Odysseus bei den Phäaken. Feder in Braun, braun laviert, weiß gehöht, mit schwarzer Kreide quadriert, auf rosafarbenem Bütten. 22,8 x 34 cm (im Oval); 24,3 x 35,2 cm (Blattgröße). Aufgrund seines Talents wird Gagneraux 1776 mit dem Prix de Rome ausgezeichnet und beginnt 1778 sein Studium in der Ewigen Stadt. Zunächst verdient er seinen Lebensunterhalt mit der Anfertigung von Kopien nach alten Meistern und als Dekorationsmaler. König Gustav III. von Schweden wird auf ihn aufmerksam und macht ihn zu seinem Schützling. Seinen ersten großen öffentlichen Erfolg erlangte Gagneraux mit dem 1785 in Auftrag gegebenen Werk "Das Treffen zwischen Gustav III. und Pius VI." (Nationalmuseum Stockholm). Auch nach der Ermordung Gustavs III. im Jahr 1792 arbeitet Gagneraux für den schwedischen Hof, aber auch für die römische Nobiltà und französische Aristokraten. Als Monarchist muss er 1793 nach Florenz fliehen und wird dort zum Professor an der Akademie ernannt. 1794 wird ihm der Titel eines schwedischen Hofmalers verliehen. Laut einer handschriftlichen Notiz auf dem Untersatz wurde die alte Zuschreibung an Giuseppe Cades von Anthony Morris Clark, Minneapolis, in einem Brief vom 18.9.1967 verworfen und dem zur gleichen Zeit in Rom tätigen Bénigne Gagneraux zugewiesen. - Provenienz: Karl und Faber, München, Auktion am 6. November 1963. Sammlung Herbert List (Lugt 4063). - Wir bitten darum, Zustandsberichte zu den Losen zu erfragen, da der Erhaltungszustand nur in Ausnahmefällen im Katalog angegeben ist. - Please ask for condition reports for individual lots, as the condition is usually not mentioned in the catalogue.
Bénigne GAGNERAUX (Dijon, 1756 - Florence, 1795 ) Tête de cheval blanc Toile Signée et datée 'B. Gagneraux. 1787.' en bas à gauche Face of a white horse, canvas, signed and dated, by B. Gagneraux 29.33 x 23.70 in. 74.5 x 60.2 cm Provenance : Signalée dans l’inventaire après décès de l'artiste à Florence, dressé le 2 septembre 1795, n° 10 : « Deux tableaux peints sur toile où sont deux têtes de cheval, bordures dorées, larges 1 brasse et hauts 1 br. et 1/3 » ; Probablement dans la collection du neveu de l’artiste, l’architecte Bénigne Claude Alfred Chevrot, dit Alfred Chevrot (1820-1895), fils d’Agathe Gagneraux, fille de l’artiste, en 1846 ; Puis par descendance jusqu’au propriétaire actuel; Collection particulière, Ile-de-France Expositions : Explications des ouvrages présentés à l'exposition de la société des amis des arts de Dijon ouverte au musée de la ville, Dijon, 1849, sous le n° 273 Bibliographie : Probablement Henri Baudot, "Eloge historique de Bénigne Gagnereaux", Mémoires de l'Académie des sciences, arts et belles lettres de l'Académie de Dijon, années 1845-1846, p. 216-217 Birgitta Sandström, Bénigne Gagneraux, Edsbruk, 1981, p. 256 Birgitta Sandström, Bénigne Gagneraux 1756-1795 : éducation, inspiration, œuvre, thèse de doctorat à l'université de Stockholm, 1981, p. 136-137, n° 10b, reproduit fig. 37 Pierre Georgel, Catherine Gras, Monique Geiger, Marguerite Guillaume, Bénigne Gagneraux (1756-1795) un peintre bourguignon dans la Rome néo-classique, cat. exp. Dijon, Musée des Beaux-Arts de Dijon, 1983, p. 17 Sylvain Laveissière et al., Bénigne Gagneraux (1756-1795), un pittore francese nella Roma di Pio VI, cat. exp. Rome, Galleria Borghese, p. 111, repr. fig.17 (notice par Sylvain Laveissière) Notre toile constitue l'un des six extraordinaires "portraits" de chevaux qui permettent de définir Bénigne Gagneraux comme le grand peintre en la matière dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, entre Stubbs et Géricault. Au début de l'année 1786, les Etats de Bourgogne commandent à notre artiste deux grandes toiles, La Bataille de Seneffe et Le Passage du