Lepage, Jules Bastien (Attr.) (1848-1884) Paysage aux bisons s'abrevant Description (FR): Huile sur toile signée en bas à gauche LB Lepage Description (EN): Oil on canvas signed on the lower left LB Lepage Dimension (PO): 21.25" x 35" Dimension (CM): 54 x 89 cm Rapport de condition: Toile endommagée, de légers trous et fissures et un trou important en haut à droite dans le ciel Condition report: Damaged canvas, slight holes and cracks and a large hole in the upper right in the sky
etching and drypoint, 275 x 195 mm (plate), 287 x 202 mm (sheet). Beautiful, fresh impression on laid paper with watermark. Uniformly browned sheet, with a spot in the center and a white dot at the top left.
Jules BASTIEN-LEPAGE Damvillers, 1848 - Paris, 1884 Après l'orage Huile sur toile (Toile d'origine) Signée 'J. BASTIEN-LEPAGE' en bas à gauche After the storm, oil on canvas, signed, by J. Bastien-Lepage h: 83 w: 75,50 cm Provenance : Collection particulière, Berlin Commentaire : Fils d'agriculteurs modestes, Jules Bastien-Lepage, en seulement dix années d'activité, réussit à se faire une place dans le paysage artistique français et international. " Le petit-fils de Courbet et de Millet " comme aimait à le décrire Emile Zola, se forma dans l'atelier d'Alexandre Cabanel. Mais si son art évolua vertigineusement aux côtés de son maître, il ne se convertit véritablement jamais à sa manière et témoigna au fil de ses créations d'une rare liberté stylistique, interdisant de le classer dans quelque courant contemporain. Se référant souvent à ses aînés réalistes, se rapprochant parfois de ses contemporains naturalistes ou empruntant la liberté de touche des Impressionnistes, Jules Bastien-Lepage fut un artiste inclassable et indépendant à une époque où les mouvements collectifs permettaient aux artistes de se faire entendre et à leurs tableaux de se faire voir. Notre tableau, inédit, symbolise parfaitement le caractère inclassable de notre artiste : pas vraiment un paysage au sens strict, pas vraiment impressionniste, pas tellement naturaliste non plus. La lumière est traitée avec la plus grande virtuosité, les zones d'ombres répondent parfaitement aux rayons du soleil qui viennent frapper l'arbre et le sol encore trempés par les pluies que l'on présume violentes au regard de la noirceur du nuage qui fuit le ciel. Un timide arc-en-ciel est en train de naître dans le fond. Comme à son habitude, Bastien-Lepage nous offre une toile radicalement moderne, à la touche nerveuse et libre, et à la grande puissance évocatrice, faisant de ses paysages de véritables tragédies modernes. Estimation 12 000 - 15 000 €
BASTIEN-LEPAGE, Jules(1848 Damvillers - 1884 Paris) 2 Porträtzeichnungen 2 Kohlezeichnungen. Je mit Kohlesignatur. Gerahmt & hinter GlasMax. 45 x 35 cm. Porträt eines älteren Herren mit Raucherhut, gerahmt & hinter Glas: 36,5 x 26,5 cm, fleckig, stockfleckig und rissig | Porträt eines jungen Herren, Passepartoutausschnitt: 26,5 x 18,5 cm, gerahmt & hinter Glas: 44 x 34 cm, stärker knickspurig Französischer Maler des Naturalismus. | Nachtrag 08.06.23: Künstler ist nicht Jules Bastien-Lepage; Signatur undeutlich (unbekannter Künstler) BASTIEN-LEPAGE, Jules(1848 Damvillers - 1884 Paris) 2 portrait drawings 2 charcoal drawings. Each with carbon signature. Framed & behind glassMax. 45 x 35 cm. Portrait of an elderly gentleman with smoking hat, framed & behind glass: 36.5 x 26.5 cm, stained, foxed and cracked | Portrait of a young gentleman, mount cutout: 26.5 x 18.5 cm, framed & behind glass: 44 x 34 cm, more creased French painter of naturalism. *This is an automatically generated translation from German by deepl.com and only to be seen as an aid - not a legally binding declaration of lot properties. Please note that we can only guarantee for the correctness of description and condition as provided by the German description.
