Öl auf Holz. 14,7 x 23 cm. Monogrammiert unten links. Verso mit dem Stempel des Künstlerbedarfs „Deforge & Carpentier, Paris“. Gerahmt. Die Ränder rahmungsbedingt minimal berieben, ansonsten in guter Erhaltung. Taxation: differenzbesteuert (VAT: Margin Scheme)
CÉCILE PAUL-BAUDRY (FRENCH 1879-1960) THE YOUNG MODEL Signed, oil on canvas (71cm x 56cm (28in x 22in)) Please note that the artist is Cécile Paul-Baudry, not Paul Baudry as originally catalogued.
FREIRE, Anselmo Braamcamp, 1849-1921 Expedições e Armadas nos anos de 1488 e 1489. Lisboa : Livraria Ferin, 1915.- X, 112, [6] p. (e mapa desdob.) : (24 cm) : enc. Muito bom exemplar. Encadernação meia francesa em vitela grená com Rótulo, títulos e ferros a ouro na lombada. Aparado, e carminado, apenas à cabeça, mantém as capas de brochura.
[HAND-COLORED PLATES]. BAUDRY, Paul (1828-1886). Cybèle. Paris: Goupil, 1 October 1861. Folio sheets (426 x 600 mm). 2 copies. Lithographs beautifully hand-colored in contemporary color, each heightened in Gum Arabic (sheets a bit toned, foxed).
Baudry, Paul (1828-1886) Venus en Amor met 3 putti, gesigneerd r.o., olieverf op doek, 35 x 50 cm -herkomst: veiling Jürg Stuker Bern, Switzerland, 12 nov 1999, lot 70-
Paul Baudry (1828-1886) Portrait d’homme Huile sur toile Signée en bas à droite et datée 1874 68 x 55 cm Avec cadre : 80 cm x 96 cm Oil on canvas, signed and dated lower right, 21 ²¹/32 in x 26 4?/64 in, In a frame : 31 ¹/2 in x 37 5¹/64 in
Paul BAUDRY La Roche-sur-Yon, 1828 - Paris, 1886 Portrait du sculpteur Eugène Guillaume Huile sur toile (Toile d'origine), datée, signée et dédicadée '1876 BAUDRY / a Lamico EUGENIO' en bas à droite Toile de la maison Deforges Carpentier à Paris h: 128 w: 97 cm Provenance : Collection du modèle ; Collection de la famille Lefuel ; Puis par descendance Expositions : Salon de 1880, Paris, n° 189 'Exposition rétrospective Paul Baudry', Paris, Ecole nationale des Beaux-Arts, 1886, p. 73, n°124 'Rétrospective Paul Baudry', Paris, Salon des Artistes français, Grand Palais, 1929 'Paul Baudry, 1828-1886: les portraits et les nus', Les Lucs-sur-Boulogne, Historial de la Vendée, 26 octobre 2007 - 3 février 2008, n°37 Bibliographie : Charles Ephrussi, 'Paul Baudry, sa vie et son oeuvre', Paris, 1887, repr. p. 239, p. 242, p. 319 Commentaire : EUGENE GUILLAUME ET HECTOR LEFUEL Rares sont les artistes qui ont connu autant de distinctions et d'honneurs dans leur vie que le sculpteur Eugène Guillaume : Prix de Rome en 1845, chevalier de la Légion d'honneur en 1855, Membre de l'Institut en 1862, professeur puis directeur de l'École des Beaux-Arts en 1863 et 1865, nommé directeur de l'Académie des Beaux-Arts en 1878-79, directeur de l'Académie nationale de France à Rome de 1891 à 1904, professeur d'esthétique au Collège de France en 1882, enfin élu au siège du duc d'Aumale à l'Académie française en 1898. Ce palmarès vertigineux met en lumière son investissement sans faille dans le monde de l'art. Critique d'art et penseur, il établit publiquement des positions esthétiques et théoriques pour la sculpture par l'intermédiaire de nombreuses publications. Il est tout aussi investi dans le développement de l'enseignement du dessin. Il reçoit des missions institutionnelles en étant membre de la commission de l'Instruction publique, puis inspecteur général de l'enseignement du dessin ; enfin il est également membre du Jury des Salons de 1863 à 1890 (voir la valise comprenant un certain nombre des ouvrages publiés d'Eugène Guillaume et son sceau (lot 21)). Ces missions et distinctions sont aussi pléthoriques que sa carrière de sculpteur et il s'agit bien là d'un tour de force que d'avoir su mener de front une carrière officielle aussi remplie et un travail de création aussi foisonnant. Le journaliste Henry Jouin loue d'ailleurs Eugène Guillaume, premier sculpteur à être élu à l'Académie française en ces termes en 1898 : " Il nous plait de rencontrer un homme en mesure de tenir la plume ou le ciseau avec une égale sûreté sachant se mouvoir en liberté dans les régions de l'esthétique la plus élevée1 " Cet ensemble d'œuvres conservé précieusement par la famille Lefuel apparentée à l'artiste et présenté aujourd'hui offre un large éclairage sur les thèmes qui ont