes above; oil on card, inscribed 'Gustave Moreau' verso, 39.8 x 29 cm. Provenance: Private Collection, UK.
MOREAU, GUSTAVE Paris 1826 - 1898 (Circle) Title: In einem osmanischen Serail. Date: 2. half of the 19 c. Technique: Oil on Canvas, relined. Measurement: 38 x 46cm. Provenance: - Karl & Faber, München, Auktion 18. Mai 2022 - Kasper König Collection, Berlin (since 2022) - Motif typical of the Symbolist and Orientalist periods - Classic erotic scene in chiaroscuro painting Estimated shipping costs for this lot: Germany: 32,77 Euro plus 6,23 Euro VAT EU: 50,42 Euro plus 9,58 Euro VAT Worldwide: 92,44 Euro plus 17,56 Euro VAT additional shipping insurance Explanations to the Catalogue Gustave Moreau 19th C. Paintings Figure / Figures Painting Indoor spaces
Gustave Moreau (1826-1898), French sculptor, allegory of the echo, young woman in peasant dress listening to her echoing voice with raised hand, brown patinated bronze, signed in the terrain plinth, inscribed ''L'Echo'' on the base plaque, h. 44 cm
Gustave Moreau (1826-1898), French sculptor, allegory of the echo, young woman in peasant dress listening to her echoing voice with raised hand, brown patinated bronze, signed in the terrain plinth, inscribed "L'Echo" on the base plaque, h. 44 cm
Property from the Collection of Seymour Stein Gustave Moreau French 1826-1898 Hercule et la Biche Aux Pieds D'airain signed lower left: Gustave Moreau watercolour on paper sheet: 9 by 7 in.; 23 by 18 cm framed: 27 ⅜ by 23 ¾ in.; 70 by 60.5 cm
GUSTAVE MOREAU (PARIS 1826-1898) Costume design for Sapho in Charles Gounod’s opera graphite, heightened with white, graphite framing lines, on tracing paper 13 5⁄8 x 6 1⁄8 in. (34.5 x 15.5 cm)
MOREAU GUSTAVE: (1826-1898) French artist, an important figure in the Symbolist movement. A.L.S., Gustave Moreau, one page, 8vo, n.p., 28th January 1888, to Monsieur Robin ('Mon cher ami'), in French. Moreau states, in part, 'Je suis profondement touche et reconnaissant de le temoignage de gracieuse sympathie que, vous et Madame Robin, voulez lieu me donner aujourd'hui' (Translation: 'I am deeply touched and grateful for the testimony of gracious sympathy that you and Madame Robin gave me today') and in a postscript remarks 'J'espere bien avoir le grand plaisir de vous voir mercredi si le rhume affreux qui me tient en ce moment me laisse quelque repit' (Translation: 'I hope to have the great pleasure of seeing you on Wednesday if the dreadful cold that is gripping me at the moment gives me some respite'). With blank integral leaf. One small, light stain only very slightly affects the signature, otherwise VG
GUSTAVE MOREAU (FRENCH, 1826-1898) Le songe d'un habitant du Mogol watercolor, gouache and graphite on paper 9 3/4 x 7 1/2 in. (24.7 x 19 cm.) inside the border 15 1/4 x 12 1/2 in. (38.7 x 31.8 cm.) the sheet
GUSTAVE MOREAU (FRENCH, 1826-1898) La Sainte et le Poète pencil, watercolor and gouache on paper Image: 8 x 4 3/8 in. (20.3 x 11.1 cm.) Sheet: 8 5/8 x 4 7/8 in. (22 x 12.1 cm.)
GUSTAVE MOREAU (PARIS 1826-1898) La Bonne Fée graphite, plume et encre brune, aquarelle et gouache, rehaussé d’or et de gomme arabique 28,8 x 21,2 cm (11 3/8 x 8 3/8 in.)
