(b Kronach, Germany, 1472; d Weimar, Germany, 1553) German painter. Lucas Cranach the Elder was the son of the painter Hans Muller and was taught by him at an early age. Cranach only emerges as a fully-fledged artist in Vienna since 1501, when he was already in his early thirties. Such works as the portraits of Johannes Crispinian and his wife display the originality and intensity of his vision; while his delicate landscape backgrounds emphasize his role in the development of the Danube School. In 1505, Cranach became court painter in Wittenberg to the Ernestine Elector of Saxony. In 1508 he was ennobled and awarded a coat-of-arms by Frederick the Wise. He remained in the city until 1550 when his then patron, John Frederick, a nephew of Frederick the Wise, was captured by Charles V and exiled to Augsburg. By the mid-1520s Cranach had experience depicting three-quarter length religious and profane figures, chiefly female, in delicately wrought and typically Germanic wooded landscapes. Cranach was deeply involved in the Reformation of the Church initiated by Martin Luther in Wittenburg in 1517; indeed the two were close friends. Nevertheless, this did not prevent Cranach from accepting commissions from Catholics, including Luther's enemy Cardinal Albrecht of Brandenburg. He created paintings and woodcuts of varying types: altarpieces; portraits of protestant reformers; court portraits; themes of a biblical or mythological nature; and portraits of well-dressed and female nudes. (Credit: Christie’s, New York, Old Master Paintings, April 6, 2006, lot 14; Sotheby’s New York, Important Old Master Paintings Including European Works of Art, January 24, 2008, lot 30)
Attribué à Lucas CRANACH l'Ancien ou son atelier (Kronach, 1472 - Weimar, 1553) Salomé Huile sur panneau, parqueté (fragment modifié dans ses dimensions) Porte une date '1549' et l'insigne de l'artiste au dragon sur le côté droit (Restaurations) Salome, oil on panel, attr. to L. Cranach the elder or his workshop 21.25 x 18.70 in. 54.0 x 47.5 cm Provenance : Parvient à Gotha comme partie de la dot de la duchesse Elisabeth Sophie de Saxe-Altenburg (1619-1680) ; Kaufhaus, Gotha, en 1644 (inventaire 1644, fol.31) ; Dans le Kunstkammer, Gotha, depuis 1656 (inventaire 1656, fol. 1, N° 5][1) ; Galerie Ernst Buck, Mannheim, en 1936 (le panneau sera ensuite découpé en deux fragments) ; Chez Pieter de Boer, Amsterdam, en 1937 ; Acquis auprès de ce dernier en 1972 par le père de l'actuel propriétaire (comme Lucas Cranach le Jeune, Portrait de Sibylle de Saxe) ; Puis par descendance ; Collection particulière, Ile-de-France Bibliographie : Gustav Parthey, Deutscher Bildersaal. Verzeichnis der in Deutschland vorhandenen Oelbilder verstorbener Maler aller Schulen, Berlin, 1863-1864, p. 699, n° 5 Catalogue des tableaux anciens, Amsterdam, Kunsthandel, Pieter de Boer, printemps-été 1937, n° 5 (comme Lucas Cranach le Vieux) Gotteswort und Menschenbild. Werke von Cranach und seinen Zeitgenossen, Gotha, Stiftung Schloss Friedenstein, 1994, p. 52 Ernst der Fromme (1601-1675), Bauherr und Sammler. Katalog zum 400. Geburtstag Herzog Ernsts I. von Sachsen-Gotha und Altenburg, Gotha, Gotha Kultur, Allmuth Schuttworf, 2001, n° 1. 19 Joachim W. Jacoby, “Der Monogrammist CR: Cyriakus Reder und Christian Richter”, Niederdeutsche Beiträge zur Kunstgeschichte, 41, 2002, p. 197-212. Bild und Botschaft. Cranach im Dienst von Hof und Reformation, Herzogliches Museum; Kassel, Gemäldegalerie Alte Meister, Schloss Wilhelmshöhe, 2015, p. 278-279, n° 9, pl. p. 279 L’épisode de Salomé est raconté dans les évangiles de Marc (6 : 17-28) et de Mathieu (14 : 3-11). Son iconographie est largement répandue dans l’histoire de la peinture. Lucas Cranach l’Ancien l’utilise à de nombreuses reprises : pour figurer l’expression de la « femme fatale », provocatrice du péché, mais également pour illustrer la transgression souveraine de la tyrannie catholique, deux thèmes qui plaisent à son rigorisme protestant. A l’origine, notre panneau constitue très probablement la partie supérieure d’une composition représentant Salomé tenant la tête de saint Jean-Baptiste, et dont la partie inférieure1 serait conservée au château de Friedenstein à Gotha. Au-delà de l’évidente proximité stylistique qui relie les différentes parties de la robe aux manches à crevés noires et rouges, plusieurs éléments soutiennent cette hypothèse. D’une part, une fois ses parties réunies, les dimensions du panneau atteindraient environ 87 x 57 cm s’il n’avait pas été découpé sur tout son pourtour, ce qui correspond à un format standard que Cranach et son atelier utilisent entre 1520 et 1535. D’autre part, la comparaison du réseau de craquelures et l’étude du dessin sous-jacent ainsi que du médium, obéissent aux mêmes conclusions. En 1936, le tableau est vendu à Mannheim dans la galerie Buck, puis malheureusement scindé. La tête de Salomé et celle de saint Jean-Baptiste connaissent alors une destinée toute différente. Notre composition aborde l’aspect d’un charmant portrait (présumé être celui de Sibylle de Saxe), sciemment éloigné de la redoutable Salomé biblique. Si le panneau de Gotha conserve son fond noir original, celui du morceau que nous présentons ici est maladroitement modifié entre 1936 et 1972, laissant apparaître une sous-couche blanche craquelée. Le parquet plat ajouté au dos du panneau l’éloigne encore davantage de son pendant inférieur. Il reste à espérer que puissent être un jour réunis ces deux fragments d’une même histoire, pour que l’ensemble des questions posées par leur séparation soient résolues dans l’intérêt de la Salomé originale, et de l’histoire de l’art. L'œuvre figure sur la Cranach digital archive sous la référence : PRIVATE_NONE-P280. 1 - Référencée dans la Cranach digital archive sous la référence : DE_SMG_SG303 2 - Timo Trümper, Bild und Botschaft. Cranach im Dienst von Hof und Reformation, Heidelberg, 2015, pp. 278-279, n° 99. Nous remercions le Pr. Gunnar Heydenreich de nous avoir aidé pour l’attribution de ce panneau par un examen de visu en date du 7 octobre 2024, ainsi que pour celle apportée à la rédaction de cette notice. Attribué à Lucas CRANACH l'Ancien ou son atelier (Kronach, 1472 - Weimar, 1553) 54.0 x 47.5 cm L’épisode de Salomé est raconté dans les évangiles de Marc (6 : 17-28) et de Mathieu (14 : 3-11). Son iconographie est largement répandue dans l’histoire de la peinture. Lucas Cranach l’Ancien l’utilise à de nombreuses reprises : pour figurer l’expression de la « femme fatale », provocatrice du péché, mais également pour illustrer la transgression souveraine de la tyrannie catholique, deux thèmes qui plaisent à son rigorisme protestant. A l’origine, notre panneau constitue très probablement la partie supérieure d’une composition représentant Salomé tenant la tête de saint Jean-Baptiste, et dont la partie inférieure1 serait conservée au château de Friedenstein à Gotha. Au-delà de l’évidente proximité stylistique qui relie les différentes parties de la robe aux manches à crevés noires et rouges, plusieurs éléments soutiennent cette hypothèse. D’une part, une fois ses parties réunies, les dimensions du panneau atteindraient environ 87 x 57 cm s’il n’avait pas été découpé sur tout son pourtour, ce qui correspond à un format standard que Cranach et son atelier utilisent entre 1520 et 1535. D’autre part, la comparaison du réseau de craquelures et l’étude du dessin sous-jacent ainsi que du médium, obéissent aux mêmes conclusions. En 1936, le tableau est vendu à Mannheim dans la galerie Buck, puis malheureusement scindé. La tête de Salomé et celle de saint Jean-Baptiste connaissent alors une destinée toute différente. Notre composition aborde l’aspect d’un charmant portrait (présumé être celui de Sibylle de Saxe), sciemment éloigné de la redoutable Salomé biblique. Si le panneau de Gotha conserve son fond noir original, celui du morceau que nous présentons ici est maladroitement modifié entre 1936 et 1972, laissant apparaître une sous-couche blanche craquelée. Le parquet plat ajouté au dos du panneau l’éloigne encore davantage de son pendant inférieur. Il reste à espérer que puissent être un jour réunis ces deux fragments d’une même histoire, pour que l’ensemble des questions posées par leur séparation soient résolues dans l’intérêt de la Salomé originale, et de l’histoire de l’art. L'œuvre figure sur la Cranach digital archive sous la référence : PRIVATE_NONE-P280. 1 - Référencée dans la Cranach digital archive sous la référence : DE_SMG_SG303 2 - Timo Trümper, Bild und Botschaft. Cranach im Dienst von Hof und Reformation, Heidelberg, 2015, pp. 278-279, n° 99. Nous remercions le Pr. Gunnar Heydenreich de nous avoir aidé pour l’attribution de ce panneau par un examen de visu en date du 7 octobre 2024, ainsi que pour celle apportée à la rédaction de cette notice. Heydenreich attribue ce panneau à l'atelier de Lucas Cranach l'Ancien ou à un successeur dans un rapport écrit en date du 21 octobre 2024 (disponible sur demande).