Rhin à Tholhuis (musée des Beaux-Arts de Dijon, pour la première), pour une série de six grands tableaux narrant les victoires du Grand Condé dans le but de décorer leur palais de Dijon. Leur ambition était de rendre hommage à la famille du gouverneur de la province, Louis V Joseph de Bourbon-Condé (1736-1818), septième prince de Condé. La Révolution a probablement mis fin à cette entreprise, la limitant à deux compositions achevées. Pour préparer le tumulte des charges de cavalerie figurées sur ces deux œuvres, l'artiste réalise en 1787 plusieurs études de chevaux : Cheval effrayé à la vue d'un serpent (Dijon, musée Magnin), Cheval sellé vu en raccourci dans un paysage (collection particulière), Cheval sellé vu de profil (galerie Jean-Luc Baroni et Emmanuel Marty de Cambiaire) et la Tête de cheval noir (collection particulière), la plus proche de notre toile, par ses dimensions et sa mise en place identique. Pour justifier son retard à livrer le Passage du Rhin, l'artiste écrivait à François Devosge, alors fondateur de l’école de dessin et directeur du musée des Beaux-Arts, le 5 janvier 1792 : "ce sont les études particulières du cheval qui m'ont retardé ... j'en ai fait de très sérieuses". Dès le départ, il les envisage probablement comme des tableaux autonomes pouvant être vendus à des amateurs. Deux d'entre eux, montrant des chevaux entiers, sont destinés, et peut-être livrés, à "Monsieur Calandrin", qui n’est autre que le banquier genevois François Calandrini (1729-1801). Elève de François Devosge à Dijon, Bénigne Gagneraux est pensionné à Rome, aux frais de la province de Bourgogne, en 1776. Il décide de rester dans la ville italienne, se constitue une clientèle française, italienne, puis européenne, recevant des commandes du roi Gustave III de Suède. A la date de notre toile, en 1787, il est au sommet de sa réputation avec la réalisation du plafond ayant pour sujet Jupiter et Antiope pour la villa Borghèse, unanimement admiré alors. Après les émeutes antifrançaises et antirévolutionnaires dans la ville éternelle de 1793, Gagneraux se réfugie à Florence. Par sa présence, le regard semblant évoquer une émotion humaine, son cadrage resserré, notre tableau préfigure la célèbre Tête de cheval blanc de Géricault (musée du Louvre), datée de 1814-1815, laquelle, étonnamment, n'a pas été réalisée d'après nature mais en s'inspirant d'une gravure de Gilles Demarteau d'après Carle Vernet (1800). Bénigne GAGNERAUX (Dijon, 1756 - Florence, 1795 ) 74.5 x 60.2 cm Notre toile constitue l'un des six extraordinaires "portraits" de chevaux qui permettent de définir Bénigne Gagneraux comme le grand peintre en la matière dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, entre Stubbs et Géricault. Au début de l'année 1786, les Etats de Bourgogne commandent à notre artiste deux grandes toiles, La Bataille de Seneffe et Le Passage du Rhin à Tholhuis (musée des Beaux-Arts de Dijon, pour la première), pour une série de six grands tableaux narrant les victoires du Grand Condé dans le but de décorer leur palais de Dijon. Leur ambition était de rendre hommage à la famille du gouverneur de la province, Louis V Joseph de Bourbon-Condé (1736-1818), septième prince de Condé. La Révolution a probablement mis fin à cette entreprise, la limitant à deux compositions achevées. Pour préparer le tumulte des charges de cavalerie figurées sur ces deux œuvres, l'artiste réalise en 1787 plusieurs études de chevaux : Cheval effrayé à la vue d'un serpent (Dijon, musée Magnin), Cheval sellé vu en raccourci dans un paysage (collection particulière), Cheval sellé vu de profil (galerie Jean-Luc Baroni et Emmanuel Marty de Cambiaire) et la Tête de cheval noir (collection particulière), la plus proche de