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F. Godefroid Sold at Auction Prices

Painter, Water colorist

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    • JEAN-FRANÇOIS GODEFROY (ACTIF À PARIS AU XVIIIe SIÈCLE)
      Mar. 25, 2021

      JEAN-FRANÇOIS GODEFROY (ACTIF À PARIS AU XVIIIe SIÈCLE)

      Est: €5,000 - €7,000

      JEAN-FRANÇOIS GODEFROY (ACTIF À PARIS AU XVIIIe SIÈCLE) THOMYRIS, REINE DES MASSAGÈTES, FAISANT PLONGER LA TÊTE DE CYRUS DANS UN VASE REMPLI DE SANG Toile Au revers, cachet de cire rouge de l’Académie Royale (enlevé de la toile lors du rentoilage et placé sur le châssis). Thomyris, queen of the Massagetes, plunging the head of Cyrus into a vessel filled with blood, canvas, on the back, a red wax seal of the Royal Academy (removed from the canvas during relining and placed on the frame) 132 x 112 cm - 52 x 441/8 in.

      Tajan
    • JEAN-FRANÇOIS GODEFROY (ACTIF A PARIS AU XVIIIE SIECLE)
      Dec. 15, 2020

      JEAN-FRANÇOIS GODEFROY (ACTIF A PARIS AU XVIIIE SIECLE)

      Est: €7,000 - €8,000

      JEAN-FRANÇOIS GODEFROY (ACTIF A PARIS AU XVIIIE SIECLE) THOMYRIS, REINE DES MASSAGETES, FAISANT PLONGER LA TETE DE CYRUS DANS UN VASE REMPLI DE SANG Toile Au revers, cachet de cire rouge de l’Académie Royale (enlevé de la toile lors du rentoilage et placé sur le châssis). Thomyris, queen of the Massagetes, plunging the head of Cyrus into a vessel filled with blood, canvas, on the back, a red wax seal of the Royal Academy (removed from the canvas during relining and placed on the frame) 132 X 112 CM - 52 X 44 1/8 IN. €7,000-8,000 Le sujet est tiré d’Hérodote (I, 214) et Valère Maxime (IX, 10) : la reine Thomyris venge son fils mis à mort par Cyrus en faisant décapiter ce dernier après l’avoir vaincu, et ordonne au bourreau de plonger sa tête dans un vase rempli de sang “repais-toi de ce sang dont tu fus si avide”, proclame-t-elle alors. Ce sujet peu fréquent fut proposé aux élèves admis à concourir pour le Grand Prix de 1766 : Berthélémy, Ménageot, Lefèbvre, Aubry, Vincent et Godefroy. Ce fut Ménageot qui remporta le Prix cette année, et son tableau est conservé à l’Ecole nationale des beaux-arts ; le tableau de Berthélémy est conservé (avec son esquisse) au musée des beaux-arts de Nîmes ; le tableau de Vincent fût détruit en 1878 lors de l’incendie de l’Hôtel de Ville de Moulins, ceux de Lefebvre et Aubry sont inconnus. C’est par comparaison avec les tableaux actuellement identifiés de Godefroy que nous proposons de lui rendre la toile ici présentée ; ces tableaux sont : Alexandre tranche le noeud gordien, qui lui valut le second Grand prix de l’Académie Royale de Peinture en 1767 (Paris, Ensb-a), La flagellation du Christ de 1782 (Tours, musée des beaux-arts), L’adoration des bergers de 1784 (Mécé, Ile et Vilaine, église). L’influence des maîtres ou protecteurs (Boucher, Lagrenée) de Godefroy est ici sensible, tout comme la dette à l’égard de Rubens, qui traita ce sujet dans un tableau appartenant alors aux collections royales, aujourd’hui au Louvre.

      Tajan
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