fait la réputation de ce sculpteur au parcours exemplaire : Né à Montbard et formé à l'école de dessin de Dijon avant de rejoindre Paris en 1841 à l'âge de 19 ans, Eugène Guillaume commence sa formation à l'École des Beaux-Arts dans l'atelier du célèbre James Pradier : le portrait en plâtre (lot 5) réalisé avec une grande sensibilité par son maître donne l'image d'un jeune provincial aux allures romantiques, tel un Rastignac qui n'attend que l'opportunité de faire éclore son talent et d'accéder au succès. Talent et succès trouvent rapidement leur concrétisation. Le portrait de profil en médaillon (lot 28) réalisé en 1857 par son camarade de classe à Rome Gabriel Jules Thomas le présente dans cette posture académique que l'on retrouve ensuite, à la fin de sa vie dans le magnifique portrait peint de Paul Baudry (lot 7) et son buste posthume par Hippolyte Lefèbvre (lot 22). Sous l'influence et la direction de Pradier dont l'enseignement se définit par une admiration absolue de la sculpture grecque, il fait sien l'art classique qui ne l'a plus jamais quitté. Encouragé par son maître, il remporte donc le prix de Rome de 1845 avec son œuvre Thésée trouvant sur un rocher l'épée de son père. Son séjour dans la Cité éternelle conforte son amour profond de l'art antique et des principes académiques qui se révèle dans la très jolie suite du Mnésymaque (lots 24,25 et 26), Danaé (lot 1), Diane et Endymion (lot 3), l'ensemble de six esquisses en terre crue (lot 23), enfin le Lion d'après la Loggia dei Lanzi de Florence (lot 12). À son premier Salon en 1852, il envoie son ultime travail de cinquième et dernière année de la Villa Médicis, une figure assise en marbre d'Anacréon qui connait un beau succès : " Il y a dans son bagage une statue qui est tout à fait grecque d'inspiration, de rythme, j'allais dire de chant, tant elle a l'air de scander et de parler les vers que la Muse met sur ses lèvres : c'est l'Anacréon2 ". Elle est suivie, comme en témoigne ici le bronze (lot 6), d'une édition en trois formats par Delafontaine (1774-1860). De retour en France, il devient sous le Second Empire et la Troisième République un artiste incontournable dans les commandes publiques. Il se spécialise dans la réalisation de monuments en hommage aux Grands hommes sur l'ensemble du territoire français, comme en témoigne la réduction en bronze du Monument de Philippe Girard (lot 20), inventeur de la filature mécanique du lin, érigé en 1882 en Avignon. Passionné par la figure de Napoléon, il exécute à la demande du prince Napoléon un important cycle " napoléonien ". Outre l'imposante sculpture en marbre représentant Napoléon Ier législateur (disparu dans l'incendie du palais des Tuileries en 1871), une série de bustes de Napoléon à différentes étapes de sa vie est commandée à l'artiste : élève à Brienne, général en chef de l'Armée d'Italie, Premier Consul, Empereur, en 1812, à Sainte-Hélène (les plâtres sont au château de Malmaison, les marbres à Prangins et à Arenenberg). Un Bonaparte en pied en lieutenant d'artillerie (lot 11) clôt le cycle en 1870. Une esquisse en cire d'une statue équestre de Napoléon Ier à cheval en tenue militaire (lot 2, finalement non exécutée) prévue pour la cour Napoléon du Louvre est également présentée, s'ajoutant à un corpus de plusieurs travaux préparatoires de 1862. Ce travail occupe tout entier l'artiste au point qu'il lui permet d'inscrire son œuvre dans une dimension plus élargie de l'histoire de l'art : " Du point de vue de l'art on peut faire observer que la part de la vérité matérielle est trop forte et qu'un ouvrage destiné à durer a besoin d'être plus dépouillé et présente dans des conditions propres à tous les temps. Les exigences de l'art doivent-elles céder à celles de l'histoire telle que nous l'entendons aujourd'hui ?3 " Il excelle dans la réalisation de portraits dans le cadre de ces commandes officielles mais aussi dans le cadre privé : auprès des bustes d'anonymes en bronze ou terre cuite qui lui sont attribués Portrait de jeune femme (lot 9) et portraits d'homme en plâtre patiné (lot 17) et plâtre patiné façon bronze (lot 8)) se distinguent le portrait présumé de sa fille Thérèse (1857-1949) (lot 18), présentée voilée comme une jeune romaine ou