JULES BASTIEN-LEPAGE (1848-1884) Deux charpentièrs à l'atelier porte une inscription 'à l'ami Vermier en souvenir de mes jours .../ G. Bastien-Lepage' (en bas à gauche) et une signature 'J. Bastien-Lepage' (en bas à gauche, probablement de la mais du frère de l'artiste, Emile) pierre noire, plume et encre brune sur papier brun, collé en plein bears an inscription 'à l'ami Vermer en souvenir de mes jours .../ G. Bastien-Lepage' (lower left) and a signature 'J. Bastien-Lepage' (lower right, probably by the artist's brother Emile) black chalk, pen and brown ink on brown paper, laid down 46 x 30.5cm (18 1/8 x 12in).
Jules Bastien-Lepage (French, 1848-1884) Portrait de Sarah Bernhardt oil on canvas, in the original Salon frame The painting: 17 1/8 x 13 5/8 in. (43.5 x 34.6 cm.) Overall: 32 x 28 3/4 in. (81.3 x 73 cm.)
Jules BASTIEN-LEPAGE Damvillers, 1848 - Paris, 1884 Portrait d'Alfred Garnier en bonnet avec une mentonnière Plume et encre brune Localisé, daté, dédicacé et signé 'Damvillers nov. 1883 / à son ami A Garnier / J. Bastien-Lepage' en bas à droite (Petits trous) Portrait of the enameller painter Alfred Garnier, pen and brown ink, located, dated and signed, by J. Bastien-Lepage h: 16 w: 12 cm Provenance : Collection Charles Auzoux ; Puis par descendance Expositions : 'Les trésors retrouvés des ateliers d'artistes au temps de Rodin. Collection Charles Auzoux 1870-1910', Paris, Louvre des Antiquaires, 5 mai - 10 septembre 1995, p. 60, n° III-3 Commentaire : Alfred Garnier fait mention de ce dessin dans un courrier envoyé à son ami Charles Auzoux, conservé par ce dernier dans le montage du dessin : "Mon pauvre ami me fait ce portrait un soir, que sa chère maman, m'avait mis un cataplasme enorme pour me soigner un petit clou qui m'etait venu a la joue. Quand je fus ainsi emmitouflé, j'avais une si bonne tête, quil voulut en perpetrer le souvenir par un croquis, fait a la lampe tous autour de la table, nous rions de tout notre coeur. Hélas un an apres, presque jour pour jour, nous le portions en terre. Quel deuil." Estimation 1 000 - 1 500 €
Antique sepia print on paper. A reproduction of Joan of Arc, an 1879 painting by Jules Bastien-Lepage, 1848-1884, French painter. The artist depicted the French national heroine Joan of Arc in the moment when a figure which she identified as Saint Michael surrounded by angels appeared to her for the first time in her father's garden to let her know that she had a mission for God on earth. Solid wooden frame. European Academic Historical Realist Art For Interior Design.
Jules BASTIEN-LEPAGE Damvillers, 1848 - Paris, 1884 Portrait du peintre émailleur Alfred Garnier (1848 - 1908) Huile sur toile (Toile d'origine) Dédicacée, datée et signée 'A mon ami Alfred Garnier / juin 1870 / J. BASTIEN-LEPAGE' en haut à gauche Portrait of the enamel painter Alfred Garnier, oil on canvas, dated and signed, by J. Bastien-Lepage h: 55,50 w: 47 cm Provenance : Offert directement par Alfred Garnier à Charles Auzoux ; Collection Charles Auzoux ; Puis par descendance Expositions : 'Les trésors retrouvés des ateliers d'artistes au temps de Rodin. Collection Charles Auzoux 1870-1910', Paris, Louvre des Antiquaires, 5 mai - 10 septembre 1995, p. 60, n° III-1, repr. p. 32 Commentaire : Fils d'agriculteurs modestes, Jules Bastien-Lepage, en seulement dix années d'activité, réussit à se faire une place dans le paysage artistique français et international. " Le petit-fils de Courbet et de Millet " comme aimait à le décrire Emile Zola, se forma dans l'atelier d'Alexandre Cabanel. Mais si son art évolua vertigineusement aux côtés de son maître, il