Gustave Moreau Umkreis/bezeichnet, 4 Frauenakte in einem Dorfteich, Kohlezeichnung aquarelliert Gustave Moreau, 1826 - Paris - 1898, bedeutender französischer Maler und Zeichner des Symbolismus, Umkreis, hier: Vier Akte junger Frauen werden in einem Dorfteich von einem Hirsch beobachtet, qualitätvolle Kohlezeichnung, teilaquarelliert, 22 x 27 cm, r. u. sign. oder bezeichnet "Gustave Moreau"
GUSTAVE MOREAU (1826 - 1898) Saint Sébastien secouru, vers 1890 Aquarelle et gouache sur papier Signée en bas à gauche Watercolor and gouache on paper, signed lower left 17,5 x 11 cm (sujet) - 6 7/8 x 4 3/8 in. 19,9 x 12,9 cm (avec les bordures peintes) - 7 7/8 x 5 1/8 in. 80 000 - 120 000 € Provenance - Collection Alfred Baillehache - Collection P. Chavane - Sa vente, Paris, Hôtel Drouot, 17 décembre 1906, lot 39 - Collection Gallice - Collection Chatellus - Vente, Tableaux, Objets d'art, Meubles anciens, Paris, Hôtel Drouot, 18 décembre 1971, lot 58 - Collection particulière, France (acquis au cours de la vente précédente puis par descendance) Bibliographie - Pierre- Louis Mathieu, Gustave Moreau, Monographie et Nouveau catalogue de l'oeuvre achevé, Courbevoie : ACR Édition, 1998, décrit sous le n°407, p. 404 - Pierre-Louis Mathieu, Gustave Moreau, sa vie, son œuvre, catalogue de l'œuvre achevé, Paris : Bibliothèque des Arts, 1976, décrit sous le n°369, p. 353 - Chantelou, De l'oxygence, in. Le Monde, 26 jan- vier 1972 OEUVRE EN RAPPORT Gustave Moreau, Saint Sébastien et les Saintes Femmes, mine de plomb, 14,4 x 9 cm, Paris, Musée Gustave Moreau "Des figures de saints apparaissent souvent dans l'ouvre de Moreau : saint Georges, saint Martin, saint Michel, sainte Elisabeth de Hongrie, sainte Cécile, saint Sébastien, etc. Mais contrairement aux sujets tirés de l'Évangile, le peintre n'y trouve pas motif à faire oeuvre de dévotion personnelle. Ce sont d'ailleurs assez souvent des commandes destinées à célébrer la sainte patronne d'une cliente. Une exception doit être faite pour le martyre de saint Sébastien, sujet qu'il a traité à de nombreuses reprises dans les années 1870, et dont la version la plus élaborée est le tableau qu'il présenta au Salon de 1876 (Fogg Art Museum, Cambridge, Mass.). À l'instar des artistes de la Renaissance, et notamment de Mantegna qu'il admirait particulièrement, l'artiste semble avoir trouvé dans la représenta- tion du corps dénudé du jeune officier romain percé de flèches un prétexte à mettre en valeur une svelte académie juvénile secourue par un ange aux traits tout aussi délicats. Au spectateur de décider ce qui susscite davantage son intérêt dans ce type de scène : l'émotion religieuse émanant de la scène de martyre ou l'émotion esthétique provoquée par la beauté plastique du martyrisé."Pierre-Louis Mathieu, "Paraboles et images de saints", in. Gustave Moreau, Monographie et Nouveau catalogue de l'oeuvre achevé, Courbevoie : ACR Édition, 2004, p. 206 "Gustave Moreau s'est beaucoup adonné à l'aquarelle et a pratiquement fait précéder ou suivre toutes ses oeuvres à l'huile d'une ou plusieurs aquarelles. Son atelier contenait à sa mort environ quatre cents aquarelles, sans compter des dessins plus ou moins rehaus- sés. Elles jouèrent donc un rôle éminent dans l'élaboration de ses peintures, et il sut, comme beaucoup d'autres de ses confrères, leur livrer ces confidences d'artiste, ces variations, ces audaces intimes que même les plus téméraires n'osaient pas ou ne pensaient pas rendre publiques : en acceptant, après de longues hésitations, de transformer l'atelier de l'artiste en musée, l'Etat a permis