Lucas Cranach d.Ä. 1472 Kronach – 1553 Weimar Öl auf Leinwand. Unsigniert. In einem goldfarbenen Hohlkehlrahmen gerahmt. Zur Vorlage vgl.: Lucas Cranach d.Ä. "Gnadenbild Mariahilf", nach 1537, Öl auf Holz, 78,5 x 47,1 cm, Dom St. Jakob zu Innsbruck. Kopien des Gemäldes, teils auch als Skulpturen aufgeführt, die teils den Mittelpunkt von Wallfahrten darstellten, befinden sich in knapp 100 Kirchen in Deutschland, Österreich, England und weiteren europäischen Ländern. In Dresden wird eine Kopie in St. Martin-Kirche (ehemalige Garnisonkirche) bewahrt. Lucas Cranach d.Ä. 1472 Kronach – 1553 Weimar Erste künstlerische Ausbildung unter seinem Vater, dem wohlhabenden Kronacher Bürger Hans Maler. Danach ging er als Geselle auf Wanderschaft. 1501–04 Aufenthalt in Wien. Die aus dieser Zeit erhaltenen Gemälde zeigen deutliche Einflüsse der Donauschule. Bereits gegen Ende der Wiener Zeit signierte er mit "Lucas Cranach" ("Lucas aus Kronach"). 1505 Anstellung als Hofmaler bei Friedrich dem Weisen von Sachsen in Wittenberg. Fertigte dann Portraits der Mitglieder verschiedener Königshäuser. Nebenher sammelte er erste Erfahrungen mit der Druckgrafik, wie Holzschnitte etc., die er teilweise selbst frei vertrieb. 1520 erwarb er in Wittenberg eine Apotheke. Er arbeitete aber nachweislich auch als Verleger und Papier- und Buchhändler. Ab 1530 waren auch seine Söhne Hans und Lucas d.J. in seiner Werkstatt als Hofmaler tätig. 1537–44 bestritt Cranach wiederholt das Amt des Bürgermeisters von Wittenberg.
(Kronach 1472–1553 Weimar) The Crucifixion, dated lower right: 1542, oil on panel, 39 x 24 cm, framed Provenance: sale, Galerie Fischer Auktionen, Lucerne, 21 June 1975, lot 389; sale, Galerie Fischer Auktionen, Lucerne, 5 November 1992, lot 2006 (as Workshop of Lucas Cranach I); sale, Phillips, London, 15 April 1997 lot 93 (as Follower of Lucas Cranach II); with Douwes Fine Art, Amsterdam; where acquired by the present owner The present painting is listed in the Cranach Digital Archive under no. P353. A copy of a letter by Dieter Koepplin regarding this painting is kept in the Cranach Digital Archive, dated 4 March 1994.
Artist: Lucas Cranach (1472 - 1553) Title: Masterpieces from the Hermitage and the Russian State Museum in Lenningrad Year: 1976 Medium: Poster Size: 27 x 18 in. (68.58 x 45.72 cm) Description: A black and orange poster for an exhibition of Renaissance art from several Russian collections. The image centered in the poster is a painting by Lucas Cranach the Elder titled "Virgin and Child Under an Apple Tree", originally painted in 1530.
LUCAS CRANACH the Elder (Kronach 1472–1553 Weimar) Lucretia. Circa 1535–45. Oil on panel. 36.6 × 20.4 cm. Provenance: - French-Belgian private collection since the 1970s. - European private collection. After examining the original, Prof Gunnar Heydenreich has confirmed that the present work is a high-quality depiction of Lucretia created in the workshop of Lucas Cranach the Elder in the years 1535-1545, whereby a partial involvement of Lucas Cranach the Elder cannot be ruled out. After examining the original, Dr Dieter Koepplin has also confirmed that it was made either by Lucas Cranach the Elder or his son Lucas Cranach the Younger and emphasises the particularly high quality of the execution. He assumes that it was painted around 1538-41 and points in particular to stylistic parallels with the Lucretia in the National Museum in Warsaw, which is dated 1538 (inv. no. Wil 1749, oil on panel, 59 × 40 cm; see Max J. Friedländer and Jakob Rosenberg: Die Gemälde von Lucas Cranach, Basel/Boston/Stuttgart 1979, p. 150, cat. no. 397). * The full tax is charged on this item marked * in the auction catalogue, i.e. VAT is charged on the sum of the bid price plus the surcharge for those items. The VAT will be refunded to Purchasers providing a validly stamped export declaration. ------------------------------------------------- LUCAS CRANACH d. Ä. (Kronach 1472–1553 Weimar) Lucretia. Um 1535–45. Öl auf Holz. 36,6 × 20,4 cm. Provenienz: - Französisch-belgische Privatsammlung seit den 1970er-Jahren. - Europäische Privatsammlung. Lucretia, eine römische Heldin aus dem 6. Jahrhundert v. Chr., die für ihre Schönheit und Tugend berühmt war, wählte den Freitod, nachdem sie von Sextus Tarquin vergewaltigt worden war. Diese sinnliche und erotische Figur, die als Verkörperung der Tugend, Keuschheit und Ehre gilt, ist eng mit dem Schaffen des deutschen Malers Lucas Cranach d. Ä. verbunden. Mehrere Versionen dieses Themas wurden vom Maler und seiner Werkstatt erstellt. Entsprechend war dieses Gemälde einst Teil eines grösseren Werkes, das eine wahrscheinlich in halber Körpergrösse dargestellte Lucretia mit einem Dolch abbildete. Der melancholische Blick der jungen Frau zeugt von ihrer Resignation angesichts ihres Schicksals und trägt zu ihrer Identifikation bei. Lucas Cranach d. Ä. unterhielt eine Werkstatt, in der sein Sohn Lucas d. J. (1515–1586) und weitere Mitarbeiter tätig waren. Sowohl materielle als auch stilistische Elemente verdeutlichen die Entstehung des hier angebotenen Werkes in dessen Werkstatt. Zum einen ist das Gemälde auf Buchenholz gemalt, einem zu der Zeit eher selten verwendeten Material für Malträger, das jedoch in der Werkstatt Cranachs häufig verwendet wurde, wie Prof. Gunnar Heydenreich nachweisen konnte (siehe Gunnar Heydenreich: Lucas Cranach the Elder. Painting materials, techniques and workshop practice, Amsterdam 2007, S. 48–50). Das auf dem Schleier verwendete Gold als Pigment entspricht ebenfalls einem in der Cranach-Werkstatt verwendeten Material und verdeutlicht die besondere Kostbarkeit der Feinmalerei. Prof. Gunnar Heydenreich stellt das hier angebotene Werk in die Nähe der Anfang der 1530er-Jahre entstandenen Lucretia im Museo de Bellas Artes in Bilbao (Inv.