ne se convertit véritablement jamais à sa manière et témoigna au fil de ses créations d'une rare liberté stylistique, interdisant de le classer dans quelque courant contemporain. Se référant souvent à ses ainés réalistes, se rapprochant parfois de ses contemporains naturalistes ou empruntant la liberté de touche des Impressionnistes, Jules Bastien-Lepage fut un artiste inclassable et indépendant à une époque où les mouvements collectifs permettaient aux artistes de se faire entendre et à leurs tableaux de se faire voir. Ses premiers succès lui permirent d'entreprendre quelques voyages. D'Angleterre, de Suisse ou d'Italie, il rapporta des paysages, des scènes de rue à mi-chemin entre le portrait et la scène de genre, démontrant qu'il ne se limitait pas à réaliser portraits de famille et peintures rurales figurant Damvillers, son village natal. Notre tableau constitue un brillant exemple du talent précoce de notre artiste pour portraiturer ses contemporains, qu'ils soient d'anonymes habitants de Damvillers ou ses plus proches amis comme Alfred Garnier. Cette œuvre s'avère être l'une des pièces maitresses de la collection de Charles Auzoux car elle réunit sous le même lot deux de ses amis les plus proches. Bastien-Lepage déjà, qui décéda trop jeune malheureusement pour approfondir leurs liens, mais surtout Alfred Garnier, avec qui Auzoux fut très lié. Les nombreux courriers envoyés par l'émailleur l'attestent et c'est d'ailleurs dans l'une de ses lettres qu'il fait part de son cadeau : " J'avais décidé, depuis longtemps, que je vous donnerai mon portrait peint par Bastien, non pour que vous vous souveniez de moi, pour ça il n'y a pas de danger. C'est comme si on demandait à un homme, s'il se souvenait de la pierre, qui l'avait fait tomber, et qui dans sa chutte (sic) s'était cassé le cou. Oui vous vous souviendrez toujours de Garnier. " Estimation 15 000 - 20 000 €
Jules BASTIEN-LEPAGE Damvillers, 1848 - Paris, 1884 Portrait d'Alfred Garnier en bonnet avec une mentonnière Plume et encre brune Localisé, daté, dédicacé et signé 'Damvillers nov. 1883 / à son ami A Garnier / J. Bastien-Lepage' en bas à droite (Petits trous) Portrait of the enameller painter Alfred Garnier, pen and brown ink, located, dated and signed, by J. Bastien-Lepage h: 16 w: 12 cm Provenance : Collection Charles Auzoux ; Puis par descendance Expositions : 'Les trésors retrouvés des ateliers d'artistes au temps de Rodin. Collection Charles Auzoux 1870-1910', Paris, Louvre des Antiquaires, 5 mai - 10 septembre 1995, p. 60, n° III-3 Commentaire : Alfred Garnier fait mention de ce dessin dans un courrier envoyé à son ami Charles Auzoux, conservé par ce dernier dans le montage du dessin : "Mon pauvre ami me fait ce portrait un soir, que sa chère maman, m'avait mis un cataplasme enorme pour me soigner un petit clou qui m'etait venu a la joue. Quand je fus ainsi emmitouflé, j'avais une si bonne tête, quil voulut en perpetrer le souvenir par un croquis, fait a la lampe tous autour de la table, nous rions de tout notre coeur. Hélas un an apres, presque jour pour jour, nous le portions en terre. Quel deuil." Estimation 2 000 - 3 000 €
Antique sepia print on paper. A reproduction of Joan of Arc, an 1879 painting by Jules Bastien-Lepage, 1848-1884, French painter. The artist depicted the French national heroine Joan of Arc in the moment when a figure which she identified as Saint Michael surrounded by angels appeared to her for the first time in her father's garden to let her know that she had a mission for God on earth. Solid wooden frame. European Academic Historical Realist Art For Interior Design.