de conserver en un même lieu toutes ces oeuvres à l'eau classées trop sommairement comme des esquisses. Mais, à la différence des autres artistes importants du XIXe siècle, Gustave Moreau pratiqua l'aquarelle pour elle-même, en tant que genre achevé, au même titre que ses peintures à l'huile : à cet égard, il fait même exception parmi ses contemporains peintres d'histoire, de la même façon qu'Ingres, avec ses portraits dessinés à la mine de plomb, a conféré ses lettres de noblesse à un autre genre mineur, même à ses yeux. Au début, sans doute, Moreau exécuta des aquarelles d'après ses propres oeuvres, comme des réductions de ses succès au Salon et pour répondre à la demande d'amateurs. Il existe ainsi une sorte de musée parallèle des principaux chefs-d'oeuvre de l'artiste, mais à l'aquarelle, et, comme il n'aimait pas se copier lui-même, ces diverses variantes, peintes à des époques souvent éloignées de celle du modèle, ne sont pas la reproduction pure et simple du prototype. Très rapidement, il présenta aussi, au Salon annuel, dans la section "Dessins", plusieurs aquarelles originales, ce qui était très rrare à l'époque de la part d'un peintre pratiquant le genre noble par excellence qu'était la peinture d'histoire. D'abord, ce furent des "projets", notamment pour émail, mais, à partir de 1876, il s'enhardit et exposa des aquarelles de dimensions exception- nelles, comme L'Apparition et Phaéton. [...] Amoureux de son euvre, Moreau ne consentit à vendre pendant son existence qu'un peu plus de quatre cents peintures, dont plus de deux cents sont des aquarelles. C'est dire la place primordiale qu'occupe chez lui ce genre considéré généralement comme mineur. Virtuose de la technique, alchimiste de la couleur, connaissant toutes les ressources de l'aquarelle, il s'y est consacré presque autant qu'à la peinture à l'huile. Mais il est vrai qu'au rebours de l'opinion commune, qui recommande de garder à l'aquarelle son caractère de notation et d'esquisse et de ne pas essayer de la faire rivaliser avec la peinture à l'huile, il a abordé ce genre en peintre et a su en reculer les limites, sans cependant en dénaturer l'originalité profonde."Pierre-Louis Mathieu, "L'ouvrier assembleur de rêves", in. Gustave Moreau, Aquarelles, Paris : Seuil, pp. 20 - 24
Gustave Moreau Umkreis/bezeichnet, 4 Frauenakte in einem Dorfteich, Kohlezeichnung aquarelliert Gustave Moreau, 1826 - Paris - 1898, bedeutender französischer Maler und Zeichner des Symbolismus, Umkreis, hier: Vier Akte junger Frauen werden in einem Dorfteich von einem Hirsch beobachtet, qualitätvolle Kohlezeichnung, teilaquarelliert, 22 x 27 cm, r. u. sign. oder bezeichnet "Gustave Moreau"
MOREAU GUSTAVE: (1826-1898) French Painter. A main figure of Symbolism. A.L.S., Gustave Moreau, one page, 8vo, Paris, 3rd December 1866, in French. Moreau thanks his correspondent for the artistic testimony forwarded to him, and states in part `You know for sure how much I esteem your work and your character as an artist, and this esteem comes from afar. I am therefore really happy today to be able to express to you my gratitude for the so noble and elevated way that you have understood our profession, and at the same time for the rare and exquisite pleasures which you have so often prove to me.´ With blank integral leaf. VG