encore le buste en bronze plein de distinction de l'architecte historiciste Hector Lefuel (1810-1880) (lot 10). La rencontre d'Eugène Guillaume avec Hector Lefuel - lauréat du prix de Rome en 1839, pensionnaire de la Villa Médicis les années précédant l'arrivé du sculpteur, directeur des travaux de Meudon, de la Manufacture de Sèvres et du château de Fontainebleau, membre de l'Institut constitue non seulement un jalon important dans sa carrière mais aussi dans la connaissance et la conservation des œuvres de l'artiste. D'un point de vue professionnel, Lefuel introduit Eugène Guillaume en 1857 sur le chantier mené par Napoléon III d'agrandissement et d'aménagement de l'ensemble " Louvre Tuileries ". Du point de vue privé, cette relation avec Hector Lefuel se conclut par le mariage en 1878 entre Thérèse Guillaume, fille d'Eugène et Henri Lefuel, fils d'Hector. L'alliance de ces deux familles est la raison pour laquelle les descendants Lefuel ont conservé conjointement le fonds d'atelier d'Eugène Guillaume et des œuvres associées à la grande figure de l'architecte. Trois portraits de Lefuel réalisés par des sculpteurs différents témoignent de la relation du maître d'œuvre et des artistes qui obtenaient des commandes sur les grands chantiers officiels, ici celui de la réunion des Tuileries au Louvre grâce à ses recommandation et protection. Outre le buste en bronze représentant l'homme en costume de ville réalisé par Eugène Guillaume, la famille conservait encore le buste sans accoutrement exécuté par le sculpteur Francisque Duret (lot 4). Alexandre Oliva offre quant à lui un modèle drapé à l'antique, dont on présente ici trois exemplaires (lots 13, 14 et 15). 1. Henry Jouin, " Un sculpteur écrivain, M. Eugène Guillaume ", in La Nouvelle Revue, livraison du 15 septembre 1898, 20eme année, t. CXIV, Paris administration et rédaction, pp.269-275. 2. J. Buisson, " Le salon de 1881, 3e article, la Sculpture ", in 'Gazette des Beaux-Arts', 1881, t.2, p.210-238, p.212. 3. Fond d'archives d'Eugène Guillaume, liasse 201, chemise 2/3, note jointe aux esquisses de la statue équestre de Napoléon par Eugène Guillaume (L202-68). Archives : Fonds Eugène Guillaume conservé au Musée d'Orsay, Paris. Littérature en rapport : T. Veron, " Eugène Guillaume ", in 'De l'Art. et des artistes de mon temps, Salon de 1877', Poitiers, 1877 J. Buisson, " Le salon de 1881, 3e article, la Sculpture ", in 'Gazette des Beaux-Arts', 1881.2 p.210-238, p.212 H. Marguy, 'Eugène Guillaume', Montargis, impr. de E. Laurent, 1911 S. Lami, 'Dictionnaire des sculpteurs de l'École française au XIXe siècle', t. III, 1919, p.112 et suiv. F. Heilbrun, G.Bresc-Bautier, 'Le Photographe et l'architecte : Édouard Baldus, Hector-Martin Lefuel et le chantier du nouveau Louvre de Napoléon III', collection Dossiers du Musée du Louvre / Dossier du Département des sculptures, no 47, Paris, RMN, 1995 J. Tulard,' Dictionnaire du Second Empire', Paris, Fayard, 1995, p.607 C. Chevillot, " La troisième République ", in C. Barbillon, C. Chevillot, G. Bresc-Bautier (sous dir.), 'Sculptures du XVIIème au XXème siècle : Musée des Beaux-arts de Lyon', Paris, Somogy éditions d'art, Lyon, Musée des beaux-arts de Lyon, 2017, p.256 A. Pingeot, " Les artistes français à Rome ", dans 'Maesta di Roma: da Napoleone all'unità d'Italia, da Ingres a Degas', cat. exp., Rome, Villa Medici, 7 mars-29 juin 2003, Milan, Electa, 2003, p. 475-476. Estimation 12 000 - 15 000 €
PAUL BAUDRY (LA ROCHE-SUR-YON 1828 - 1886 PARIS) PAUL BAUDRY (LA ROCHE-SUR-YON 1828 - 1886 PARIS) Study of a hand holding a lock of hair; A sheet of studies of arms black chalk on blue paper 150 x 172 mm; 270 x 316 mm (measured in frame) framed PROVENANCE: with Faerber and Maison, Ltd., London Emmanuel Charles Bénézit (the former drawing) Baudry, a prolific draughtsman and celebrated portraitist of Parisian high society, notably designed and decorated the foyer of the Opera Garnier in Paris. (2)
Baudry, Paul-Jacques-Aimé (French, 1828-1886). Landscape by the sea. 1854. Pastel on paper. Signed and dated l.r. 17" x 21". Frame: 26 1/2" x 30". Condition: Small tear upper right corner. Not examined outside of frame. Provenance: From the estate of a private collector, Potomac, Maryland.