JULES BASTIEN-LEPAGE (FRENCH, 1848–1884) Au printemps signed 'J.BASTIEN-LEPAGE' (lower right) oil on canvas 31 1/2 x 40 1/2 in. (80 x 103 cm.) Painted in 1873. ,
Jules Bastien-Lepage (French, 1848-1884) Sarah Bernhardt inscribed, signed and dated 'A Sarah Bernhardt / J Bastien-Lepage 1879' (upper left) watercolor and colored pencil on paper 11 x 8 1/2in (27.9 x 21.6cm) For further information on this lot please visit the Bonhams website
BASTIEN-LEPAGE Jules (1848-1884) Faneuse au repos Dessin au crayon noir, signé des initiales en bas à gauche 27,5 x 19 cm Dessin préparatoire pour la gravure "Retour des champs" présentée en 1885 dans l'ouvrage illustré de Louis de Fourcaud. La composition de notre dessin, le lieu, et la figure de la faneuse, sont à rapprocher de sa peinture "La Faneuse au repos" de 1881, conservée à la Galerie nationale d'Oslo. Exposition : Musée d'Orsay, Jules Bastien-Lepage, Paris, 2007, n°46 reproduit p.140
BASTIEN-LEPAGE Jules (1848-1884) Étude pour Jeanne d'Arc au bûcher Dessin à la plume, signé des initiales en bas vers la gauche 10,5 x 14,5 cm Bibliographie : M.M Aubrun, Jules Bastien-Lepage, catalogue raisonné n°D.567 bis, reproduit p. 320
Lot 47 Jules Bastien-LePage French (1848-1884) Morning in Kensington Garden oil on board signed lower left 8 3/4 x 11 inches Provenance: From the collection of J.N. Bartfield Galleries The Carol Gallery label verso
Jules BASTIEN-LEPAGE Damvillers,1848 - Paris,1884 Voilier par gros temps Huile sur toile Signée et datée 'J. BASTIEN-LEPAGE / 83' en bas à droite Sailing boat by stormy weather, oil on canvas, signed and dated, by J. Bastien-Lepage h: 90 w: 85 cm Provenance : Acquis par le père des actuels propriétaires dans la première partie du XXe siècle (la famille était originaire, tout comme l'artiste, de Damvillers) ; Collection particulière, Paris Commentaire : Alors que la postérité a délibérément gardé de Jules Bastien-Lepage l'image d'un peintre de portraits et de scènes paysannes, notre tableau vient nous rappeler l'artiste complet qu'il fut, malgré sa trop courte carrière. Fils d'agriculteurs modestes, notre artiste, en seulement dix années d'activité, réussit à se faire une place dans le paysage artistique français et international. " Le petit-fils de Courbet et de Millet " comme aimait à le décrire Emile Zola, se forma dans l'atelier d'Alexandre Cabanel. Mais si son art évolua vertigineusement aux côtés de son maître, il ne se convertit véritablement jamais à sa manière et témoigna au fil de ses créations d'une rare liberté stylistique, interdisant de le classer dans quelque courant contemporain. Se référant souvent à ses ainés réalistes, se rapprochant parfois de ses contemporains naturalistes ou empruntant la liberté de touche des Impressionnistes, Jules Bastien-Lepage fut un artiste inclassable et indépendant à une époque où les mouvements collectifs permettaient aux artistes de se faire entendre et à leurs tableaux de se faire voir. Ses premiers succès lui permirent d'entreprendre quelques voyages. D'Angleterre, de Suisse ou d'Italie, il rapporta des paysages, des scènes de rue à mi-chemin entre le portrait et la scène de genre, démontrant qu'il ne se limitait pas à réaliser portraits de famille et peintures rurales figurant Damvillers, son village natal. En 1883, alors que la maladie le frappe soudainement, il passe l'été à Concarneau sur les conseils de ses médecins afin de s'y reposer. N'abandonnant pas pour autant ses crayons et pinceaux, notre artiste s'essaye à la marine et multiplie les études de mer et de bateaux. La séduisante œuvre que nous présentons s'inscrit dans ce corpus. Avec des empâtements et une touche qu'Edouard Manet tout juste décédé n'aurait pas reniés, il réalise une impressionnante marine confinant à l'étude de ciel. La frêle embarcation est prise dans la profondeur des vagues, le vent semblant vouloir arracher la trop petite voile cédant presque déjà à la pression, les sombres nuages prenant possession du ciel ne présageant pas l'arrêt des assauts répétés du vent. Le voilier ne pourra sans doute pas tenir. Et dans une vision prémonitoire, liant son destin à celui de ce bateau accouché sur la toile, Jules Bastien-Lepage, comme ce dernier ne pouvant résister à cette tempête aux trop puissantes bourrasques, succomba des suites de sa maladie l'année suivante, nous laissant une œuvre majeure pour l'histoire de l'art, récemment remise en lumière, ayant inspiré les plus célèbres artistes modernes à sa suite. Estimation 12 000 - 15 000 €