Charles Camoin, 1879 Marseille - 1965 Paris, 1898 entry into Gustave Moreau's (1826-1898) studio at the Ecole des Beaux-Arts, study acquaintances with Henri Matisse and Paul Cezanne, 1903 exhibition in the Salon des Independants, with formative for the development of the Fauvism, from 1920 regular stays in St. Tropez and connection to Paul Signac; here: landscape in the evening near Saint Jeannet (Provence-Alpes-Cotes d # 'Azur), spontaneity in colored gestures, probably around 1958, signed lower right: Ch. Camoin, Öl / Lwd, approx. 38x46, frame approx.61x67 cm , handwritten expertise of the daughter of the artist Anne Grammont-Camoin (Camoin archive), created on the basis of a submitted photograph (Dec. 2020) . German Description: Charles Camoin, 1879 Marseille - 1965 Paris, 1898 Eintritt in Gustave Moreaus (1826-1898) Atelier an der Ecole des Beaux-Arts, Studienbekanntschaften mit Henri Matisse u. Paul Cezanne, 1903 Ausstellung im Salon des Independants, mit prägend für die Entwicklung des Fauvismus, ab 1920 regelmäßige Aufenthalte in St.-Tropez und Verbindung zu Paul Signac; hier: Landschaft im Abendlich bei Saint Jeannet (Provence-Alpes-Cotes d'Azur), Spontaneität im farbigen Gestus, wohl um 1958, rechts unten signiert: Ch. Camoin, Öl/Lwd, R., ca. 38x46/61x67 cm, handschriftliche Expertise der Tochter des Künstlers Anne Grammont-Camoin (Camoin-Archiv), erstellt anhand einer vorgelegten Fotografie (Dez. 2020)
Olio su tela, firmato in alto a sinistra Gustave Moreau, marchio al retro sulla tela, H cm 41.5x34 Al retro reca etichetta Leighton Fine Art.Opera accompagnata da Certificato di Autenticità Leighton Fine Art ed expertise di Cabinet Chanois.
GUSTAVE MOREAU (FRENCH, 1826–1898) Femme nue (étude avec drap) oil, watercolour, wash, ink and pencil heightened with white on thin linen 8 x 3 7/8in. (20.3 x 9.8cm.)
Gustave MOREAU Paris, 1826 - 1898 La promenade en calèche Huile sur panneau, une planche Signé 'G Moreau' en bas à droite The stroll in a carriage, oil on panel, signed, by G. Moreau h: 24,50 w: 32 cm Commentaire : Rares sont les œuvres de Gustave Moreau qui passent sous le feu des enchères. Notre tableau s'inscrit dans la jeunesse de l'artiste. Le jeune peintre se cherche alors, cherche encore sa palette, son style, son idéal. Sa rencontre décisive avec Théodore Chassériau vers 1850 va profondément le bouleverser et mettre sur la voie du succès celui qui deviendra par la suite le père artistique de tous les plus grands premiers avant-gardes du XXe siècle. La dette de Moreau envers Chassériau à ses débuts est inestimable, nombre de tableaux de jeunesse en attestent. L'importance est donnée à la couleur et à la vivacité de la touche plus qu'à la ligne et au dessin. Notre tableau fait partie d'une série d'œuvres consacrées au cheval, animal auquel il vouait une véritable passion enfant. Suivant les préceptes prodigués par les grands maîtres du Romantisme, Moreau nous livre un tableau à la touche résolument libre et rapide, tout en permettant la lecture de nombreux détails merveilleux comme le petit collier du chien alerte au premier plan, accrochant la lumière. Les nuances des cieux, exposant des coloris presque irréels associant rouge, bleu, mauve ou jaune, annoncent l'aurore du Symbolisme flamboyant auquel l'artiste s'adonnera avec talent pour le reste de sa carrière. Estimation 15 000 - 20 000 €