-Nr. 12/79, Öl auf Holz, 50,5 × 36,2 cm). Auch dort ist die Lucretia vor einem dunklen Hintergrund dargestellt, hält ihren Kopf nach rechts geneigt und trägt vergleichbaren Schmuck und einen beinahe durchsichtigen Schleier. Der gleiche Schleier über dem Haar der Heldin ist auch auf einer im Niedersächsischen Landesmuseum in Hannover aufbewahrten Lucretia aus dem Jahr 1535 zu sehen (siehe Gert van der Osten: Katalog der Gemälde Alter Meister in der Niedersächsischen Landesgalerie Hannover, Hannover 1954, Inv.-Nr. 59, Öl auf Holz, 51,7 × 34,8 cm). Bei diesen Vergleichswerken finden sich die gleichen physiognomischen und ausdrucksstarken Merkmale wie auf unserer Tafel wieder. Das Gemälde besticht schliesslich durch seine hohe Malqualität und zahlreiche äusserst fein ausgeführte Details, insbesondere bei der Darstellung der Hauttöne und der Haare sowie bei der feinen Ausführung der weissen Perle. Während diese Elemente von einer grossen Könnerschaft und Liebe zum Detail zeugen, deuten andere Teile des Werks möglicherweise auf eine Beteilung des Sohnes, Lucas Cranach d. J., hin, der in der väterlichen Werkstatt tätig war. Prof. Gunnar Heydenreich bestätigt nach Prüfung im Original, dass es sich bei dem vorliegenden Werk um eine qualitätsvolle Darstellung der Lucretia handelt, die in den Jahren um 1535–1545 in der Werkstatt von Lucas Cranach d. Ä. entstand, wobei eine partielle Beteiligung von Lucas Cranach d. Ä. nicht ausgeschlossen werden kann. Dr. Dieter Koepplin bestätigt ebenfalls nach Prüfung des Originals die Eigenhändigkeit entweder von Lucas Cranach d. Ä. oder seines Sohnes Lucas Cranach d. J. und betont die besonders hohe Qualität der Ausführung. Er geht von einer Entstehung um 1538–41 aus und weist insbesondere auf stilistische Parallelen zu der Lucretia im Warschauer Nationalmuseum hin, welche auf 1538 datiert ist (Inv.-Nr. Wil 1749, Öl auf Holz, 59 × 40 cm; siehe Max J. Friedländer und Jakob Rosenberg: Die Gemälde von Lucas Cranach, Basel/Boston/Stuttgart 1979, S. 150, Kat.-Nr. 397). Dieses mit * (Asterisk) bezeichnete Objekte ist vollumfänglich mehrwertsteuerpflichtig, d. h. bei diesen Objekten wird die MWST auf den Zuschlagspreis plus Aufgeld berechnet. Käufer, die eine rechtsgültig abgestempelte Ausfuhrdeklaration vorlegen, erhalten die MWST rückvergütet.
Lucas Cranach d.Ä. (Kronach 1472 - 1553 Weimar) Das Massenturnier mit Lanzen - Das erste Turnier Holzschnitt auf Bütten mit Wasserzeichen Gegenmarke "CR" / Woodcut on laid paper with watermark countermark "CR" 1506 26,3x37 cm, Blattgrösse / 26.3x37 cm, sheet size Werkverzeichnis / Catalogue Raisonné Hollstein 116/II Hollstein 116/II Provenienz / Provenance Slg. Otto Schäfer (1912-2000), Schweinfurt, Lugt 5881 Auktion Galerie Kornfeld, Bern, Schäfer, 25. Juni 1992, Los 46 Slg. Eberhard W. Kornfeld, Bern, Lugt 913b Collection Otto Schäfer (1912-2000), Schweinfurt, Lugt 5881 Auction Galerie Kornfeld, Bern, Schäfer, 25 June 1992, lot 46 The Eberhard W. Kornfeld Collection, Bern, Lugt 913b Zustand / Condition Guter und gleichmässiger, aber späterer Druck. In sehr guter Erhaltung mit der meist voll sichtbaren Einfassungslinie Good and even, but later impression. In very good condition with a mostly fully visible borderline Erläuterungen / Comments Der erste von vier Turnierholzschnitten, die Cranach nach Eintritt in die Dienste des sächsischen Kurfürsten Friedrich des Weisen in dessen Auftrag schuf. Die anderen drei entstanden 1509. Auch wenn die Hintergrundarchitektur mit dem reich geschmückten Balkon an das Wittenberger Rathaus erinnert, sind Cranachs Holzschnitte weniger exakte Reportagen einer höfischen Festivität als vielmehr repräsentative Bildfindungen, welche die kulturellen Aktivitäten des Hofes – und somit letztlich auch seinen politischen Bedeutungsanspruch – landesweit zu verbreiten suchten. The first of four tournament woodcuts that Cranach made for the Saxon elector Frederick the Wise after entering his service. Although the architecture in the background, with its richly decorated balcony is reminiscent of the Wittenberg town hall, Cranach's woodcuts are not so much accurate accounts of a courtly celebration as representative pictorial inventions designed to disseminate the cultural activities of the court - and ultimately its claim to political significance - throughout the country. MWST / VAT Mehrwertsteuer auf dem Zuschlagspreis plus Aufgeld / VAT on hammer price plus buyer's premium Erwartete Ausrufzeit / Estimated Auction Time of Lot (+/- 30min) 12.09.2024; 19:05 h (MEST / CET) For further information visit our website (www.kornfeld.ch) Versandkosten / Shipping cost Schweiz / Switzerland: CHF 130.- Europa / Europe: CHF 230.- Übrige Länder / Other countries: CHF 290.-
Cranach (Lucas, 1472-1553). Christ Taken Captive, 1509, woodcut on laid paper * Cranach (Lucas, 1472-1553). Christ Taken Captive, 1509, woodcut on laid paper, a good clear impression, with the artist's initials LC and the date 1509 on a tablet to the lower right corner of the image, and two Saxon coat-of-arms to upper right corner, verso with printed text in German gothic type, sheet size 252 x 182 mm (10 x 7 1/4 ins), framed and glazed, with Folio Society Collectors' Corner printed and typewritten label to verso, indicating the provenance as Richard Fisher QTY: (1) NOTE: Provenance: Richard Fisher (1809-1890), of Hilltop, Midhurst, Sussex, author of Introduction to a Catalogue of the Early Italian Prints in the British Museum (1886). His substantial print collection which included fine examples by Durer, Cranach, Lucus van Lyden, Goltzius, Mantegna, Marc Antonio Raimondi, Marco Dente and many others was sold by Sotheby's London on May 23rd 1892 and the four following days. (Lugt 2204). Hollstein 11 from the series The Passion (Hollstein 10-23).