notre toile, par ses dimensions et sa mise en place identique. Pour justifier son retard à livrer le Passage du Rhin, l'artiste écrivait à François Devosge, alors fondateur de l’école de dessin et directeur du musée des Beaux-Arts, le 5 janvier 1792 : "ce sont les études particulières du cheval qui m'ont retardé ... j'en ai fait de très sérieuses". Dès le départ, il les envisage probablement comme des tableaux autonomes pouvant être vendus à des amateurs. Deux d'entre eux, montrant des chevaux entiers, sont destinés, et peut-être livrés, à "Monsieur Calandrin", qui n’est autre que le banquier genevois François Calandrini (1729-1801). Elève de François Devosge à Dijon, Bénigne Gagneraux est pensionné à Rome, aux frais de la province de Bourgogne, en 1776. Il décide de rester dans la ville italienne, se constitue une clientèle française, italienne, puis européenne, recevant des commandes du roi Gustave III de Suède. A la date de notre toile, en 1787, il est au sommet de sa réputation avec la réalisation du plafond ayant pour sujet Jupiter et Antiope pour la villa Borghèse, unanimement admiré alors. Après les émeutes antifrançaises et antirévolutionnaires dans la ville éternelle de 1793, Gagneraux se réfugie à Florence. Par sa présence, le regard semblant évoquer une émotion humaine, son cadrage resserré, notre tableau préfigure la célèbre Tête de cheval blanc de Géricault (musée du Louvre), datée de 1814-1815, laquelle, étonnamment, n'a pas été réalisée d'après nature mais en s'inspirant d'une gravure de Gilles Demarteau d'après Carle Vernet (1800).
(1756 Dijon 1795). Baiocco. Radierung (1786). Plgr. ca. 29,6 x 22 cm, Blgr. ca. 35 x 25 cm. Leicht (am Rd. stärker) stockfl. - Dargestellt ist Franceso Ravai, ein stadtbekannter Kleinwüchsiger u. Bettler aus Rom. R
Bénigne Gagneraux (Digione 1756 - Firenze 1795) Caccia al leone Olio su tela 89 x 112 cm Questo dipinto è una delle numerose repliche della famosa composizione che Bénigne Gagneraux dipinse per il Granduca di Toscana nel 1795. La versione appartenuta sino agli anni alla collezione degli Uffizi è scomparsa durante la seconda guerra mondiale quando era depositata a Pistoia. Il presente dipinto non può essere identificato con il dipinto mancante degli Uffizi, essendo aderente all’esemplare di Dijon, che il Museo francese descrive con delle variazioni: “ noto da una prima fotografia: alcuni dettagli sono diversi (nella forma delle montagne sullo sfondo), alcuni elementi sono qui dipinti in modo più abbozzato (la coda del cavallo a sinistra, la roccia in basso a destra), e il dipinto non è firmato, a differenza del dipinto degli Uffizi firmato e datato in basso a destra B. Gagneraux, 1795”. Il quadro degli Uffizi è la prima opera dell'artista a entrare in una collezione pubblica, e Gagneraux la riprodusse svariate volte e che ritroviamo: collezione Bukowski a Stoccolma, Dijon presso il Musée des Beaux-Arts, un'altra è nella Kunsthalle a Brema. Altre versioni sono passate in asta pubblica: a Londra il 7 luglio 1999 (lotto 595) da Sotheby's; da Porro, Milano, 23/11/2006; infine da Sotheby's a New York il 23/01/2006. Gagneraux, nel 1776, è il primo ad ottenere il Grand Prix de Rome assegnato dagli Stati di Borgogna ai migliori allievi della scuola di disegno di Digione. Parte per Roma, dove trascorse tutta la sua carriera, sino a quando trovandosi ancora a all’Urbe durante la rivoluzione francese, Gagneraux venne ferito nel corso delle sommosse antifrancesi del 1793. Questo stato di agitazione sociale lo convince di rifugiarsi a Firenze, dove è accolto dal Granduca Ferdinando III di Toscana. Nel 1794 venne nominato pittore di storia della corte di Svezia, ma l’incarico dura ben poco in quanto l’anno seguente muore a Firenze.