Gustave Moreau Saint Sébastien découvert par Sainte Irène Ca. 1869-1871 Huile sur panneau de bois Tachet 12,5 x 15 cm Inscription au dos du panneau : « Gustave Moreau – esquisse – Narcisse ou le Christ aux Oliviers ». Inscription au dos du panneau : « TACHET BREVETE A PARIS ». Inscription au dos sur le montant du panneau : « Narcisse P. 15 ». Provenance : Rouïba (Algérie), collection particulière puis par descendance au propriétaire actuel, Paris. Peintre du rêve par excellence, Gustave Moreau se laisse parfois absorber, selon Ary Renan, « dans de pieuses images et pare les héros de l'Ancien Testament, les saintes figures et la Divinité chrétienne elle-même du plus merveilleux appareil »[1]. Durant une période s’étalant de 1867 jusqu’aux débuts des années 1870, l’artiste semble marquer un vif intérêt pour divers sujets religieux comme Le Bon Samaritain (illus. 01), la Pietà (illus. 02) mais également le martyr de Saint Sébastien (illus. 03). Faisant montre d’une profonde réflexion sur le corps alangui et ses tourments, il réalise ainsi de multiples compositions auxquelles se rattache indubitablement cette étude inédite. Représentant Saint Sébastien découvert par Sainte Irène, ce tableau adopte une structure revenant dans plusieurs œuvres peintes par Gustave Moreau à cette époque. Celle-ci se retrouve notamment dans Le Calvaire (illus. 04) ou encore dans les nombreuses scènes consacrées à l’hagiographie de saint Sébastien (illus. 05)[2]. Grand chantre du peintre, Ary Renan loue les mérites de son œuvre religieux et saisit parfaitement son approche. Selon lui, « Les tableaux de piété de Moreau ont le plus souvent de moindres dimensions, comme pour être placés dans un intime oratoire ». D’une taille effectivement réduite, ce panneau représentant Saint Sébastien découvert par Sainte Irène atteste du brio de l’artiste et de son aisance dans la réalisation de ce type de format contraint. Paré d’un simple pagne, le saint est dépeint choyant au pied d’une masse chromatique sur laquelle se dessine une frondaison, lieu de sa captivité et de son supplice. En fin coloriste, Gustave Moreau restitue toute l’horreur de la scène en laissant suinter son pinceau et en agrégeant une gamme de couleurs mêlant rouges et bruns. Il contrebalance celle-ci en peignant la partie gauche de sa composition dans des tons plus froids. D’un pinceau alerte, il opte pour une iconographie classique en choisissant de nimber sa représentation d’une ambiance nocturne et lunaire. Figuré sommairement à gauche, Sainte Irène se devine dans son vêtement bleu et rouge. Le revers du tableau est également riche en informations sur sa matérialité. Il est peint sur un panneau Tachet[3] dont Gustave Moreau semblait grandement apprécier l’usage. Le 19 septembre 1845, Claude François Tachet, fabricant d'instruments de précision et de mathématique, dépose une demande de brevet pour la préparation dite « ouxhygrométrique » des bois. Selon son inventeur, cette technique permet de soustraire ceux-ci « aux influences atmosphériques ». En décembre 1851, après plusieurs certificats d’addition, Claude François Tachet renomme
MOREAU GUSTAVE: (1826-1898) French Painter. A.L.S., Gustave Moreau, one page, 8vo, n.p., 1st February 1887, to a gentleman, in French. Moreau asks his correspondent to send him their journal 'to which I subscribe for one year from this day'. VG
[^]Kostümstudie für die Figur des Phaon aus der Oper "Sapho" von Charles Gounod. Gouache über Bleistift, braun laviert, mit Gold gehöht auf hellbraunem Papier. 22,5 x 15,4 cm. Unten rechts bezeichnet "-PHAON-" und "-G-M-". Um 1883. Am 2. April 1884 nahm die Opéra de Paris Charles Gounods Oper Sapho, die bereits 1851 dort uraufgeführt wurde, wieder auf. Der damalige Verwalter der Oper, François-Pierre Régnier, bat Gustave Moreau vier von insgesamt fünf Kostümen für die Hauptprotagonisten zu entwerfen (siehe Archiv, Musée Gustave Moreau, zitiert in Mathieu 1976, op. cit., Nr. 302). Moreau präsentierte Régnier schließlich 27 Aquarelle und Zeichnungen mit Kostümentwürfen, unter anderem für die Figur des Phaon, des schönen Fährmanns, den die Dichterin Sappho unglücklich liebte. Eine weitere bezeichnete Version befindet sich in der Sammlung von Louis-Antoine Prat (siehe Pierre Rosenberg: De main de maître, trois siècles de dessins français dans la collection Prat, Ausst. Kat. Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada, 1990, Nr. 108). Der Auftrag für die Kostümgestaltung ging letztlich jedoch an Eugène Lacoste, der im Dezember 1883 zum Chef-Designer der Oper ernannt wurde. Lacoste gestaltete alle 56 Kostüme für die Aufführung. Aber schon weit vor diesem Auftrag ging für Moreau von der griechischen Dichterin Sappho eine große Faszination aus. In zahlreichen Gemälden und Aquarellen behandelte er ab 1849 dieses Ovid‘sche Sujet der Dichterin, die durch die Zurückweisung des Fährmanns Phaon unglücklich liebend verzweifelt. Mit dem Blick auf das offene Meer springt sie schließlich von einem Felsen in den Tod. Moreaus Kostümentwürfe für die Oper waren von orientalischen und griechischen Gewändern und Mustern in kräftigen, leuchtenden Farben, mit Gold verzierten Bordüren und schimmernden Pailletten beeinflusst. Als Wegbereiter des Symbolismus ließ sich Moreau in seinen Werken von mythologischen, literarischen und biblischen Sujets inspirieren. Seine Gemälde wurden von Marcel Proust bewundert und von den Symbolisten der 1880er Jahre gefeiert. - Provenienz: Wohl Sammlung Roger Marx (dessen Auktion am 11./12. Mai 1914, Los 180, als "Étude du personage de Phaon, pour l’Opéra de Sapho". Christie's, New York, Old Master Drawings, Auktion am 25. Januar 2007, Los 98. Privatsammlung Schweiz. - Literatur: Pierre-Louis Mathieu: Gustave Moreau, Sa Vie, Son Œuvre, Fribourg 1976, S. 343, Nr. 303 (ohne Abb.). Pierre-Louis Mathieu: Gustave Moreau, Monographie et Nouveau Catalogue de l'Œuvre achevé, Paris 1998, Nr. 339 (ohne Abb.). - Wir bitten darum, Zustandsberichte zu den Losen zu erfragen, da der Erhaltungszustand nur in Ausnahmefällen im Katalog angegeben ist. - Please ask for condition reports for individual lots, as the condition is usually not mentioned in the catalogue.
MOREAU GUSTAVE: (1826-1898) French Painter. A.L.S., Gustave Moreau, one page, 8vo, n.p., 1st February 1887, to a gentleman, in French. Moreau asks his correspondent to send him their journal 'to which I subscribe for one year from this day'. VG
MOREAU GUSTAVE: (1826-1898) French Painter. A.L.S., Gustave Moreau, one page, 8vo, n.p., 1st February 1887, to a gentleman, in French. Moreau asks his correspondent to send him their journal 'to which I subscribe for one year from this day'. VG
Huile sur toile "La mort de Cléopâtre". Portant en bas à gauche une signature de Gustave Moreau. Ecole française. (Un coup et un trou). Dim.:40,7x29cm.
Gustave Moreau (1826-1898)-attributed, Symbolist composition with two woman in landscape, watercolour with black chalk on paper, framed under glass, probably remains of signature bottom right
The poet and the mermaid Bistre ink and sepia watercolour on paper. Traces of a signature under the frame. Note: Moreau's influence as a teacher on artists such as Henri Matisse and Georges Rouault is well-known. 28.5 x 15.5 cm
[Autograph] Moreau, Gustave (1826-1898). French symbolist painter. Autograph Note on his printed visiting card, unsigned. To you, sir, this testimony of your kind friend a thousand thank yous. Framed 22" x 27 1/2" with reproduced portrait and art. Condition Sight condition very good, not examined out of frame.
![Gustave MOREAU [1826-1898]](https://stageimg.invaluable.com/housePhotos/Cnock/12/713312/H19974-L273048418.jpg)