WORKSHOP OF LUCAS CRANACH THE ELDER (KRONACH 1472-1553 WEIMAR). The penitent Saint Jerome in a landscape. oil on panel, transferred to panel 15 ½ x 10 5⁄8 in. (39.3 x 26.9 cm.).
PORTRAIT VON FRIEDRICH III KURFÜRST UND HERZOG VON SACHSEN Öl auf Holz. 65 x 61 cm. Rechts oben Namensnennung des Dargestellten und darunter Signatur von Cranach. In dekorativem Rahmen. Halbbildnis von Friedrich III der Weise nach rechts gewandt vor grünlichem Hintergrund. Er trägt ein schwarzes Barett, graues Kopf- und Barthaar sowie einen pelzverbrämten Mantel über schwarzem Gewand mit verziertem weißen Leibhemd. In seiner rechten Hand hält er die goldene Krone. Bekannte original Portraits von Cranach wurden vielfach abgeändert kopiert. (1390912) (18)
DER DRACHENTÖTER SANKT GEORG UND DIE BEFREITE KÖNIGSTOCHTER. Öl auf Holz (leicht gewölbt). 48 x 45, 5 cm. Wir danken dem Experten für Cranachgemälde, Herrn Dieter Koepplin, Basel, für seine schriftliche Äußerung: „Cranach-Werkstatt oder Cranach-Schule, Reizvoll und originell“ (15. Mai 2021). Die Darstellung geht auf die Georgs-Legende des Jacobus da Voragine und seiner Legenda Aurea, der Heiligenbiographien, zurück. St. Georg wurde in Kappadozien in der Zeit der Kreuzzüge des 12. Jahrhunderts mit dem Begriff des Drachentöters besetzt. Danach habe er die jungfräuliche Königstochter von einer Bestie, einem Drachen befreit. Er verletzte ihn, worauf die Gerettete ihn zahm in die Stadt führen konnte und sich die Bürger taufen ließen. Hier im Bild sind die einzelnen Szenen synchronoptisch, also gleichzeitig gezeigt. In der Hauptszene bedankt sich die Prinzessin, am Boden kniend, bei dem Heiligen Ritter, der sich zu ihr herabbeugt und ihre Hand nimmt. Vor ihr ein weißes Lämmchen als Zeichen ihrer Jungfräulichkeit. Der Geharnischte auf einem Schimmel, mit Straußenfederkappe, wird von weiteren vier Rittern im Gefolge begleitet. Bemerkenswert ist die sehr detailgenaue und charakteristisch unterschiedliche, nahezu porträthafte Wiedergabe der Gesichter in feiner Pinseltechnik. Rechts im landschaftlichen Hintergrund ist in kleinerem Maßstab sowohl die Drachen-Tötungsszene zu sehen als auch die Prinzessin, die den Drachen in die Stadt führt. Unter den weiteren Gemälden desselben Themas von Cranach bzw. dessen Schülern wäre hier auch der „Meister des Döbelner Hochaltars“ in der Hamburger Kunsthalle zu nennen, um 1520, nach Bernhard Blanc 1511-1513 eingeordnet. Auch dieses Bild in ähnlicher Komposition aufgebaut, mit Felsen, Landschaft und der Stadt im Hintergrund sowie dem weißen Lämmchen neben der knienden Königstochter. Unser Gemälde steht auch im Kontext zu dem von Friedländer und Rosenberg auf 1515 datierten Gemälde von Cranach, der Heiligen Katharina, in welchem die Pferdedarstellung und auch die Kleidung der heiligen Katherina unserer Darstellung sehr nahe kommt. 1979 schlug Alexander Colin Cole vor, dass in der Figur des ritterlichen Heiligen auf Grund des mehrfach in unserem Bild wiederholten Monogrammes MI (Maximilian Imperator), beispielsweise im Dekor des Pferdegeschirrs, Kaiser Maximilian I dargestellt sei. Dieser hatte den heiligen St. Georg auch zu seinem Schutzpatron ausgewählt. Zeitgenossen hätten Maximilian wohl trotz der fehlenden Portraitähnlichkeit und idealisierten Darstellung als Heiliger Georg alleine anhand des Monogramms identifiziert. Unabhängig davon galt Maximilian I als großer Unterstützer des St. Georg-Ordens, der von seinem Vater Frederick III im Jahr 1464 gegründet worden war. Kaiser Maximilian war ein großer Kunstmäzen und ließ mehrere Bücher von namhaften Künstlern der Zeit wie Dürer, Burgmayr, Beck, aber auch von dem ihm persönlich bekannten Cranach illustrieren. So entstand u.a. auch der Theuerdank, ein Epos, das seine Brautfahrt zu Maria von Burgund mit vielen Illustrationen idealisieren sollte. Daher liegt auch eine weitergehende Theorie nahe, in unserem Gemälde die Drachentöterlegende zugleich auch als allegorische Darstellung der Geschichte von Kaiser Maximilian und Maria von Burgund zu interpretieren. Maximilian unterstütze Maria dabei, sich gegen die Ansprüche Ludwigs XI auf ihr burgundisches Erbe durchzusetzen und befreite sie aus der politischen und miltärischen Bedrängnis. Die Beziehung zwischen Maximilian und der sehr früh verstorbenen Maria war die Liebesgeschichte des ausgehenden Mittelalters und Maximilian soll den Tod seiner geliebten Frau nie ganz verwunden haben. Dies alles könnte den Künstler zu unserem Gemälde inspiriert haben. Provenienz: Adelsbesitz bis 1978. Trafalgar Galleries, London, 1979. Christie's New York, Sale 2819, 29. Januar 2014, Lot 161. Sotheby's London, 8. Dezember 2016, Lot 117. Deutsche Privatsammlung. Literaturvergleiche: Sigrid Braunfels-Esche, Sankt Georg: Legende-Verehrung-Symbol, München, Callwey 1976. Claus Grimm, Johannes Erichsen, Evamaria Brockhoff (Hrsg.): Lucas Cranach. Ein Maler-Unternehmer aus Franken. Augsburg 1994. Dieter Koepplin, Tilman Falk: Lukas Cranach. Gemälde, Zeichnungen, Druckgraphik. Birkhäuser, Basel/Stuttgart 1974. Werner Schade: Die Malerfamilie Cranach. Dresden 1974. Werner Schade (Bearb.): Lucas Cranach. Glaube, Mythologie und Moderne. Ostfildern 2003. (14020010) (11) Lucas Cranach the Elder, 1472 Kronach – 1553 Weimar, workshop of SAINT GEORGE THE DRAGON SLAYER RESCUES THE KING’S DAUGTHER Oil on panel (slightly warped). 48 x 45.5 cm. We would like to thank the expert on Cranach paintings, Mr Dieter Koepplin, Basel, for his confirmation in writing: “Cranach workshop or School of Cranach, charming and original“ (15 May 2021). Provenance: Aristocratic estate, until 1978. Trafalgar Galleries, London, 1979. Christie’s New York, sale 2819, 29 January 2014, lot 161. Sotheby’s London, 8 December 2016, lot 117. Private collection, Germany. Literature comparisons: S. Braunfels-Esche, Sankt Georg: Legende-Verehrung-Symbol, Munich, 1976. C. Grimm, J. Erichsen, E. Brockhoff (eds.), Lucas Cranach. Ein Maler-Unternehmer aus Franken, Augsburg, 1994. D. Koepplin, T. Falk, Lukas Cranach. Gemälde, Zeichnungen, Druckgraphik, Basel/Stuttgart, 1974. W. Schade, Die Malerfamilie Cranach, Dresden, 1974. W. Schade (ed.), Lucas Cranach. Glaube, Mythologie und Moderne, Ostfildern, 2003.