watercolour on wove paper, signed J. Bastien-Lepage. Dinard lower right, some light toning and pale backboard discolouration, 29 x 23 cm (11.5 x 9 ins) mount aperture, framed - Quantity (1)
BASTIEN-LEPAGE Jules (1848-1884) "Portrait d'homme assis dans un intérieur" Huile sur panneau de bois signée, située Paris et datée 1879 en haut à gauche (Trés légers accidents et manques aux bords) ; Au dos du panneau cachet en creux "G.ROMNEY and CO PREPARED MAHOGANY PANEL LONDON" ; Encadrée Haut.: 35.5 cm x Larg.: 28,2 cm Bibliographie : Marie-Madeleine Aubrun, Jules Bastien-Lepage 1848-1884, p. 188, n°288, localisation actuelle inconnue, dimensions inconnues. Œuvres en rapport : Dessin préparatoire à la plume, sous une mauvaise identification. Vente WARIN Paris 6e, automne 1987. Exposition présumée: 1885, mars-avril, Paris, Ecole Nationale des Beaux-Arts, Hôtel de Chimay, Jules Bastien-Lepage, n°111. "Je me suis mis à faire ce que je voyais, tâchant d’oublier ce qu’on m’avait appris". Tel est l’objectif que s’impose Jules Bastien-Lepage lorsqu’il découvre le travail de Manet en 1875. Originaire de Damvillers dans la Meuse, Bastien-Lepage est élève de Cabanel aux Beaux-Arts et expose au Salon à compter de 1870, après des débuts néanmoins difficiles. La révélation opérée par sa rencontre avec les œuvres du peintre du Déjeuner sur l’herbe le conduit à adopter une "peinture claire", et lui vaut d’obtenir le deuxième prix de Rome en 1875 ainsi que l’éloge unanime des critiques. Considéré comme un disciple de Courbet et de Millet, chez qui il emprunte la passion de la nature à la fois simple et grandiose, il conserve toutefois une touche poétique et réaliste qui séduira immédiatement Zola dont il devient l’ami proche. L’écrivain reconnaît à l’artiste un véritable talent de portraitiste, que nous retrouvons à l’évidence dans le portrait que nous présentons. Le luxe de l’environnement bourgeois, une expression humaniste soulignée par un léger sourire tandis qu’une lumière délicate modèle mains et visage, caractérisent le portrait de Monsieur Duplessis, traité avec la virtuosité illusionniste et néanmoins poétique habituelle du pinceau de Bastien-Lepage. C’est la descendance de Monsieur Duplessis qui nous a communiqué l’identité du modèle.
Jules Bastien-Lepage Damvillers, 1848 - Paris, 1884 Jeune garçon sur la plage Huile sur toile (Toile d'origine) Annotée à trois reprises et porte la date 'Bastien-Lepage / 1880' au verso Toile de la maison Gustave Sennelier Sans cadre 'YOUNG BOY ON THE BEACH', OIL ON CANVAS, INSCRIBED, BY J. BASTIEN-LEPAGE h: 80 w: 65 cm Provenance : Ancienne collection du peintre Georges Girardot (1856 - 1914) ; Légué à sa mort à Jean Croiset, petit-neveu de son épouse ; Puis par descendance à sa fille ; Collection particulière du Sud de la France
Augustus Saint-Gaudens (American, 1848-1907) Jules Bastien-Lepage Titled, inscribed and signed within the composition "IULES BASTIEN-LEPAGE AETATIS XXXI · PARIS · MDCCCLXXX · AVGVSTVS ·/SAINT-GAVDENS · FECIT" across the top. Cast iron with a bronze-colored patina, 14 3/4 x 10 3/8 in. (37.5 x 26.5 cm). Condition: Curl to bottom edge, oxidation, small hole drilled at center top for hanging, scattered minor abrasions, surface accretions/grime. Literature: John H. Dryfhout, The Work of Augustus Saint-Gaudens (Hanover: University Press of New England, 1982), no. 87, p. 107 (an iron version made in 1881 by electrotype process by the Magee Furnace Company of Chelsea, Massachusetts).
Jules Bastien-Lepage (Damvillers 1848-1884 Paris) Orpheus signed 'J. BASTIEN-LEPAGE' charcoal and white chalk and stumping, on light brown paper, watermark MICHALLET. 18 x 12 in. (45.8 x 30.3 cm.)
Jules Bastien-Lepage (1848 - 1884) A bronze study of Jeanne d,Arc ecoutant les voix (Joan of Arc listening to the voices) her hair tied back with a scarf, wearing a long dress and shawl, leaning on a staff, signed J Bastien - Lepage to the naturalistic circular base, 34cm. high. In her biography of the artist published ten years after his death, Julia Cartwright makes reference to a clay study of Jeanne d'Arc modelled as a shepherdess leaning on a crook. This appears to be one of twelve casts one of which is currently with the Fitzwilliam Museum, Cambridge and one which was offered in Sotheby's, 17th June 1986, lot 61.