PAUL-JACQUES-AIMÉ BAUDRY (La Roche-sur-Yon 1828-1886 Paris) Study for a Figure of an Archer for the Comédie-Française. Black chalk on thin cream wove paper mounted on heavy wove paper. 425x290 mm; 16 3/4x11 1/2 inches. Signed, titled and dedicated "à mon ami Albert Goupil" in chalk, lower left recto. The dedicatee, Goupil (1840-1884) was the youngest son of the publisher Adolphe Goupil (1806-1893), who founded the eponymous firm centered around fine art photography and photographic reproductions. He was associated with the direction of Goupil & Cie, Paris, from 1872 to his early death in 1884.
PAUL BAUDRY (french 1828-1886) "STUDY FOR A DECORATIVE PLATE" Signed 'Paul Baudry' bottom right, watercolor on paper Sheet size: 13 1/2 x 13 1/2 in. (34.3 x 34.3cm) provenance: Collection of Martin L. Reymert, Paris. The Drawing Shop, New York, New York. Denenberg Fine Arts, Inc., West Hollywood, California. Private Collection, California.
Paul BAUDRY (1828-1886) Bouquet de fleurs Huile sur carton contrecollé Signé en bas à gauche H. 65, cm, L. 45 cm environ Bunch of flowers, oil on cardboard, signed. H. 25,5 in, L. 18 in
Paul Baudry La Roche-sur-Yon, 1828 - Paris, 1886 Cybèle et Amphitrite Paire de toiles (Toiles d'origine), bordées Daté et monogrammé '1859 / BP' en bas à gauche sur Cybèle Cybele and Amphitrite, oil on canvas, a pair, by P. Baudry h: 80 w: 127 cm Provenance : Dessus de porte exécutés pour le salon de l'hôtel de la comtesse de Nadaillac rue Raynouard à Passy en 1859 ; Sa vente après décès, Paris, Hôtel Drouot, Me Albinet, 3 juin 1887, n° 1 et 2 ; Collection de la marquise de Laborde, selon une étiquette au verso ; Puis par descendance ; Collection particulière, Espagne Expositions : 'Paul Baudry', Paris, Ecole nationale des Beaux-Arts, 1886, n° 48 et 49 Bibliographie : René Ménard, "Paul Baudry", in 'Gazette des Beaux-Arts', 1874, p. 538 Charles Ephrussi, "Exposition des œuvres de M. Paul Baudry organisée par l'Union centrale des Arts décoratifs à l'Orangerie des Tuileries", in 'Gazette des Beaux-Arts', août 1882, p. 16, repr. et p. 34 Georges Lafenestre, " Paul Baudry et son exposition posthume ", in Gazette des Beaux-Arts, 1886, t. 33, p. 402 Charles Ephrussi, 'Paul Baudry. Sa vie et son œuvre', Paris, 1887, p. 185 et p. 317 Paul Eudel, 'L'Hôtel Drouot et la curiosité en 1886-1887', Paris, 1888, p. 327 Henry Havard, 'Dictionnaire de l'ameublement et de la décoration', Paris, 1894, t. II, p. 101-102, fig. 69 (Amphitrite) 'Paul Baudry, 1828-1886: les portraits et les nus', cat. exp. La Roche-sur-Yon, 2007, p. 130 et p. 207 Commentaire : Commandés en 1859, ces deux tableaux ornaient le salon de l'hôtel de la comtesse de Nadaillac rue Raynouard à Passy. Issue d'une famille de banquiers protestants, Cécile Delessert, veuve à 23 ans, épousa en 1852 en seconde noces le colonel Sigismond du Pouget, comte de Nadaillac. Elle devint dame d'honneur de l'impératrice, son amie d'enfance, et côtoya la Cour et la haute société parisienne. Elle accompagna régulièrement Eugénie à Biarritz et assista à l'inauguration du canal de Suez en 1869. Elle était elle-même artiste - ses recueils d'aquarelles sont