Oil/wood, signed and quite illegibly, old sticky notes and inscribed on the back: Landesgalerie Dinge-Anhalt Moritzburgmuseum Halle, 120 Lucas Cranach d. Ä., inventory number I 1462, unequal pair Cranach School, origin Bdsf. Flechtingen, No. 45, established on: 1946, H 46.5 cm x W 32.5 cm, frame 61.5 x 48 cm, places remaining.
Cranach, Lucas der Ältere (1472 Kronach - 1553 Weimar, Kopie nach) - "Die Heilige Sippe" (1510-1512), Öl auf Holzpaneel, exakte Kopie in der Größe des Originals, allerdings ohne Cranach-Signatur (geflügelte Schlange) unten mittig, aufwendige Rahmung mit parkettierter Rückseite, verso gestempelt "Kopie Gemäldegalerie der Akademie der Bildenden Künste Wien" sowie "Nicht unter die Bestimmung des Ausfuhrverbotgesetzes", Bildträger: 89 x 71 cm, Sichtmaße ca. 88 x 68,5cm, Rahmenaußenmaße: 106 x 87 cm
Woodcut on laid paper. (1506). 28 x 38.4 cm (sheet). A very good, strong impression of this rare print. With a margin up to 10 mm wide around the boarderline. Cranach depicts a large tournament on a demarcated square, which is being watched more or less attentively by many onlookers from all walks of life. Emperor Maximilian had given the tournament a new impetus, wanting to promote knightly skills. - With a smoothed centrefold on the verso and old mounting strips in the upper corners. Paper somewhat brownstained and darkened. A small marginal tear at the upper edge, otherwise in good condition. Very rare!
Woodcut on laid paper with watermark "Kleine Krone mit Halbmond" (similar to Meder watermark 46-48). (c. 1510). 24.6 x 16.7 cm (sheet). A fine, black and sharp impression of the rare subject. Trimmed to the framing line. - A few tiny stains, the framing line inconspicuously re-drawn in places, otherwise in good condition.
Woodcut on laid paper. (1509). 28.7 x 18.8 cm (sheet). A very fine impression. Trimmed to the borderlines. - Three smoothed horizontal creases on the verso. Mostly slightly stained on verso. Minor, carefully repaired paper defects, otherwise in good condition.
Lucas Cranach d. Ä., Nachfolge 1472 Kronach - 1553 Weimar Nursing Madonna Adhesive label with number 172 on the frame verso, "L" in blue pen in front of it. Oil auf panel. 84.5 x 56 cm. Cradling, restored, damaged. Minor damage to frame (103.5 x 75 cm). Die Darstellung der Maria (Madonna) lactans findet sich im Schaffen Lucas Cranachs und seiner Werkstatt mehrfach. Vgl. hierzu die Datenbank des Corpus Cranach (https://cranach.ub.uni-heidelberg.de), dort im Speziellen die Nummer CC-CMM-150.112. Bei dieser handelt es sich um das "Urbild Cranachs" (Öl auf Holz, 84 x 57 cm), das sich heute als Leihgabe der Pfarrei Weinhaus im Wiener Dommuseum befindet. Auch das vorliegende, nahezu formatgleiche Gemälde aus der Nachfolge des Künstlers geht kompositionell auf das Wiener Vorbild zurück. provenance: according to the information given by the previous owners, acquired from the art dealer Max Wörndl. Munich. - Collection of Hans Constantin Faußner, Munich. Wir danken Dr. Michael Hofbauer, Heidelberg, für seine freundliche Unterstützung im Rahmen der Katalogisierung.
Lucas Cranach the Elder Kronach 1472 - 1553 Weimar, circle of Portraits of Martin Luther and Katharina of Bora 16th century Oil on oak Each 40.5 x 26.5 cm, with frame 50.8 x 36.9 cm This representative double portrait is the marriage portrait of Martin Luther and Katharina of Bora. Numerous of these portraits in various formats, a dozen of which have survived today, were probably created in Cranach's workshop from their engagement on 13 June 1525 onwards. Engagements and weddings in particular were regarded as occasions for such portraits, which were exchanged or given as gifts in bourgeois circles in order to emphasise the social status of the sitters. At the same time, the conventional depiction of this marriage portrait also served as a role model and encouraged imitation. As Luther spoke out in favour of the appreciation of marriage, he was encouraged to marry himself. Katharina of Bora was originally a nun from the Cistercian monastery Marienthron in Nimbschen, who had fled to Wittenberg with others to seek the protection of the reformer. As she was unable to return home, she worked in the household of Lucas Cranach the Elder, who was also present at her and Luther's engagement. News of this marriage of a monk to a nun quickly spread and public interest seemed to be so great that the Cranach workshop profited by creating a large number of double portraits, often on small transportable panels. The different portrait variants show some similarities, for example in the posture of the couple towards each other: Katharina of Bora is depicted on the right-hand side, which is characteristic of the wife in marriage portraits. She is looking at the viewer, while Martin Luther is looking to the right, towards his wife and the counterpart of his portrait. Both wear black robes with stiff collars; Luther wears his curly hair short and his wife dons a red hairnet, with this colour repeated in her bodice and the rings on her left hand. This type is a larger version against a green background. The double portrait has particularly striking similarities in format, background colour, and posture to the one of the same type from 1526 in the National Museum in Stockholm (inv. no. III.M8a & III.M8b). Another double portrait, this one of the smaller format type, is in the Herzog August Library in Wolfenbüttel (inv. no. III.M11a & III.M11b), the shading of which is very similar. An equally comparable double portrait also exists in the Öffentliche Kunstsammlung Basel (inv. no. III.M1a & III.M1b), although these early portraits from 1525 are conceived as tondi, still refer to portrait medallions as models, and reveal a smaller pictorial section. Literature: Martin Brecht, Martin Luther. Sein Weg zur Reformation 1483-1521, Berlin 1986. Cranach Digital Archive, Marriage Portrait of Martin Luther and Katharina of Bora (1525 - 1526), Düsseldorf 2024. Gunnar Heydenreich, Lucas Cranach the Elder. Painting materials, techniques and workshop practice, Amsterdam 2007.
(1472 Kronach - Weimar 1553). Die Beweinung. Holzschnitt auf feinem Bütten 1509. 24,9 x 16,8 cm. Auf Einfassung geschnitten. Unter Passep. mont. Ho. 21. B. 18. Prachtvoller zeitgenössischer Abdruck. - Tls. kleine Ausbesserungen. Aus einer unbekannten Sammlung (AD gekrönt (?), nicht bei Lugt). Sehr selten. D
CRANACH, LUCAS I (Kronach 1472 - 1553 Weimar) : "Das Urteil des Paris"; Holzschnitt auf Bütten mit Wasserzeichen W in Kreis; 36,1x25,9 cm (BG); im Stock mgr. "LC" u. dat. 1508
Lucas Cranach the Elder (German, 1472–1553) - The First Tournament 1506. Woodcut on laid paper, laid down to wove, trimmed to the border, the second, final state, a later impression showing breaks in the matrix, particularly on the right edge Image size: 10 ¼ x 14 ¾ in. (26 x 37.5cm) [Bartsch 124; Hollstein 116] Provenance Private Collection, Maryland.
"Portrait of a Girl" by Lucas Cranach, 1952 Unsigned Offset Lithograph. Paper size is 14 x 10.5 inches, with an image size of 8 x 6 inches. The Offset Lithograph is from an unknown edition size. and is not framed. The condition was rated A-: Near Mint, very light signs of handling. Additional details: Offset lithograph from Verve Vol. VII, Numbers 27 and 28, printed by Draeger, published in Paris by Teriade in 1952.