Charles Albert Waltner (1846-1925 French), drypoint etching on paper under glass, after the 1879 portrait in oil by the artist Jules Bastien-Lepage (1848-1884 French), signed in pencil lower right: Waltner, and with artist's printed tragedy mask remarque, printer: Georges Petit, Paris, 1896, image size: 16.25'' H x 12.75'' W, est:$700/1000 Note: Sight dimensions: 21.75'' x 16.5''. *** Please click ''view more'', below right for more information. ***
Bretonische alte Bäuerin, sitzend mit Weidenkorb und Reisig vor einer Winterlandschaft. Aquarell. 29,9 x 23,8 cm. Unten rechts signiert und datiert "J. Bastien Lepage/ Sυt Brieuc 1876." Im Handel tauchte ein ebenfalls signiertes, bezeichnetes und datiertes Aquarell Bastien-Lepages mit dem Sujet eines sitzenden bretonischen Bauern vor Landschaft, das er ein Jahr später in Sυt Brieuc anfertigte, auf (vgl. Sotheby's, Billingshurst/West Sussex, 22. Mai 1997, Losnr. 220). Vermutlich legte Bastien-Lepage die Darstellung des Bauern, welche er seinem Freund O. Metra widmete, als Pendant zu der Bäuerin an. - Aufgezogen.
Namur, Paul-Franz (1877 Valenciennes 1958). Französischer Soldat bei der Rast. Radierung. Plgr. 27,3 x 19,4 cm. Signiert. : Etw. gebr. u. tls. stockfl., im br. w. Rd. etw. wasserfl. - Dazu: Bastien-Lepage, Jules (1848 Damvillers - Paris 1884). Landarbeiter bei der Ernte. Radierung (1878). 19,2 x 25 cm.
Jules Bastien-Lepage (French, 1848-1884) L'Annonciation aux bergères signed 'J Bastien' (lower left) and indistinctly inscribed 'Etude pour les Bergères/2me... Rome' (on the reverse) oil on panel 13¾ x 10½ in. (34.9 x 26.6 cm.)
JULES BASTIEN-LEPAGE French, 1848 - 1884 Woman gathering faggots. Depicting a young woman with a bundle of sticks and two goats in the foreground with hilly landscape and single figure in the background. Signed lower left, "J. BASTIEN LEPAGE". A major force in plein-air art, Bastien-LePage greatly influenced the American Impressionists including Twachtman, J. Alden Weir and Alexander Harrison who studied with him as did Robert Vonnoh and D. Ridgeway Knight. Circa 1878, Bastien-LePage began painting French peasant life. Passing away in 1884, Bastien-LePage's paintings of this period are both rare and exemplify his finest efforts. Provenance: Private Collection, Cape Cod. Oil on canvas, 33" x 46". Framed.
Bastien-Lepage, Jules (1848 Damvillers - Paris 1884). Landarbeiter bei der Ernte, im Vordergrund wetzt ein Bauer seine Sense. Radierung auf aufgewalztem China (1878). 19,2 x 25 cm. Mit d. Namenszug u. Datum (undeutlich) in d. Platte. - Br. w. Rd. tls. randrissig, etw. angestau
Painting, Bastien-Lepage, French Framed oil on canvas laid to board, Rural Mountain Scene, by Jules Bastien-Lepage (French, 1848-1884), signed lower left, sight: 13''h x 16.5''w, overall: 19''h x 22.5''w..."