conservés au Museum d'histoire naturelle de Paris - et Baudry l'avait portraiturée en 1858. Les deux esquisses de nos tableaux ont été exposées au Salon de 1861 (n°152 et n°153) et ont appartenu à la marquise Arconati-Visconti1. Plus accessibles que nos grands formats, elles ont été volontiers commentées par les critiques, et de façon enthousiaste par Théophile Gautier². Ephrussi écrit à leur propos : "D'un côté, sur une draperie bleue, de ce bleu turquoise vif qui semble trouvé dans un jour d'enthousiaste gaieté, lambeau déchiré dans le tissu azuré du ciel, Cybèle embrasse un petit génie près de ses lions dételés, pendant qu'un autre génie plonge ses doigts dans leurs fauves crinières ; de l'autre côté, sur une draperie du même bleu, Amphitrite ajuste sa coiffure devant un miroir que lui présente un enfant ailé; au second plan, près de la proue d'une galère antique, un autre enfant sonne de la conque marine. Ce ne sont que deux beaux corps de femmes allongés dont l'épiderme transparent est animé d'une lumière blonde et dorée, mais cela suffit au peintre, grâce au choix heureux de l'entourage, à l'imprévu des attitudes, à l'élégance du dessin, à la rareté de la couleur, pour faire ce qui n'a point été fait depuis le commencement du siècle". Ces petites versions furent aussi diffusées par des gravures dans la Gazette des Beaux-Arts3. Nos pendants furent réalisés deux ans après le retour du peintre de la villa Médicis, où il séjourna cinq ans en tant que Premier Grand Prix de Rome. Il fut par la suite particulièrement sollicité pour des décors, parmi lesquels notamment Les quatre saisons (1857, aujourd'hui à l'hôtel Marigny-Rothschild), deux dessus-de porte, Diane et Vénus pour l'hôtel Achille Fould en 1858 (Chantilly, musée Condé), les décors de l'hôtel Galliera et de l'hôtel de la Païva sur les Champs-Elysées en 1863, celui du Grand foyer de l'Opéra de Paris (1865-1874) et trois plafonds pour l'hôtel de W. K. Vanderbilt à New York en 1882. La pose de la Cybèle, les corps nacrés, la coquille aux pieds d'Amphitrite annoncent le célèbre tableau La Perle et la Vague du musée du Prado à Madrid, qui fut confronté au Salon de 1863 à deux Naissance de Vénus, respectivement par Cabanel (Paris, musée d'Orsay) et Amaury-Duval (Lille, musée des Beaux-Arts). Avec sa virtuosité habituelle, Baudry mêle ici la sensualité des Vénus de Titien et de Corrège à la pureté de la ligne ingresque dans cette réinterprétation des sujets mythologiques classiques. 1. Sur panneaux, 19 x 31,50 cm, voir cat. exp. 1886, n°68 et 69. 2. 'Abécédaire du Salon de 1861', Paris, 1861, p. 41-42. 3. Pour Amphitrite : livraisons de mai 1861, t. X, p. 211 et de juin 1874, t. IX, 2e période, p.539 et en héliogravure par Dujardin pour Cybèle, en juin 1886, t.33, 6e livraison, p. 498. Estimation 40 000 - 60 000 €
PAUL BAUDRY (french 1828-1886) "STUDY FOR A DECORATIVE PLATE" Signed 'Paul Baudry' bottom right, watercolor on paper Sheet size: 13 1/2 x 13 1/2 in. (34.3 x 34.3cm) provenance: Collection of Martin L. Reymert, Paris. The Drawing Shop, New York, New York. Denenberg Fine Arts, Inc., West Hollywood, California. Private Collection, California.