Lucas Cranach the Elder (Ger. 1472-1553) Portrait of Hans Sachs, 1545 Woodcut, framed under glass Titled and dated in plate at center of image 15 3/4" x 11 5/16" actual, 28 1/2" x 24 3/4" framed
LUCAS CRANACH THE ELDER (German 1472-1553) A PRINT, "The Martyrdom of St. Philip," CIRCA 1512, woodcut on laid paper; 6 1/4" x 5", framed 20 3/4" x 16 3/4".
LUCAS CRANACH the Elder and workshop (Kronach 1472–1553 Weimar) The Mystic Marriage of St Catherine with the Holy Virgins Barbara, Margaret and Dorothea. Oil on panel. 40.6 × 26.5 cm. Provenance: - Jauner von Schroffenegg Collection, Vienna. - Sale Kunstsalon Pisko, von Schroffenegg Collection, 11.11.1907, lot 77 (as German School, 16th century), sold to Berger. - Probably Dr Berger Collection, Vienna. - Collection of Princess Hilda Schwarzenberg (1897–1979). - Returned by the above to Dr Berger, USA, after 1945. - By inheritance, private collection. - Acquired from a European private collector, 1995. - By inheritance, European private collection. Literature: - Max J. Friedländer and Jakob Rosenberg: The Paintings of Lucas Cranach, London 1978, p. 86, no. 85A. - Max J. Friedländer and Jakob Rosenberg: Die Gemälde von Lucas Cranach, Basel/Boston/Stuttgart 1979, p. 87, no. 85A. - E. Ullmann: Lucas Cranach the Elder, The Betrothal of St Catherine of Alexandria, in: Acta Historiae Artium Scientiarum Hungaricae, vol. XXXIV, Budapest 1989, pp. 81–85, ill. 2, p. 83 (there incorrectly identified as the Dessau painting), and ill. 3, p. 84 (datable as c. 1512/13). With a research report by Dr Gunnar Heydenreich, 23.8.2008. After the large altarpiece by Lucas Cranach the Elder and his studio which Koller Auctions successfully sold last spring, it is particularly pleasing that another masterful work by one of the greatest artists of the German Renaissance is now being offered. Recently rediscovered in a private collection, the present painting depicts the mystical marriage of St Catherine surrounded by the Holy Virgins, Barbara, Margaret and Dorothea. The saints are characterised by their attributes: a sword, a tower, a dragon and a basket of flowers. Here, Cranach takes up a theme of the ‘Virgo inter virgines’, the virgin mother of God among the holy virgins, which was popular from the 15th century, particularly in the Netherlands. He focusses on the four ‘virgines capitales’: Catherine, Barbara, Margaret and Dorothea. At the same time, he combines this theme with the mystical marriage of St Catherine and embeds it in a dynamic composition of symmetrically static and diagonally animated lines. Since the 14th century, legend has it that the beautiful and clever princess of St Catherine of Alexandria would only commit to one man if he was her equal in all respects. When no suitable candidate could be found, a hermit imparted the wisdom that only Christ could fulfil her criteria. In an initial dream encounter, Christ declined her proposal, only to appear in a second dream after her baptism, symbolically sealing their union with a ring. This theme is also present in two larger panels in the Budapest Museum of Fine Arts (oil on panel, 67.5 × 47.3 cm, Friedländer 1979, cat. no. 86, p. 87 with ill.) and in the Staatlichen Kunstsammlung Dessau Schloss Georgium (oil on panel, 119 × 83 cm, Friedländer 1979, cat. no. 85, p. 87 with ill.). Compared to the versions in Dessau and Budapest, the composition presented here is more compact. The representation of the landscape in the background is remarkable, demonstrating the masterly skill of the artist and characterised by staggered perspectives, a geographical variety of plains and rocky landscapes, and meticulously depicted fauna. Stylistically, it is logical that Dr Ernst Ullmann dates the panel to the period around 1512–1514 and compares the virginal, delicate features with Cranach’s Altar of St Catherine, 1506, in Dresden. The lovely, girlish faces remind him of the ‘Sippenaltar’ from 1509 in the Städelsches Kunstinstitut in Frankfurt am Main, as well as the centre panel of the Dessau ‘Fürstenaltar’, around 1510, and the panels with the Education of the Virgin Mary, 1510/12, in Dessau-Wörlitz. According to current knowledge and art-historical and technological research, Dr Gunnar Heydenreich confirms that this high-quality mystical marriage was produced around 1520 by Lucas Cranach the Elder and his workshop. The masterful underdrawings, which can be seen with the help of IR reflectographs, prove that the master applied the composition himself directly to the painting ground (ill. 1). In accordance with Wittenberg workshop practice, the painterly design was completed in the workshop with the help of an employee. Cranach's profound friendship with Martin Luther around 1517 positioned him as a visual bridge, disseminating the new revelations of faith and influencing the artistic representation of the time. The panel under consideration, crafted on the eve of the Reformation, stands out for its format and the absence of theological and dogmatic subjects, suggesting it was likely intended for private devotion. What captivates the viewer is the meticulous craftsmanship, the masterful diversity within the depiction, and the cohesive unity of the composition. The scene is convincingly rendered through the intimate and individual portrayal of the figures, as well as by the masterful quality of the painting. --------------- LUCAS CRANACH d. Ä. und Werkstatt (Kronach 1472–1553 Weimar) Die Vermählung der Heiligen Katharina im Kreis der Heiligen Jungfrauen Barbara, Margareta und Dorothea. Öl auf Holz. 40,6 × 26,5 cm. Provenienz: - Sammlung Jauner von Schroffenegg, Wien. - Auktion Kunstsalon Pisko, Sammlung von Schroffenegg, 11.11.1907, Los 77 (als deutsche Schule, 16. Jh.), verkauft an Berger. - Sammlung Dr. Berger, Wien. - Sammlung Prinzessin Hilda Schwarzenberg (1897–1979). - Von obiger an Dr. Berger, USA, zurückgegeben, nach 1945. - Durch Erbschaft, Privatsammlung. - Von europäischer Privatsammlerin erworben, 1995. - Durch Erbschaft, europäische Privatsammlung. Literatur: - Max J. Friedländer und Jakob Rosenberg: The Paintings of Lucas Cranach, London 1978, S. 86, Nr. 85A. - Max J. Friedländer und Jakob Rosenberg: Die Gemälde von Lucas Cranach, Basel/Boston/Stuttgart 1979, S. 87, Nr. 85A. - E. Ullmann: Lucas Cranach d. Ä., Die Verlobung der Heiligen Katharina von Alexandria, in: Acta Historiae Artium Scientiarum Hungaricae, Bd. XXXIV, Budapest 1989, S. 81–85, Abb. 2, S. 83 (dort fälschlicherweise als das Dessauer Gemälde identifiziert), und Abb. 3, S. 84 (als um 1512/13 datierbar). Mit einem Untersuchungsbericht von Dr. Gunnar Heydenreich, 23.8.2008. Nach dem grossen Altarwerk von Lucas Cranach d. Ä. und seiner Werkstatt, welches Koller Auktionen im Frühjahr des letzten