BASTIEN-LEPAGE, JULES. (1848 - 1884). Pays-village. Huile sur toile. Signé. 70x91 cm. Provenance: Collection Marcel Bergeon Nous remercions Monsieur Gabriel P. Weisberg pour son aimable collaboration nous ayant permis d'établir l'historique et l'authenticité de l'oeuvre
On a Summer Afternoon signed 'Edward Stott' (lower left) oil on canvas 22 1/8 x 281/4 in. (56.2 x 71.6 cm.) Painted in 1892 PROVENANCE with The Fine Art Society, London, from whom acquired by the present owner. LITERATURE G. Moore, 'The New English Art Club', The Speaker, 16 April 1892, p. 467. EXHIBITION London, New English Art Club, Spring, 1892, no. 54. Oldham Art Gallery, Rochdale Art Gallery, and London, The Fine Art Society, William Stott of Oldham and Edward Stott, A.R.A., 1976, no. 50. London, Barbican Art Gallery, and Dublin, Hugh Lane Municipal Gallery of Modern Art, Impressionism in Britain, 1995, no. 223. NOTES When he encountered Edward Stott's On a Summer Afternoon, at the New English Art Club in the spring of 1892, there was no doubt in George Moore's mind that this was 'probably the most entirely satisfactory picture in the Exhibition'. Moore was particularly enamoured with Stott's observation of sunlight breaking through the branches and falling on the white flesh of the boys sitting on the grass. The entire scene was enveloped in 'the silvery bloom of the atmosphere'. 'It would be difficult', he declared, 'to praise this part of the picture too highly...The painting of the body is that fluid, limpid execution which we admire in the Dutch masters. The figure is in and not out of the atmosphere... The painter has achieved something which I have often seen attempted, but hardly seen achieved before...' ( Speaker, 16 April 1892, p. 467). The picture had all of the ingredients of what Moore was later to describe as visual 'enchantment'. Its action occurs in a spatial envelope which, for Moore was one of the defining characteristics of Impressionism. It created a total effect, in which there were no discordant parts. The painter had gone for colour harmony rather than the literal aspects of form and space and it was evident that Stott had arrived at his own synthesis of these elements. The work in question was not an exposition of theories or practices borrowed from elsewhere. In his canvases of the early nineties, Stott was to develop his own approach to Impressionist practice. He was to insist upon its deeply personal aspects. The year following the exhibition of On a Summer Afternoon, he defined it as, 'a combined impression of the artist's feeling - colour and form with the char[ac]ter of the subject, whether light or delicate; or strong and powerful; in short a recording of the impression on the painter's nature' ( Art Journal, April 1893, p. 104). The 'painter's nature' thus responded to the scene before his eyes, interpreting it as 'delicate' or 'powerful' and painting accordingly. It was clear, however, that up to 1892, Stott's work had passed through a series of familiar stages. He had gone to Paris where he studied under Alexandre Cabanel; he was influenced by Jules Bastien-Lepage and Jean-Fran‡ois Millet; he exhibited at the Salons of 1883 and 1884; on his return, he showed at the first New English Art Club exhibition in 1886 and continued showing regularly with the club up to 1895, by which time he was also exhibiting at the Royal Academy and the New Gallery. In the mid-eighties, before he settled at Amberley, he travelled through the home counties with Walter Osborne, painting scenes of village life. It was only after his arrival in Amberley in 1887, however, that Stott began to digest his student experiences. Although a ruined castle and medieval church contributed to the 'dreamy, old-world' character of the village, he resisted the temptations of its topography. By contrast he was drawn to the nearby water meadows and orchards for simple scenes of goose girls, plough horses, and cattle being driven to pasture. Stott's first successful treatment of the bathers subject appeared at the Royal Academy in 1890 and was purchased by the Bradford collector, John Maddocks. The theme had been made popular by Alexander Harrison's En Arcadie, 1886 (Mus‚e d'Orsay, Paris) and by William Stott of Oldham's A Summer's Day, 1887 (fig. 1, Manchester). These exercises in plein-air naturalism were quickly overhauled by Philip Wilson Steer's A Summer's Evening, 1888 (Private Collection) a work depicting three female bathers, which in its embrace of Impressionist theory would have greatly appealed to the young Stott. Having achieved his own success with The Bathers, throughout the nineties, Stott returned to the subject, with the present work, of 1892, and Noonday - Boys Bathing, 1895 (fig. 2, Manchester). As is clear from the comparison of On a Summer Afternoon with the Manchester canvas, Stott reserved his more radical pictures for the club, and in later works his colour, partly as a result of working from pastel studies, became more subdued and tonal. By the mid-nineties, when the heat had begun to go out of the disputes over Impressionism, writers on art observed other qualities in the work of its British protagonists. There was for instance a renewed insistence on absorption in the English countryside, which one critic referred to as 'landscape-land'. Painters like La Thangue, and Clausen were restlessly looking for picturesque rural retreats in which the ideals of self-sufficiency, social stability and well-rooted work practices were evident. For Stott, Amberley provided the basis for a rural idyll, of comparable intensity to that which Samuel