Corybautes dancing Study with three pencils for the decoration of the ceiling of the Paris Opera, 28 x 18 cm (Delivery of the lots in Lausanne, Geneva, Marseille or Paris (rue Drouot) a few days after the sale) BAUDRY Paul (1828-1886) Corybautes dansant Etude aux trois crayons pour la décoration du plafond de l’Opéra de Paris, 28 x 18 cm (Remise des lots à Lausanne, Genève, Marseille ou Paris (rue Drouot) quelques jours après la vente) 100/200 € - 115/230 CHF
BAUDRY, PAUL (La Roche-sur-Yon 1828 - 1886 Paris) Reclining nude with rose. Oil on canvas. Signed lower right: paul-baudry. 77.6 x 199 cm. Provenance: - Sale: Christie's, London, 2.7.2008, lot 265. - Swiss private collection. --------------- BAUDRY, PAUL (La Roche-sur-Yon 1828 - 1886 Paris) Liegender Akt mit Rose. Öl auf Leinwand. Unten rechts signiert: paul-baudry. 77,6 x 199 cm. Provenienz: - Auktion Christie's, London, 2.7.2008, Los 265. - Schweizer Privatbesitz.
Paul Baudry (French, 1828-1886). A pairing of two chalk on paper studies for the muses in the Grand foyer of the Paris Opera. The first titled "Clio", signed and inscribed at lower right center (20-7/8 in x 10-5/8 in). The second titled "Thalia" and inscribed lower center (19-11/16 in x 12-7/8 in). Shepherd Gallery tags on back of each. For reference see "The Second Empire; Art in France under Naopleon III", Philadelphia Museum of Art, 1978, pp 364-365. In matching frames under glass. Provenance: From a Philadelphia, PA Estate collection.
BAUDRY, PAUL (ATTRIBUTED) (La Roche-sur-Yom 1828 - 1886 Paris) Oil sketch with three putti: allegory of youth. Oil on canvas on board. 26.5 x 34.5 cm. Provenance: - unknown auction, probably France, 17.5.1930 (label on the reverse). - Private collection, Switzerland. --------------- BAUDRY, PAUL (ZUGESCHRIEBEN) (La Roche-sur-Yom 1828 - 1886 Paris) Ölskizze mit drei Putti: Allegorie der Jugend. Öl auf Leinwand auf Karton. 26,5 x 34,5 cm. Provenienz: - unbekannte Auktion, wohl Frankreich, 17.5.1930 (verso Etikette). - Schweizer Privatsammlung.
Paul Baudry (1828-1886) - Nature morte à la pêche et nature morte aux coings Paire d’huiles sur toiles. Signées en bas à droite 14 x 22 xm et 14 x 21,5 cm
Attribué à Paul BAUDRY (1828-1886) Baigneuse Huile sur toile, porte un cachet de cire rouge de vente au verso Et une étiquette BAUDRY 1828-1886, n° 65 73 x 42 cm (Restaurations et pièces au dos)
Paul Baudry La Roche-sur-Yon, 1828 - Paris, 1886 Trois apôtres Mine de plomb, signé des initiales 'PB' en bas à gauche (Piqûres, insolé) h: 34,50 w: 28 cm
PAUL-CECILE BAUDRY (LA ROCHE-SUR-YON 1826-1886 PARIS) Le petit Saint Jean situé, daté et signé 'PARIS.1860./PAUL. BAUDRY.' (en bas à gauche); porte le tampon du fabricant de toile (au verso); porte la carte de visite 'Le Baron Gustave de Rothschild/23 avenue de Marigny' (sur le châssis) Huile sur toile 115,5 x 81,8 cm. Peint en 1860
PAUL BAUDRY (LA-ROCHE-SUR-YON 1828-1886 PARIS) Quatre figures alléegoriques dans des médaillons l'une signée et datée 'PB 60' et titré 'LA FORCE', 'LA PAIX', 'LA GUERRE (recto), 'LA SAGESSE' (verso)', 'LA JUSTICE' mine de plomb, lavis brun, sur papier bleu 110 x 157 mm.; et plus petits (4)
Baudry, Paul (1828 Paris 1886) Kleines Rosengebinde. Aquarell und Gouache, u. re. mit Signaturstempel, 14,8x 35,8 cm. Gegenstück zur vorherigen Nummer."
Paul Baudry (La Roche-sur-Yon 1828-1886 Paris) Bateaux de pêche sur la plage dans la baie de Naples signed Paul Baudry' (lower left) oil on paper laid down on canvas 7 1/8 x 11¼ in. (18.2 x 28.6 cm.)
Baudry, Paul (1828 Paris 1886) Kleines Rosengebinde. Aquarell und Gouache, u. re. mit Signaturstempel, 14,8x 35,8 cm. Gegenstück zur vorherigen Nummer.