BENIGNE GAGNERAUX (attribué à). « Mameluck au bivouac ». Miniature fixée sous verre. 8 x 5,5 cm. Cerclée de laiton. Cadre en bois noirci avec cartouche. B.E. Fin XVIIIe siècle.
Bénigne Gagneraux (1756-1795) Cheval, huile sur toile, signée et datée 1787, 62x75 cm. Nous remercions chaleureusement Monsieur Sylvain Laveissière auteur de Bénigne Gagneraux (1756-1795) : un peintre bourguignon dans la Rome néo-classique, Éditions De Luca, 1983. qui nous a communiqué les éléments suivants : - Il rapproche notre tableau d’une série d’études de chevaux peintes en 1787 en vue de la grande Bataille de Séneffe (1788, Dijon, MBA), mais sans être les modèles des chevaux représentés dans cette scène, mouvementée par nature. - Deux tableaux, de mêmes dimensions que le nôtre ont été étudiés dans le catalogue de l’exposition Gagneraux, Rome-Dijon, 1983 (n° 24, Dijon, musée Magnin, et fig. 15, coll. part : vendu depuis par Christie’s Monaco le 30 juin 1995 n° 66 repr. couleurs). - Notre œuvre ne figure pas parmi ceux catalogués par Gagneraux (catalogue manuscrit reproduit dans l’Eloge de Bénigne Gagneraux de H. Baudot, 1889), mais le cas n’est pas unique.
"Dix-huit estampes au trait composées et gravées à Rome par Gagneraux". 18 Kupferstiche, im Broschur der Zeit mit Fadenheftung. Je ca. 19,6 x 26,1 cm. 1792. IFF Nr. 1-18. Die komplette, bei J. De Beauvais, Paris verlegte Folge in ganz ausgezeichneten, gratigen Drucken mit breitem Rand. Entlang der weißen Ränder geringfügig fingerfleckig, restaurierter Eckausriss in der weißen Ecke unten rechts bei Blatt 1, leichte Alters- und Gebrauchsspuren, diese vornehmlich im weißen Rand, sonst sämtlich in einheitlich ordentlicher Erhaltung.
"Baiocco". Radierung. 29,9 x 22.4 cm. (1786). Siehe Thieme-Becker, Bd. 13, S. 67; S. Laveissière, Bénigne Gagneraux. Aust. Kat. Rom/Dijon 1983, Nr. 28-29. Wz. Fleur-de-lis im Doppelkreis. Der Dargestellte ist Franceso Ravai (1723-1793), ein bekannter Kleinwüchsiger in Rom. Ausgezeichneter Druck mit breitem Rand. Schwach fleckig, kaum sichtbare, geglättete Mittelfalte, einzelne dünne Stellen im Papier, sorgfältig geschlossener Riss am rechten Ellenbogen, teils gelöschte Bleistiftannotationen im weißen Rand unten rechts, sonst sehr gut erhalten.
Benigne GAGNERAUX (Dijon 1756 - Florence 1795) Tête de vieillard Sur sa toile d'origine 76,5 x 54 cm Signé au revers de la toile B. Gagneraux. fecit. Dans le cadre de Johann Tobias Sergel Provenance : Collection Johann Tobias Sergel ; Collection de la famille Sergel jusqu'en 1981.