Palmer wove around the village of Shoreham. Visiting the painter in 1895, James Stanley Little referred to this 'singularly beautiful' setting around which the river Arun winds. The meadows were flecked with flowers and occasionally the river burst its banks and 'floods the rich grazing grounds by which it is bordered' ('On the Work of Edward Stott,' Studio, VI, 1896, p. 78), providing the pools in which children bathe and plough-horses drink. The sense of submersion in rural life which Little and other critics stressed, effectively obscured the Impressionist character of his work. Little claimed for instance that 'enough has been said of Mr Stott's method to demonstrate that to call him an Impressionist, as he is generally called, is something of a misnomer' (p. 80). Little was the first to comment upon the completeness of Stott's world view. Works like On a Summer Afternoon appealed to senses other than the visual. He declared, Apart from the exacting demand such a place as this makes upon the painter's skill, he is confounded by the obtrusion upon his senses of many aspects of the beautiful which no skill will enable him to interpret. The scent of flowers, the hum of insects, the murmur of brooks fascinate while they paralyse him, since they are all factors outside of the sense of vision, and all elements which his picture must suggest though it cannot interpret (p. 79). Later writers like A.C.R. Carter, Lawrence Housman and Marion Hepworth Dixon repeated this critique with even greater intensity. Carter for instance lays great emphasis upon Stott's 'close communion with nature' and his 'rare gift for visual selection'. He may even have been thinking of the present picture when he recalled 'the noonday sun... piercing the shady canopy of a pool' which had been 'watched and remembered for many a long day' ('Edward Stott and his Work', Art Journal, 1899, p. 295). For him, Stott's was no 'snapshot' view of the countryside. Housman took his cue for his own interpretation of the 'deep knowledge and intimacy' expressed in Stott's work. While the snapshot view was 'disjointed, momentary and fragmentary', the Amberley canvases stressed the 'synthetic, the allusive, the reminiscent'. Memory was central to Stott's absorption in nature in that it was,... a hiving process: its honey clings to the mind and cannot be got rid of; and association, however periously akin to that literary interest... is inevitable as long as man carries his eyes in his head, and not in some way isolated and apart from the rest of his senses ('Mr Edward Stott, Painter of the field and of the twilight', Magazine of Art, 1900, p. 532). On the basis of these contemporary explanations, we can justifiably claim that On a Summer Afternoon, sets out to evoke the countryside, rather than naturalistically describe it. It is the product of an accumulation of experiences, forged in the studio in such a way as to give the impression of a single, significant one. What it portrays is not a particular afternoon in a specific space, so much as the summoning of many afternoons, and the sunlight which falls tenderly on the innocent bathing rustics is refracted through memory. We are grateful to Kenneth McConkey for his help in preparing this entry.
La Petite BouquetiŠre signed and inscribed 'Charles Sprague Pearce Paris' (lower right) oil on canvas 22 x 18 in. (55.9 x 45.7 cm.) PROVENANCE By descent in the family to the present owner. EXHIBITION Chicago, Illinois, Inter-State Industrial Exposition of Chicago, 12th Annual Exhibition, September-October 1884, no. 16 NOTES Charles Sprague Pearce was a painter perhaps best known for his portraits and genre scenes. Pearce settled in Paris and studied at the Leon Bonnat School, following the advice of William Morris Hunt. At the Leon Bonnat, he studied with fellow student John Singer Sargent, and soon became a member of an artist circle comprised of other expatriates including Chester Loomis, Edwin Blashfield, and Milne Ramsey. Pearce's realistic interpretation of rural life was allied in both style and subject matter to the French Academic peasant painters. The strong contrast of light and shadow, meticulous detail, and solid modeling apparent in La Petite BouquetiŠre demonstrate Pearce's continuing debt to artists such as William Bouguereau, Jean Fran‡ois Millet, Jules Breton, and most of all Jules Bastien-Lepage.
watercolour 27 by 21.5 cm.; 10 1/2 by 8 1/2 in. The French artist Bastien-Lepage became well known in England in the early 1880s, being admired both from his scenes of rustic life and for his portraits of men and women in fashionable society. He was invited to stay at Windsor in the summer of 1879, and Sir Coutts Lindsay, proprietor of the Grosvenor Gallery, probably met Bastien-Lepage in the course of this stay, resulting in Bastien-Lepage sending nine works to the Grosvenor Gallery 1880 summer exhibition. During the remaining years of his life, he made frequent visits to London, and made friends with a number of artists in the circle of Grosvenor exhibitors. His friendship with Edward Burne-Jones is documented by the highly characterful watercolour portrait that Bastien-Lepage made of him; this particular drawing belonged to the Lewis family until 1968 when Miss Katherine Lewis gave it to Birmingham City Museum and Art Gallery. The drawing of Burne-Jones and the present sketch of George Lewis were likely to have been made on the same occasion. Each of the two men is seen wrapped up in a coat and hat, and placed against an indefinite green and grey background. PROVENANCE The Lewis family; Mrs Elizabeth Wansbrough.