Jahres erfolgreich versteigern durfte, erfreut es besonders, dass nun wieder ein meisterliches Werk des einzigartigen Virtuosen der deutschen Renaissance, Lucas Cranach d. Ä., zur Versteigerung gelangt. Kürzlich in einer Privatsammlung wiederentdeckt, zeigt es die mystische Vermählung der Heiligen Katharina im Kreise der Heiligen Jungfrauen, Barbara, Margareta und Dorothea. Sie sind durch ihre Attribute Schwert, Turm, Drache und ein mit Blumen gefüllter Korb gekennzeichnet. Cranach greift hier ein seit dem 15. Jahrhundert besonders in den Niederlanden beliebtes Thema der „Virgo inter virgines“, der jungfräulichen Gottesmutter im Kreise der Heiligen Jungfrauen, auf. Dabei konzentriert er sich auf die vier „virgines capitales“ Katharina, Barbara, Margareta und Dorothea. Gleichzeitig kombiniert er diese Thematik mit der mystischen Vermählung der Heiligen Katharina und bettet sie in eine dynamische Komposition aus symmetrisch ruhender und diagonal belebter Linienführung. Vom Thema der Heiligen Katharina von Alexandria wurde seit dem 14. Jahrhundert berichtet, dass die schöne wie kluge Königstochter sich nur einem Mann widmen würde, wenn dieser ihr in allen Belangen ebenbürtig gegenüberstehen könne. Entsprechend fand sich kein passender Kandidat. Ein Eremit belehrte sie, dass nur Christus diese Anforderung erfüllen könne. In einer erstmaligen Traumbegegnung hatte er sich ihr aber verwehrt. Erst nach der Taufe soll Christus ihr in einem zweiten Traumerlebnis erschienen sein, wobei er ihr als Symbol der Vermählung einen Ring ansteckte. Das Thema findet sich in zwei weiteren grösseren Tafeln im Budapester Museum der Bildenden Künste (Öl auf Holz, 67,5 × 47,3 cm, Friedländer 1979, Kat.- Nr. 86, S. 87 mit Abb.) und in der Staatlichen Kunstsammlung Dessau Schloss Georgium (Öl auf Holz, 119 × 83 cm, Friedländer 1979, Kat.-Nr. 85, S. 87 mit Abb.). Die hier vorgestellte Komposition ist im Vergleich zu den genannten Versionen in Dessau und Budapest eher kompakt gestaltet. Hervorzuheben ist auch die landschaftliche Gestaltung des Hintergrundes, der die meisterliche Künstlerschaft vor Augen führt und sich durch perspektivische Staffelung, geographische Vielfalt aus Flachland und Felsenlandschaft und minuziös gefertigte Fauna auszeichnet. Stilistisch verwundert es nicht, dass Dr. Ernst Ullmann die Tafel noch in den Zeitraum um 1512–1514 datiert und die jungfräulich, zierlichen Gestalten mit Cranachs Bildern vom Dresdener Katharinenaltar von 1506 vergleicht. Die mädchenhaft lieblichen Gesichter erinnern ihn an den Sippenaltar von 1509 im Städelschen Kunstinstitut in Frankfurt a. M, ebenso wie an die Mitteltafel des Dessauer Fürstenaltars, um 1510, oder die Tafeln mit der Erziehung Mariens, 1510–12, in Dessau-Wörlitz. Nach aktuellem kunsthistorischem Wissenstand und kunsttechnologischer Untersuchung bestätigt Dr. Gunnar Heydenreich, dass diese qualitätsvolle mystische Vermählung um 1520 von Lucas Cranach d. Ä. und seiner Werkstatt gefertigt wurde. Die mit Hilfe von IR- Reflektographien ersichtlichen virtuos gefertigten Unterzeichnungen belegen, dass der Meister die Komposition eigenhändig direkt auf den Malgrund aufgetragen hat (Abb. 1). Entsprechend der Wittenberger Werkstattpraxis wurde die malerische Gestaltung in der Werkstatt unter Mitbeteiligung eines Mitarbeiters komplettiert. Mit Auftreten von Martin Luther um 1517 und seine Freundschaft zu Cranach, der als bildlicher Vermittler und Verbreiter der neuen Glaubensoffenbarung diente, hatte dies Konsequenzen für die bildnerische Darstellungsweise. Entsprechend entstand unsere Darstellung am Vorabend der Reformation und dürfte aufgrund des Formats und des Verzichts auf theologisch-dogmatische Motivik im Auftrag für die private Andacht entstanden sein. Sicherlich fasziniert besonders die feinst ausgearbeitete Stofflichkeit, die virtuose Vielfältigkeit in der Darstellung und die Stimmigkeit in der Komposition. Die Darstellung überzeugt durch die Innigkeit der Dargestellten und ihre Individualität sowie ihre meisterliche Bildqualität. ---------------
PORTRAIT VON FRIEDRICH III, KURFÜRST UND HERZOG VON SACHSEN Öl auf Holz. 65 x 61 cm. Rechts oben Namensnennung des Dargestellten und darunter Signatur von Cranach. In dekorativem Rahmen. Halbbildnis von Friedrich III, der Weise, nach rechts gewandt vor grünlichem Hintergrund. Er trägt ein schwarzes Barett, graues Kopf- und Barthaar, sowie einen pelzverbrämten Mantel über schwarzem Gewand mit verziertem weißen Leibhemd. In seiner rechten Hand hält er die goldene Krone. Bekannte original Portraits von Cranach wurden vielfach abgeändert kopiert. (1390912) (18)
LUCAS CRANACH THE ELDER 1472 Kronach - 1553 Weimar 'CHRIST BEFORE HEROD' Woodcut on paper. Sheet size 24.5 x 17 cm (f. 47 x 37.5 x 2 cm). Stained, browned, part. damaged. Framed in a passe-partout and behind glass (unopened). LUCAS CRANACH DER ÄLTERE 1472 Kronach - 1553 Weimar 'CHRISTUS VOR HERODES' Holzschnitt auf Papier. BM 24,5 x 17 cm (R. 47 x 37,5 x 2 cm). Fleckig, gebräunt, part. besch. Im Passepartout und hinter Glas gerahmt (ungeöffnet).
FOLLOWER OF LUCAS CRANACH THE ELDER OF THE 18TH CENTURY 1472 Kronach - 1553 Weimar VIRGIN AND CHILD Oil on canvas. 92 x 73 cm verso original canvas folded over on all sides - actual size approx. 107 x 83 cm (R. 108 x 86 cm). Part. slightly old rest., min. old retouching. Frame. Provenance: Rhenish private collection. LUCAS CRANACH DER ÄLTERE (NACHFOLGER DES 18. JH.) 1472 Kronach - 1553 Weimar JUNGFRAU MIT DEM KINDE Öl auf Leinwand. 92 x 73 cm verso Originalleinwand allseitig umgesc. Part. leicht altrest., min. Altretuschen. Rahmen. Provenienz: Rheinische Privatsammlung.
FOLLOWER OF LUCAS CRANACH THE ELDER OF THE 18TH CENTURY 1472 Kronach - 1553 Weimar VIRGIN AND CHILD Oil on canvas (relined). 79.5 x 67.5 cm (F. 91.5 x 79.5 cm). Part. slightly old rest., min. old retouching. Frame. Provenance: South German private collection. LUCAS CRANACH DER ÄLTERE (NACHFOLGER DES 18. JH.) 1472 Kronach - 1553 Weimar JUNGFRAU MIT DEM KINDE Öl auf Leinwand (doubl.). 79,5 x 67,5 cm (R. 91,5 x 79,5 cm). Part. leicht altrest., min. Altretuschen. Rahmen. Provenienz: Süddeutsche Privatsammlung.
FOLLOWER OF LUCAS CRANACH THE ELDER OF THE 18TH CENTURY 1472 Kronach - 1553 Weimar VIRGIN AND CHILD Oil on wood panel. 50 x 35.5 cm (F. 59.5 x 46.5 cm). Verso: old paper label with provenance 'W.Bettges Berlin-Halensee'. Part. old rest., old retouching. Frame. Provenance: South Rhine private collection. LUCAS CRANACH DER ÄLTERE (NACHFOLGER DES 18. JH.) 1472 Kronach - 1553 Weimar JUNGFRAU MIT DEM KIND Öl auf Holztafel. 50 x 35,5 cm (R. 59,5 x 46,5 cm). Verso: Altes Papierlabel mit Provenienzangabe 'W.Bettges Berlin-Halensee'. Part. altrest., Altretuschen. Rahmen. Provenienz: Südrheinische Privatsammlung.