zugeschrieben. Die Eifersucht rächt sich an Amor. Radierung und Aquatinta. 43,8 x 38,3 cm. Monogrammiert: "G.", und bezeichnet mit schwarzer Feder: "l'homme tourmenté par la jalousie se venge sur l'Amour". Bénigne Gagneraux, der seit 1778 in Italien tätig war, hat das gleiche Thema in dem 1792 entstandenen Graphikzyklus "Dix-huit estampes au trait composées et gravées à Rome par Gagneraux" dargestellt. Jedoch ist diese Fassung eleganter und flüssiger in ihrem zeichnerischen Duktus. Die als Umrissradierung behandelte Komposition besticht durch ihren linearen Purismus und ihre expressive Kraft, die einerseits entfernt an die italienische Druckgraphik des Quattrocento, insbesondere an die Kupferstiche Antonio Pollaiuolos erinnert, gleichzeitig jedoch eine für ihre Entstehungszeit erstaunliche Modernität besitzt. Ausgezeichneter, markanter Druck, vor der Schrift. Etwas faltig und angestaubt, leichte Altersspuren, sonst sehr schönes unbehandeltes Exemplar.
GAGNERAUX, BENIGNE (Dijon 1756 - 1795 Florence). Lot of 18 etchings in one book: Mythological - Allegorical themes. B. Gagneraux in Rome. 1792. 26.5 x 38 cm (sheet size). Some with engraved title in French below the image, numbered upper right and signed lower left: B.Gagneraux invent. et sculp. Romae. - Full margins, some foxing, otherwise in good condition. - Rare . GAGNERAUX, BENIGNE (Dijon 1756 - 1795 Florenz). Lot von 18 Stichen in einem Heft: Mÿthologisch-Allegorische Sÿjets. Erfunden und gestochen in Conturen von B. Gagneraux in Rom. Ein Heft, brosch. in 18 Blättern. 1792. Radierungen, 26,5 x 38 cm (Blattgrösse). Unterhalb der Darstellungen zum Teil mittig in französischer Sprache gestochen betitelt, oben rechts nummeriert, unten links signiert: B.Gagneraux invent. et sculp. Romae. - Die vollrandigen Blätter zum Teil etwas stockfleckig, sonst in guter Erhaltung. - Selten.
Bénigne GAGNERAUX (Dijon 1756- Florence 1795) Bacchante et satyre avec un cupidon dans un paysage Sur sa toile d’origine 71 x 99 cm Signée et datée en bas à droite : B.Gagneraux 1791.
GAGNERAUX, Bénigne (Dijon 1756-1795 Florence) La Diseuse de bonne aventure avec inscription "Peint par Gagnereaux à Rome en 1774" (sur le châssis au verso) huile sur toile 26,5 x 24 cm.
BÉNIGNE GAGNERAUX DIJON 1756 - 1795 FLORENCE TÊTE DE VIEILLARD Signé au verso B Gagneraux fecit Huile sur toile Bénigne Gagneraux ; Head of an old man ; Signed on the reverse ; Oil on canvas 67 x 59 cm ; 26 1/3 by 23 1/4 in
Bénigne GAGNERAUX (Dijon 1756 - Florence 1795) Le cuirassier couché Papier marouflé sur toile 39 x 50 cm Inscription et une date en haut à gauche GAGNERAUX 1788 Tableau préparatoire pour le cuirassier, sous le cheval, au centre du tableau représentant Le passage du Rhin à Tolhuis, 12 juin 1672 (Toile, 286 x 359 cm) conservé au musée des Beaux-Arts de Dijon (Voir le catalogue d'exposition Bénigne Gagneraux, 1756-1795, un peintre bourguignon dans la Rome néo-classique, Dijon, musée des Beaux-Arts, 1983, n°49 reproduit).
Bénigne Gagneraux (Dijon 1756-1795 Florence) The Education of Achilles signed and dated 'B. Gagneraux fecit 1785' (lower left) oil on canvas 38 3/8 x 49 3/8 in. (97.6 x 125.4 cm.)
Benigne Gagneraux (French, 1756-1795), "The Battle of Senef", graphite and black ink on paper, stamped lower left, inscribed "B Gagneraux.. Bataille de Senef au Grand Conde.. & Versaille", 16 3/4 in x 24 1/2 in., unframed