FOLLWER OF LUCAS CRANACH THE ELDER OF THE 18TH CENTURY 1472 Kronach - 1553 Weimar VIRGIN AND CHILD Oil on wood panel. 37.5 x 32.5 cm (F. 44x 38 cm). Part. slightly old rest. Frame. Provenance: Rhenish private collection. LUCAS CRANACH DER ÄLTERE (NACHFOLGER DES 18. JH.) 1472 Kronach - 1553 Weimar JUNGFRAU MIT DEM KINDE Öl auf Holztafel. 37,5 x 32,5 cm (R. 44x 38 cm). Part. leicht altrest. Rahmen. Provenienz: Rheinische Privatsammlung.
FOLLOWER OF LUCAS CRANACH THE ELDER OF THE 18TH CENTURY 1472 Kronach - 1553 Weimar VIRGIN AND CHILD Oil on canvas. 54.5 x 44 cm (F. 65.5 x 54.5 cm). Part. min. old rest., slight old retouching, min. dam. Frame. Provenance: South German private collection. LUCAS CRANACH DER ÄLTERE (NACHFOLGER DES 18. JH.) 1472 Kronach - 1553 Weimar JUNGFRAU MIT DEM KINDE Öl auf Leinwand. 54,5 x 44 cm (R. 65,5 x 54,5 cm). Part. min. altrest., leichte Altretuschen, min. besch. Rahmen. Provenienz: Süddeutsche Privatsammlung.
Framed oil on canvas painting, Portrait of the Chancellor Gregor Bruck (1485-1557), after Lucas Cranach the Elder (German, 1472-1553), sight: approx 23.25"h, 15.5"w, overall: 30.75"h, 23"w, 10lbs
Artist: Lucas Cranach (1472 - 1553) Title: Masterpieces from the Hermitage and the Russian State Museum in Lenningrad Year: 1976 Medium: Poster Size: 27 x 18 in. (68.58 x 45.72 cm) Description: A black and orange poster for an exhibition of Renaissance art from several Russian collections. The image centered in the poster is a painting by Lucas Cranach the Elder titled "Virgin and Child Under an Apple Tree", originally painted in 1530.
(1472 Kronach - Weimar 1553). Die Beweinung. Holzschnitt auf feinem Bütten 1509. 24,9 x 16,8 cm. Auf Einfassung geschnitten. Unter Passep. mont. Ho. 21. B. 18. Prachtvoller zeitgenössischer Abdruck. - Tls. kleine Ausbesserungen. Aus einer unbekannten Sammlung (AD gekrönt (?), nicht bei Lugt). Sehr selten. D
(1472 Cronach - Weimar 1553). Ruhe auf der Flucht nach Ägypten. Holzschnitt auf feinem Bütten, 1509. Blgr. 28,3 x 18,6 cm. Unt. Passep. mont. Verso diverse Sammlerstempel. - An zwei Seiten mit der sichtbaren Einfassungslinie, links sowie unten um ca. 2 - 5 mm beschnitten. Fleckig, zwei horizontale Mittelfalten sowie horizontale Quetschfalte vom Druck, teils gesprungen und hinterlegt, vereinzelte hinterlegte bzw. geschlossene Einrisse, unterer Rand ca. 5 mm sowie rechter Rand unten ca. 2 mm ergänzt und mit Feder retuschiert, weitere kleine Erhaltungsmängel. Ho. 7. B. 5. Aus den Sammlungen Karl Eduard Liphart (Lugt 1687) sowie dessen Enkel Freiherr Reinhold von Liphart (Lugt 1758). Selten. Ausgezeichneter Abdruck. D
Fr. Wentzel Wissembourg (19th century) after Lucas Cranach sen. (1472 Kronach - 1553 Weimar): Portrait of Ulrich Zwingli, founder of the Reformed Church, 19th century, Lithography Technique: Hand colored Lithography on Paper Inscription: Signed in the stone below the depiction and inscribed with the sitter's name and dates of life. Below with a biblical quotation from 2 Timothy 6:12. Date: 19th century Description: After an original by Lukas Cranach the Elder (1472 Kronach - 1553 Weimar). Keywords: 19th century, Romanticism, Portraits, Germany,
LUCAS CRANACH THE ELDER (KRONACH 1472-1553 WEIMAR) Henry IV the Devout, Duke of Saxony, Margrave of Meissen (1473-1541),... oil on panel 8 x 6 in. (20 x 15 cm.)
"Portrait of a Girl" by Lucas Cranach, 1952 Unsigned Offset Lithograph. Paper size is 14 x 10.5 inches, with an image size of 8 x 6 inches. The Offset Lithograph is from an unknown edition size. and is not framed. The condition was rated A-: Near Mint, very light signs of handling. Additional details: Offset lithograph from Verve Vol. VII, Numbers 27 and 28, printed by Draeger, published in Paris by Teriade in 1952.
REST ON THE FLIGHT TO EGYPT PRINT AFTER LUCAS CRANACH (1472-1553). Germany, 16th Century. Woodblock print on laid paper, monogrammed and dated 1509 on the plate. Light toning and foxing with minor edge tears. Watermark with crown and 4. 12.5"h. 8.5"w.
(1472 Cronach - Weimar 1553). Ruhe auf der Flucht nach Ägypten. Holzschnitt auf feinem Bütten, 1509. Blgr. 28,3 x 18,6 cm. Unt. Passep. mont. Verso diverse Sammlerstempel. - An zwei Seiten mit der sichtbaren Einfassungslinie, links sowie unten um ca. 2 - 5 mm beschnitten. Fleckig, zwei horizontale Mittelfalten sowie horizontale Quetschfalte vom Druck, teils gesprungen und hinterlegt, vereinzelte hinterlegte bzw. geschlossene Einrisse, unterer Rand ca. 5 mm sowie rechter Rand unten ca. 2 mm ergänzt und mit Feder retuschiert, weitere kleine Erhaltungsmängel. Ho. 7. B. 5. Aus den Sammlungen Karl Eduard Liphart (Lugt 1687) sowie dessen Enkel Freiherr Reinhold von Liphart (Lugt 1758). Selten. Ausgezeichneter Abdruck. D
LUCAS CRANACH THE ELDER 1472 Kronach - 1553 Weimar 'THE HOLY CRIB' (CA. 1509/10) Woodcut on paper. Visual size 22.5 x 32 cm (f. 33.5 x 43 x 1 cm). Monogrammed 'LC' at the bottom center of the block. Verso Luchtenberg collection inventory number 'D/m 2'. Tanned, part. dam., part. rubbed, part. blotchy. Mounted in a passe-partout and framed behind glass (unopened). Provenance: Luchtenberg Foundation. LUCAS CRANACH DER ÄLTERE 1472 Kronach - 1553 Weimar 'DIE HEILIGE SIPPE' (CA. 1509/10) Holzschnitt auf Papier. SM 22,5 x 32 cm (R. 33,5 x 43 x 1 cm). Unten Mitte im Stock monogrammiert 'LC'. Verso Luchtenberg Sammlungsinventarnummer 'D/m 2'. Gebräunt, part. besch., part. ber., part. fleckig. In ein Passepartout montiert und hinter Glas gerahmt (ungeöffnet). Provenienz: Luchtenberg Stiftung.